Inutile de se tirer des balles dans le pied dans les situations où le candidat est bien implanté, estime Jean-Philippe Thiellay. Le processus de pré-sélection ravirait avant tout le camp adverse, qui commenterait avec gourmandise les déchirements de la gauche. Inutile de «se tirer des balles dans le pied» dans les situations où le candidat est bien implanté, estime Jean-Philippe Thiellay. Pour maximiser l’intérêt autour de ces primaires et renforcer la mobilisation, Terra Nova recommande de les organiser toutes au même moment, les 6 et 13 octobre prochain. Enfin, pour maximiser l’intérêt autour de ces primaires et renforcer la mobilisation, Terra Nova recommande de toutes les organiser au même moment, les 6 et 13 octobre prochain. Il les organise toutes au même moment, les 6 et 13 octobre prochain. Pour que le futur candidat soit choisi par une part significative du corps électoral, Terra Nova propose de limiter ce processus de sélection aux villes d’«au moins 80.000 voire 100.000 habitants». Limiter l’expérimentation à quelques grandes villes <@PCTFTG@>Paris, où Bertrand Delanoë ne se représente pas, sera sans doute concernée. Enfin, pour maximiser l’intérêt autour de ces primaires et renforcer la mobilisation, Terra Nova recommande de les organiser toutes au même moment, les 6 et 13 octobre prochain. Pour une ville de 100.000 habitants, on estimerait donc entre 2.500 et 3.500 le nombre d’électeurs qui se rendraient aux urnes. Pour que le futur candidat soit choisi par une part significative du corps électoral, Terra Nova propose de limiter ce processus de sélection aux villes d’«au moins 80.000 voire 100.000 habitants», en se fondant sur le succès de la primaire de 2011, qui avait réuni près de 6% des inscrits. Une action destinée à marquer les esprits et à protéger le développement de la 4G, mais aussi une occasion de rappeler l'état des connaissances actuelles. Les analystes de la maison de courtage Refco. A Marseille, où la gauche a échoué de peu à obtenir l'alternance en 2008, il y a beaucoup de personnalités de talent qui se sont déclarées, a déclaré récemment le premier secrétaire du PS Harlem Désir. A Marseille, où la gauche a échoué de peu à obtenir l'alternance en 2008, «il y a beaucoup de personnalités de talent qui se sont déclarées. Je crois que ce débat permettra de mobiliser les citoyens», a déclaré récemment le premier secrétaire du PS Harlem Désir. Les candidats, la première adjointe du maire sortant Anne Hidalgo et le député Jean-Marie Le Guen, y sont favorables. Depuis sa nomination place Beauveau. Comités locaux école entreprise. A l’inverse, Marie-Arlette Carlotti, ministre déléguée aux Personnes handicapées et à la Lutte contre l’exclusion. Marie-Arlette Carlotti, ministre déléguée aux Personnes handicapées. A l’inverse, Marie-Arlette Carlotti, ministre déléguée aux Personnes handicapées et à la Lutte contre l’exclusion et tombeuse de Renaud Muselier aux législatives, est très réservée: «Si (Harlem Désir) est capable d'organiser une primaire sans pugilat, c'est bien, mais il va falloir qu'il m'explique comment il compte faire», a-t-elle récemment déclaré. Patrick Mennucci, anti-guériniste et candidat à la mairie, plaide pour ces primaires. Une primaire ouverte pourrait aussi avoir lieu à Montpellier, bien que la situation soit pour le moment encore assez floue dans cette dernière ville: les appétits sont nombreux et, la fédération PS de l’Hérault, placée sous tutelle, peut difficilement investir un candidat légitime. Le successeur de Jean-Marc Ayrault Patrick Rimbert. Restent des cas non évoqués dans le rapport, comme Nantes, où le successeur de Jean-Marc Ayrault Patrick Rimbert n'a pas été élu en tant que tête de liste. Restent des cas non évoqués dans le rapport, comme Nantes, où le successeur de Jean-Marc Ayrault Patrick Rimbert n'a pas été élu en tant que tête de liste en 2008, ou Rennes, où une primaire militante interne au PS doit désigner le candidat dès février, alors que le maire sortant, Daniel Delaveau, a annoncé qu'il ne se représenterait pas pour un second mandat. Restent des cas non évoqués dans le rapport, comme Nantes, où