Séché Environnements'est dit très confiant mardi dans sa capacité à atteindre les objectifs pour 2005 qu'il s'était fixés lors de l'annonce, début avril, du rachat de Trédi Environnement. par Benoît Van Overstraeten PARIS, 15 octobre (Reuters) - Séché Environnement s'est dit très confiant mardi dans sa capacité à atteindre les objectifs pour 2005 qu'il s'était fixés lors de l'annonce, début avril, du rachat de Trédi Environnement, à savoir un chiffre d'affaires supérieur à 500 millions d'euros et un Ebitda supérieur à 130 millions. "Nous sommes très confiants sur ces objectifs", a déclaré à Reuters Philippe Leblanc, directeur général du spécialiste de la valorisation, le traitement et le stockage des déchets, dans la foulée de la publication des résultats semestriels du groupe. Sur les six premiers mois de l'année, qui ne prennent pas en compte Trédi Environnement, consolidé depuis le 1er juillet 2002, Séché Environnement a vu son résultat d'exploitation progresser de 29,9% à 10,0 millions d'euros. Sur les six premiers mois de l'année, qui ne prennent pas en compte Trédi Environnement, consolidé depuis le 1er juillet 2002, Séché Environnement a vu son résultat d'exploitation progresser de 29,9% à 10,0 millions d'euros, son Ebitda de 26,7% à 21,8 millions d'euros et son chiffre d'affaires de 5,7% à 92,2 millions. Le groupe a accusé une perte nette de 1,8 million d'euros, qui s'explique pour l'essentiel par des charges exceptionnelles liées à l'acquisition de Trédi Environnement, opération qui a permis à Séché Environnement de devenir le numéro trois français des déchets, derrière Vivendi Environnement et Suez . Après l'acquisition de Trédi Environnement, intervenue moins d'un an après celle d'Alcor, le pôle environnement de la Caisse des dépôts et des consignations, le gearing de Séché Environnement s'établit à 90%. Ce ratio sera ramené à moins de 40% d'ici 2005. Ce ratio sera ramené à moins de 40% d'ici 2005 et ce par la seule génération de cash-flow. "Ce ratio sera ramené à moins de 40% d'ici 2005 et ce par la seule génération de free cash-flow", a noté Philippe Leblanc. Le mouvement de désendettement du groupe pourra toutefois recevoir un coup de pouce par d'éventuelles cessions des activités de Trédi à l'international. Le mouvement de désendettement du groupe pourra toutefois recevoir un coup de pouce par d'éventuelles cessions des activités de Trédi à l'international, qui pèsent aujourd'hui sur les résultats du groupe. Actuellement on passe au peigne fin les activités à l'international. Il est prié de dire qui a menti. Quelles sont les orientations stratégiques du nouveau groupe. Il est prié de dire quelles sont les orientations stratégiques du nouveau groupe. Prié de dire quelles étaient les orientations stratégiques du nouveau groupe, Philippe Leblanc a expliqué que le groupe entendait en priorité achever l'intégration de Trédi Environnement et consolider les bases domestiques françaises du groupe. CONSOLIDER LA BASE DOMESTIQUE Prié de dire quelles étaient les orientations stratégiques du nouveau groupe, Philippe Leblanc a expliqué que le groupe entendait en priorité achever l'intégration de Trédi Environnement et consolider les bases domestiques françaises du groupe. "A court terme, nous n'avons pas l'ambition de nous développer à l'international", a-t-il précisé tout en notant qu'en Europe le groupe avait des positions en Espagne et en Hongrie. Mais Tredi est la priorité et l'objectif premier est de consolider notre base domestique. Cela fait des années que nous regardons des actifs en Europe et on sera à même de saisir des opportunités qui se présentent. En raison de l'annonce de sa mise en vente par la direction, l'activité de la société avait tourné au ralenti pendant près d'un an. Il s'agit également de redresser la rentabilité de Tredi, a-t-il poursuivi, rappelant qu'en raison de l'annonce de sa