le successeur de Jean-Marc Ayrault Patrick Rimbert n'a pas été élu en tant que tête de liste en 2008. Reste un cas non évoqués dans le rapport. Il propose à Paris l'organisation des jeux. Restent des cas non évoqués dans le rapport, comme Nantes, où le successeur de Jean-Marc Ayrault Patrick Rimbert n'a pas été élu en tant que tête de liste en 2008; ou Rennes, où une primaire militante interne au PS doit désigner le candidat dès février, alors que le maire sortant, Daniel Delaveau, a annoncé qu'il ne se représenterait pas pour un second mandat. Si les primaires sont étendues à toutes les villes de plus de 100.000 habitants gouvernées par la droite ou dont le maire sortant de gauche ne se représente pas, les villes de Nice, Le Havre, Toulon, Aix-en-Provence, Nîmes, Perpignan, Orléans, Boulogne-Billancourt, Mulhouse et Nancy seraient également concernées, selon Terra Nova. http://www.capital.fr/bourse/actualites/jerome-cahuzac-juge-possible-que-l-etat-entre-au-capital-de-psa-810372 <@PCTFTG@>titre: <@PCTFTG@>L'Etat pourrait entrer au capital de PSA <@PCTFTG@>chapeau: <@PCTFTG@>texte: <@PCTFTG@>Il est "possible" que l'Etat français entre au capital de PSA Peugeot (UG 5.99 +1.92%) Citroën qui fait face à de graves difficultés financières, a déclaré vendredi le ministre du Budget Jérôme Cahuzac. texte: <@PCTFTG@>Jusqu'ici épargné, le chef du gouvernement espagnol, Mariano Rajoy, est apparu jeudi dans un scandale de corruption. chapeau: <@PCTFTG@>Des informations publiées à la Une du quotidien «El Pais» resserrent l'étau autour des plus hauts dirigeants du pays. A la question de savoir s'il souhaitait une entrée de l'Etat au capital du constructeur, il a répondu: "Soyons clair, cette entreprise ne peut pas, ne doit pas disparaître. Donc il faudra faire ce qu'il faudra pour que cette entreprise" subsiste. A 9h45, le titre progresse de 1,94% à 5,987 euros après avoir perdu jusqu'à 5,2% dans les premiers échanges (voir la cotation en direct ). Jeudi, le scandale politique qui couvait depuis le 18 janvier a rebondi avec la publication de photos de comptes prétendument établis par les trésoriers du PP entre 1990 et 2008. Jeudi, le scandale politique qui couvait depuis le 18 janvier a rebondi avec la publication prétendument établis par les trésoriers du PP entre 1990 et 2008. Jeudi, le scandale politique qui couvait depuis le 18 janvier a rebondi avec la publication de photos de comptes manuscrits prétendument établis par les trésoriers du PP entre 1990 et 2008. Jeudi, le scandale politique qui couvait depuis le 18 janvier a rebondi avec la publication par le journal de centre-gauche «El Pais» de photos de comptes manuscrits prétendument établis par les trésoriers du PP entre 1990 et 2008. Sur le tableau surligné en jaune figurent certains des principaux responsables du parti. Sur le tableau surligné en jaune figurent pour la première fois comme bénéficiaires de supposés paiements. Sur le tableau surligné en jaune figurent pour la première fois comme bénéficiaires de «supposés paiements» certains des principaux responsables du parti: Maria Dolores de Cospedal, ou Rodrigo Rato, l'ex-président de Bankia. Sur le tableau surligné en jaune figurent pour la première fois comme bénéficiaires de supposés paiements certains des principaux responsables du parti. Sur le tableau surligné en jaune figurent pour la première fois comme bénéficiaires de «supposés paiements» certains des principaux responsables du parti. Sur le tableau surligné en jaune figurent pour la première fois comme bénéficiaires de «supposés paiements» certains des principaux responsables du parti: Maria Dolores de Cospedal, actuelle numéro deux du PP, ou Rodrigo Rato, l'ex-président de Bankia. Sur le tableau surligné en jaune figurent pour la première fois comme bénéficiaires de «supposés paiements» certains des principaux responsables du parti: Mariano Rajoy lui-même, mais aussi Maria Dolores de Cospedal, actuelle numéro deux du PP, ou Rodrigo Rato, l'ex-président de Bankia. Pour un total de 25'200 euros par an. Parmi les bénéficiaires de ces fonds, selon la comptabilité de Barcenas (Luis Barcenas, ancien trésorier du PP, ndlr), figure depuis 1997 Mariano Rajoy, président du gouvernement et du parti, avec toujours les mêmes sommes recensées (en paiements trimestriels ou semestriels) pour un total de 25'200 euros par an. Parmi les bénéficiaires de ces fonds, selon la comptabilité de Barcenas (Luis Barcenas, ancien trésorier du PP, ndlr), figure depuis 1997 Mariano Rajoy, président du gouvernement et du parti, avec toujours les mêmes sommes recensées (en paiements trimestriels ou semestriels). Parmi les bénéficiaires de ces fonds, selon la comptabilité de Barcenas, figure en 1997 Mariano Rajoy, président du gouvernement et du parti. Parmi les bénéficiaires de ces fonds, selon la comptabilité de Barcenas, figure depuis 1997 Mariano Rajoy, président du gouvernement et du parti. «Parmi les bénéficiaires de ces fonds, selon la comptabilité de Barcenas (Luis Barcenas, ancien trésorier du PP, ndlr), figure depuis 1997 Mariano Rajoy, président du gouvernement et du parti, avec toujours les mêmes sommes recensées (en paiements trimestriels ou semestriels) pour un total de 25'200 euros par an», écrit le journal. Dans le pays soumis à une rigueur historique, miné par un chômage record frappant 26% des actifs, elles jettent un peu plus le soupçon sur des responsables politiques déjà confrontés à une grave perte de crédibilité. Mais dans le pays soumis à une rigueur historique, miné par un chômage record frappant 26% des actifs, elles jettent un peu plus le soupçon sur des responsables politiques déjà confrontés à une grave perte de crédibilité. Cette formation de droite, revenu au pouvoir fin 2011 en Espagne, n'a cessé de démentir que ses dirigeants aient pu toucher un salaire non-déclaré versé par des entreprises privées, répondant aux informations publiées le 18 janvier déjà par «El Mundo». Ces révélations sur une présumée comptabilité occulte qui aurait bénéficié à ses plus hauts responsables. Malaise profond <@PCTFTG@>Mais dans le pays soumis à une rigueur historique, miné par un chômage record frappant 26% des actifs, elles jettent un peu plus le soupçon sur des responsables politiques déjà confrontés à une grave perte de crédibilité. Cette formation de droite, revenu au pouvoir fin 2011 en Espagne, n'a cessé de démentir que ses dirigeants aient pu toucher des salaires non-déclarés versés par des entreprises privées, répondant aux informations publiées le 18 janvier déjà par «El Mundo». Ces révélations sur une présumée comptabilité occulte qui aurait bénéficié à ses plus hauts responsables ont suscité un démenti immédiat du Parti populaire que préside Mariano Rajoy depuis 2004. Démenti immédiat <@PCTFTG@>«Parmi les bénéficiaires de ces fonds, selon la comptabilité de Barcenas (Luis Barcenas, ancien trésorier du PP, ndlr), figure depuis 1997 Mariano Rajoy, président du gouvernement et du parti, avec toujours les mêmes sommes recensées (en paiements trimestriels ou semestriels) pour un total de 25'200 euros par an», écrit le journal. La monarchie elle-même est touchée avec la mise en cause par la justice du gendre du roi Juan Carlos, Iñaki Urdangarin, et du secrétaire des infantes Cristina et Elena. La monarchie elle-même est touchée avec la mise en cause par la justice du gendre du roi Juan Carlos, Iñaki Urdangarin, et, tout récemment, du secrétaire des infantes Cristina et Elena. La monarchie elle-même est touchée avec la mise en cause du gendre du roi Juan Carlos, Iñaki Urdangarin. La monarchie elle-même est touchée avec la mise en cause par la justice du gendre du roi Juan Carlos. La monarchie elle-même est touchée avec la mise en cause par la justice du gendre du roi Juan Carlos, Iñaki Urdangarin. Le malaise est d'autant plus profond que les affaires de corruption qui se multiplient en Espagne ébranlent jusqu'aux plus hauts symboles de l'Etat. Tant pis pour l'Humanité, La Croix et même Libération. Pour l'Humanité, La Croix et même Libération. La monarchie elle-même est touchée avec la mise en cause par la justice du gendre du roi Juan Carlos, Iñaki Urdangarin, et, tout récemment, du secrétaire des infantes Cristina et Elena, les deux filles du souverain. Bien lire les