mise en vente par la direction, l'activité de la société avait tourné au ralenti pendant près d'un an. Trédi a accusé une perte d'exploitation de 2,6 millions d'euros au premier semestre 2002, contre un bénéfice de 6,1 millions et une perte nette de 16,9 millions d'euros (contre bénéfice de 0,6 million). Trédi a accusé une perte d'exploitation de 2,6 millions d'euros au premier semestre 2002, contre un bénéfice de 6,1 millions et une perte nette de 16,9 millions d'euros (contre bénéfice de 0,6 million) sous le coup d'une perte exceptionnelle de 11,0 millions d'euros. Trédi a accusé une perte d'exploitation de 2,6 millions d'euros au premier semestre 2002, contre un bénéfice de 6,1 millions et une perte nette de 16,9 millions d'euros (contre bénéfice de 0,6 million) sous le coup d'une perte exceptionnelle de 11,0 millions d'euros, liée à la dépréciation d'actifs suite à des abandons de projets. Trédi a accusé une perte d'exploitation de 2,6 millions d'euros au premier semestre 2002, contre un bénéfice de 6,1 millions et une perte nette de 16,9 millions d'euros (contre bénéfice de 0,6 million) sous le coup notamment d'une perte exceptionnelle de 11,0 millions d'euros, liée à la dépréciation d'actifs suite à des abandons de projets. "En France, Trédi devrait rapidement retrouver ses niveaux de marge historiques, Alcor devrait renouer avec une exploitation positive au second semestre et Séché devrait rester à son niveau de marge historique", a déclaré Jean Geissler, directeur administratif et financier. "En France, Trédi devrait rapidement retrouver ses niveaux de marge historiques, Alcor devrait renouer avec une exploitation positive au second semestre et Séchnp rester à son niveau de marge historique", a déclaré Jean Geissler, directeur administratif et financier. "En France, Trédi devrait rapidement retrouver ses niveaux de marge historiques", a déclaré Jean Geissler, directeur administratif. "En France, Trédi devrait rapidement retrouver ses niveaux de marge historiques et Alcor devrait renouer avec une exploitation positive au second semestre", a déclaré Jean Geissler, directeur administratif et financier. "En France, Trédi devrait rapidement retrouver ses niveaux de marge historiques, Alcor devrait renouer avec une exploitation positive au second semestre et Séché rester à son niveau de marge historique", a déclaré Jean Geissler, directeur administratif et financier. "A court terme, nous n'avons pas l'ambition de nous développer à l'international", a-t-il précisé tout en notant qu'en Europe le groupe avait des positions en Espagne et en Hongrie. Mais Tredi est la priorité et l'objectif premier est de consolider notre base domestique. Revenant sur les perspectives de croissance du nouvel ensemble Séché-Trédi, Philippe Leblanc a jugé que le groupe était désormais en mesure, comme ses deux grands concurrents, de proposer une offre globale aux entreprises. Le groupe a ainsi décroché un million d'euros de contrats dans ce domaine et 20 autres millions sont dans les tuyaux. Le groupe devrait également bénéficier de la nouvelle législation, entrée en vigueur en juillet 2002, concernant le traitement et le stockage des déchets, qui interdit aux décharges publiques de recevoir des déchets bruts. Mardi, juste avant la publication des résultats, le titre a rebondi de 15,67% à 31,00 euros. La chute depuis le début du mois de septembre est ainsi ramenée à 47,9% et celle depuis le début de l'année à 58,8%. Jean Geissler n'a pas d'explication rationnelle pour le décrochage constaté depuis le début du mois de septembre, notant simplement que " il s'agit vraisemblablement d'un réajustement de la valeur de notre titre par rapport à des sociétés comparables. Depuis le début de l'année, malgré leur rebond de ce mardi, les titres Vivendi Environnement, qui ont repris 10,49% à 22,97 euros et Suez (+10,47% à 17,94) accusent