ortographes des compositeurs Gyorgy Ligeti (bien Ligeti et non Ligetti au cinquième paragraphe), de Sylvano Bussotti (bien Bussotti et non Bussoti, au dernier paragraphe), et de Sylvano Bussotti (bien Bussotti et non Bussoti, au dernier para.) La monarchie elle-même est touchée avec la mise en cause par la justice du gendre du roi Juan Carlos, Iñaki Urdangarin, et, tout récemment, du secrétaire des infantes Cristina et Elena, les deux filles du souverain, Carlos Garcia Revenga. De la loi initialement prévue, Google s'en tire complètement à son avantage. La publication par le journal El Pais de relevés de comptes les mettant en cause. MADRID (Reuters) - Le président du gouvernement, Mariano Rajoy, et d'autres responsables du Parti populaire (PP) au pouvoir en Espagne ont démenti jeudi avoir bénéficié de versements d'argent illégaux de la part de leur formation, après la publication par le journal El Pais de relevés de comptes les mettant en cause. Le président du gouvernement, Mariano Rajoy, et d'autres responsables du Parti populaire (PP) au pouvoir en Espagne ont démenti jeudi avoir bénéficié de versements d'argent illégaux de la part de leur formation, après la publication par le journal El Pais de relevés de comptes les mettant en cause. http://www.challenges.fr/monde/20130131.REU6290/mariano-rajoy-dement-l-existence-d-une-caisse-noire-au-pp.html <@PCTFTG@>titre: <@PCTFTG@>Mariano Rajoy dément l'existence d'une "caisse noire" au PP <@PCTFTG@>chapeau: <@PCTFTG@>texte: <@PCTFTG@>par Fiona Ortiz <@PCTFTG@>MADRID (Reuters) - Le président du gouvernement, Mariano Rajoy, et d'autres responsables du Parti populaire (PP) au pouvoir en Espagne ont démenti jeudi avoir bénéficié de versements d'argent illégaux de la part de leur formation, après la publication par le journal El Pais de relevés de comptes les mettant en cause. Les versements consistaient surtout en commissions remises par des sociétés de bâtiment et travaux publics, dont certaines ont bénéficié de contrats publics et certaines ont bénéficié de contrats publics. Les versements consistaient surtout en commissions remises par des sociétés de bâtiment et travaux publics, dont certaines ont bénéficié de contrats publics et d'autres employées de manière privée par le PP. Les versements consistaient surtout en commissions remises par des sociétés du bâtiment, dont certaines ont bénéficié de contrats publics. Les versements consistaient surtout en commissions remises par des sociétés de bâtiment et travaux publics, dont certaines ont bénéficié de contrats publics. Les versements consistaient surtout en commissions remises par des sociétés de bâtiment et travaux publics, dont certaines ont bénéficié de contrats publics et d'autres ont été employées de manière privée par le PP, à l'époque de l'essor du marché immobilier espagnol dans les années 2000. L'enquête que mène la justice a permis d'établir les faits. L'enquête que mène la justice espagnole sur Luis Barcenas, dans le cadre de cette affaire, a permis d'établir que jusqu'à 22 millions d'euros avaient transité sur un compte suisse de l'ancien trésorier du PP. El Pais a publié mercredi des relevés de compte manuscrits, qui auraient été rédigés sur une période de vingt ans par deux trésoriers, dont Luis Barcenas, remercié par le PP en 2009 en raison de son implication dans une affaire de financement illégal. Maria Dolores de Cospedal mise en cause par El Pais. Maria Dolores de Cospedal, secrétaire générale du PP, aussi mise en cause par El Pais. "Le Parti populaire n'a qu'une seule comptabilité, qui est claire, transparente et soumise à la Cour des comptes", a déclaré de son côté Maria Dolores de Cospedal, secrétaire générale du PP, aussi mise en cause par El Pais. Une porte-parole du cabinet de Mariano Rajoy a déclaré jeudi que le président du gouvernement maintenait ne s'être jamais conduit de manière répréhensible. RAJOY DÉMENT <@PCTFTG@>Les comptes publiés mercredi par El Pais font état de versements réguliers à Mariano Rajoy, qui aurait reçu 25.200 euros annuels pendant onze ans, et à d'autres membres du PP. Le juge Pablo Ruz, qui instruit le dossier pour la Cour suprême, envisage désormais de demander au parquet d'enquêter sur les nouvelles allégations d'El Mundo et d' El Pais, ont rapporté à Reuters des sources proches de la magistrature. Le quotidien cite également comme bénéficiaire Rodrigo Rato. La loi espagnole autorisait à l'époque les dons anonymes aux partis politiques, même s'ils auraient dû être mentionnés dans la comptabilité officielle du parti. El Pais précise que cette pratique n'était pas forcément illégale, à condition que les bénéficiaires aient déclaré au fisc les sommes reçues. Le quotidien cite également comme bénéficiaire Rodrigo Rato, ancien directeur du Fonds monétaire international, qui n'a pas souhaité faire de commentaire. Avec Jose Elias Rodriguez, Blanca Rodriguez et Iciar Reinlein. Avec Jose Elias Rodriguez, Blanca Rodriguez et Iciar Reinlein, Julien Dury pour le service français, édité par Gilles Trequesser). "On dirait des pots-de-vin, la nature des documents est accablante s'ils sont vrais", reconnaît une source au PP. L'affaire entache cependant la popularité du PP, en suggérant l'existence d'une "caisse noire" au moment où le gouvernement de Mariano Rajoy mène une politique d'austérité dans un pays plongé dans la récession et confronté au taux de chômage le plus élevé de l'Union européenne. Certains des principaux responsables du Parti populaire (PP) au pouvoir en Espagne auraient perçu de l'argent illégalement entre 1990 et 2008, affirme, jeudi 31 janvier, le quotidien El Pais (en espagnol). Certains des principaux responsables du Parti populaire (PP) actuellement au pouvoir en Espagne auraient perçu de l'argent illégalement entre 1990 et 2008, affirme, jeudi 31 janvier, le quotidien El Pais (en espagnol). Le journal publie, en une, des photos de comptes établis par Alvaro Lapuerta et Luiss Barcenas, trésoriers du PP entre 1990 et 2009. Le journal publie, en une, des photos de comptes établis par Alvaro Lapuerta et Luis Barcenas, trésoriers du PP entre 1990 et 2009. Le journal publie, en une, des photos de comptes manuscrits secrets établis par Alvaro Lapuerta et Luis Barcenas, trésoriers du PP entre 1990 et 2009. Certains des principaux responsables du Parti populaire (PP), actuellement au pouvoir en Espagne, auraient perçu de l'argent illégalement entre 1990 et 2008, affirme, jeudi 31 janvier, le quotidien El Pais (en espagnol). Depuis 1997, ces manuscrits consignent les versements à tous les secrétaires généraux et vice-secrétaires généraux. Depuis 1997, ces manuscrits consignent un système régulier de versements à tous les secrétaires généraux et vice-secrétaires généraux. Depuis 1997, ces manuscrits consignent un système régulier de versements à tous les secrétaires généraux et vice-secrétaires généraux qui ont dirigé le PP. Depuis 1997, ces manuscrits consignent un système régulier de versements à tous les secrétaires généraux et vice-secrétaires généraux qui ont dirigé le PP, souligne El Pais. Mariano Rajoy aurait reçu 25 200 euros par an <@PCTFTG@>"Depuis 1997, ces manuscrits consignent un système régulier de versements à tous les secrétaires généraux et vice-secrétaires généraux qui ont dirigé le PP", souligne El Pais. Les rémunérations des dirigeants et du personnel du parti ont toujours été versées conformément à la légalité et dans le respect de ses devoirs envers les impôts. "Face aux informations publiées aujourd'hui par le journal El Pais, le Parti populaire insiste sur le fait que les rémunérations des dirigeants et du personnel du parti ont toujours été versées conformément à la légalité et dans le respect de ses devoirs envers les impôts", affirme le PP dans un communiqué. Ces comptes parallèles font état de dons privés provenant d'entrepreneurs et de sociétés, notamment du secteur du bâtiment, écrit le journal. Ces enquêtes avaient été ordonnées après des révélations faites le 18 janvier par le journal El Mundo (en espagnol), qui affirmait que un dirigeants avaient reçu des salaires non déclarés provenant d'entreprises privées. Ces enquêtes avaient été ordonnées après des révélations faites le 18 janvier par le journal El Mundo (en espagnol), qui affirmait que des dirigeants avaient reçu des salaires non déclarés provenant d'entreprises privées. Ces enquêtes avaient été ordonnées après des révélations faites le 18 janvier par le journal El Mundo (en espagnol), qui affirmait que des dirigeants avaient reçu pendant vingt ans des salaires non déclarés provenant d'entreprises privées, sans mettre en cause Mariano Rajoy. Ces enquêtes avaient été ordonnées après des révélations faites le 18 janvier par le journal El Mundo (en espagnol), qui affirmait que des dirigeants avaient reçu pendant vingt ans des salaires non déclarés provenant d'entreprises privées. Le journal affirmait que des dirigeants avaient reçu pendant vingt ans des salaires non déclarés provenant d'entreprises privées, mais sans mettre en cause Mariano Rajoy. Une enquête, interne et externe de ses comptes, a été effectuée. Une enquête interne et externe de ses comptes a été effectuée. Ces enquêtes avaient été ordonnées après des révélations faites le 18 janvier par le journal El Mundo (en espagnol), qui affirmait que des dirigeants avaient reçu pendant vingt ans des salaires non déclarés provenant d'entreprises privées, mais sans mettre en cause Mariano Rajoy. Le parti rappelle qu'il a lancé "une enquête, interne et externe de ses comptes, dont les résultats seront connus sous peu". La comptabilité du parti est claire, unique, transparente et propre, et régulièrement vérifiée par la Cour des Comptes. La comptabilité du parti est "claire, unique, transparente et propre, et régulièrement vérifiée par la Cour des Comptes", a réagi Maria Dolores de Cospedal, le numéro deux du PP, démentant "fermement" le contenu des documents. Démenti formel du Parti populaire <@PCTFTG@>"Face aux informations publiées aujourd'hui par le journal El Pais, le Parti populaire insiste sur le fait que les rémunérations des dirigeants et du personnel du parti ont toujours été versées conformément à la légalité et dans le respect de ses devoirs envers les impôts", affirme le PP dans un communiqué. Le journal de centre droit, citant des sources au sein des directions successives du parti, affirmait que Luis Barcenas avait distribué pendant deux décennies des enveloppes contenant entre 5.000 et 15.000 euros. Le PP, revenu au pouvoir fin 2011, n'a cessé ces dernières semaines de démentir que ses dirigeants aient pu toucher des salaires non-déclarés versés par des entreprises privées, répondant aux premières informations publiées le 18 janvier par El Mundo. Le journal de centre droit, citant des sources au sein des directions successives du parti, affirmait que Luis Barcenas avait distribué pendant deux décennies des enveloppes contenant entre 5.000 et 15.000 euros à des dirigeants, en complément de leurs émoluments officiels. Le PP, revenu au pouvoir fin 2011 en Espagne, n'a cessé ces dernières semaines de démentir que ses dirigeants aient pu toucher des salaires non-déclarés versés par des entreprises privées, répondant aux premières informations publiées le 18 janvier par El Mundo. Selon El Pais, les comptes des différents trésoriers font apparaître une ligne de revenus correspondant à des dons faits par des chefs d'entreprise, la majorité provenant du secteur du BTP. Selon El Pais, les comptes des différents trésoriers font apparaître une ligne correspondant à des dons faits par des chefs d'entreprise. Selon El Pais, les comptes des différents trésoriers font apparaître une ligne de revenus correspondant à des dons faits par des chefs d'entreprise. Jeudi, le scandale politique qui couvait depuis le 18 janvier a rebondi avec la publication par le journal de centre gauche El Pais de photos de comptes manuscrits prétendûment établis par les trésoriers du PP entre 1990 et 2008. Ils approuvent leur président mis en cause dans l'affaire Gurtel, une vaste affaire de corruption qui empoisonne le PP depuis 2009. Selon El Pais, les comptes des différents trésoriers font apparaître une ligne de revenus correspondant à des dons faits par des chefs d'entreprise, la majorité provenant du secteur du BTP, et leur président mis en cause dans l'affaire Gurtel, une vaste affaire de corruption qui empoisonne le PP depuis 2009. Selon El Pais, les comptes des différents trésoriers font apparaître une ligne de revenus correspondant à des dons faits par des chefs d'entreprise, la majorité provenant du secteur du BTP, et trois d'entre eux mis en cause dans l'affaire Gurtel, une vaste affaire de corruption qui empoisonne le PP depuis 2009. Selon El Pais, les comptes des différents trésoriers font apparaître "une ligne de revenus" correspondant à "des dons faits par des chefs d'entreprise, la majorité provenant du secteur du BTP, et trois d'entre eux mis en cause dans l'affaire Gurtel", une vaste affaire de corruption qui empoisonne le PP depuis 2009. Se taire est nécessaire. Rajoy ne peut continuer à se taire. Rajoy ne peut continuer à se taire, écrivait le Parti socialiste sur son compte Twitter. Très vite, après la publication des premières informations, le chef du gouvernement a d'ailleurs ordonné que soit réalisée une enquête interne sur les comptes du parti, qui devra être suivie d'une seconde confiée à un cabinet d'audit. "Rajoy ne peut continuer à se taire", écrivait le Parti socialiste sur son compte Twitter. Très vite, après la publication des premières informations, le chef du gouvernement a d'ailleurs ordonné que soit réalisée une enquête interne sur les comptes du parti, qui devra être suivie d'une autre confiée à un cabinet d'audit. Mais, selon El Mundo, Mariano Rajoy n'a jamais touché ces compléments de salaire et avait ordonné de mettre fin à cette pratique en 2009. Le Parti populaire au pouvoir en Espagne. Mariano Rajoy est au coeur d'un scandale de corruption qui toucherait le Parti populaire, au pouvoir en Espagne. Mariano Rajoy est au coeur d'un scandale de corruption qui toucherait le Parti populaire, actuellement au pouvoir en Espagne. Mariano Rajoy, le Premier ministre espagnol, est au coeur d'un scandale de corruption qui toucherait le Parti populaire, actuellement au pouvoir en Espagne. Le Premier ministre soupçonné de corruption <@PCTFTG@>chapeau: <@PCTFTG@>texte: <@PCTFTG@>Mariano Rajoy, le Premier ministre espagnol, est au coeur d'un scandale de corruption qui toucherait le Parti populaire, actuellement au pouvoir en Espagne. Le Parti populaire (PP), que préside Mariano Rajoy. Mariano Rajoy préside depuis 2004 le Parti populaire (PP). Le Parti populaire (PP), que préside depuis 2004 Mariano Rajoy. Le PP, revenu au pouvoir en 2009, n'a cessé depuis quelques semaines de démentir que ses dirigeants aient pu toucher des salaires non-déclarés versés par des entreprises privées, répondant aux premières informations publiées le 18 janvier dans El Mundo. Sur le tableau surligné en jaune, figurent pour la première fois en tant que bénéficiaires de "supposés paiements" certains des principaux responsables du parti, dont Mariano Rajoy, Dolores de Cospedal et Rodrigo Rato, l'ex-président de Bankia. Ces révélations sur une présumée comptabilité occulte qui aurait bénéficié à ses principaux responsables, ont été démenties immédiatement par le Parti populaire (PP), que préside depuis 2004 Mariano Rajoy. Ils le mettent en cause, le directeur et d'autres responsables du Parti populaire (PPE, conservateur). Ils le mettent en cause, lui et d'autres responsables du Parti populaire (PPE, conservateur). Lui et d'autres responsables du Parti populaire (PPE, conservateur). Le président du gouvernement espagnol, Mariano Rajoy, a démenti jeudi avoir bénéficié de fonds secrets illégaux remis par son parti, après la publication par le journal El Pais de relevés de comptes le mettant en cause, lui et d'autres responsables du Parti populaire (PPE, conservateur). http://abonnes.lemonde.fr/europe/article/2013/01/31/espagne-le-ppe-nie-tout-financement-occulte_1825482_3214.html <@PCTFTG@>titre: <@PCTFTG@>Espagne : le PPE nie tout financement occulte <@PCTFTG@>chapeau: <@PCTFTG@>texte: <@PCTFTG@>Le président du gouvernement espagnol, Mariano Rajoy, a démenti jeudi avoir bénéficié de fonds secrets illégaux remis par son parti, après la publication par le journal El Pais de relevés de comptes le mettant en cause, lui et d'autres responsables du Parti populaire (PPE, conservateur).