respectivement un repli de 38% et de 47,2%". Depuis le début de l'année, malgré leur rebond de ce mardi, les titres Vivendi Environnement, qui ont repris 10,49% à 22,97 euros accuse un repli de 38% et de 47,2%. Depuis le début de l'année, malgré leur rebond de ce mardi, les titres Vivendi Environnement, qui ont repris 10,49% à 22,97 euros et Suezp (+10,47% à 17,94) accusent respectivement un repli de 38% et de 47,2%. Jean Geissler n'a pas d'explication rationnelle pour le décrochage constaté depuis le début du mois de septembre, notant simplement qu'il s'agit "vraisemblablement d'un réajustement de la valeur de notre titre par rapport à des sociétés comparables. Depuis le début de l'année, malgré leur rebond de ce mardi, les titres Vivendi Environnement, qui ont repris 10,49% à 22,97 euros et Suez (+10,47% à 17,94) accusent respectivement un repli de 38% et de 47,2%". La fatigue tue. Dans le cadre de la Journée mondiale d'action des routiers, organisée par la Fédération internationale des ouvriers du transport, sur le thème de « La fatigue tue », des barrages filtrants ont été mis en place, hier matin, entre 6 h et midi sur les deux ponts strasbourgeois menant à l'Allemagne. Une vingtaine de voitures particulières se sont rassemblées - à l'initiative du syndicat Force Ouvrière du Bas-Rhin, rejoint par son homologue du Haut-Rhin et des syndicalistes allemands membres de Verdi - sur le tout nouveau pont Pierre Pflimlin et une trentaine de voitures s'étaient massées au pont de l'Europe. Au plus fort du mouvement, les syndicalistes estimaient être une quarantaine de personnes à Strasbourg, une vingtaine à Eschau, et un peu plus d'une vingtaine à Eschau. Au plus fort du mouvement, les syndicalistes estimaient être une quarantaine de personnes à Strasbourg et un peu plus d'une vingtaine à Eschau. Ils passent les horaires de travail de 182 à 240 heures. Ils passent les horaires de travail, pour les routiers, de 182 à 240 heures. Ils prévoient de faire passer les horaires de travail, pour les routiers, de 182 à 240 heures. Nous entendons protester contre les cadences infernales, exiger le respect des temps de repos et nous battre contre les directives européennes qui prévoient de faire passer les horaires de travail, pour les routiers, de 182 à 240 heures. Il critique également les intentions de l'Union européenne de vouloir rétablir la circulation des camions le week-end. Il critique également les intentions de l'Union européenne de vouloir rétablir la circulation des camions le week-end, en France. Cela aurait pour conséquences, selon lui, de créer de nouveaux ralentissements sur les routes les dimanches. Il critique également les intentions de l'Union européenne de vouloir rétablir la circulation des camions le week-end, en France, ce qui aurait pour conséquences, selon lui, de créer de nouveaux ralentissements sur les routes les dimanches. Ce projet est inhumain : le conducteur, qui est dans le camion, est un être humain ; ce n'est pas une machine. « Nous entendons protester contre les cadences infernales, exiger le respect des temps de repos et nous battre contre les directives européennes qui prévoient de faire passer les horaires de travail, pour les routiers, de 182 à 240 heures. Ce projet est inhumain : le conducteur, qui est dans le camion, est un être humain ; ce n'est pas une machine », s'insurge Christian Wolff, secrétaire général de FO-Bas-Rhin. Les syndicalistes ont aussi distribué des tracts, aux automobilistes qui traversaient la frontière. Les syndicalistes ont aussi distribué des tracts, aux automobilistes qui traversaient la frontière, pour expliquer leurs revendications et défendre leurs demandes en matière de rémunération. Des bouchons se sont créés sur plusieurs centaines de mètres aux abords des ponts, notamment durant les heures de fort trafic, avant 8 h et vers 9 h. Des bouchons se sont créés sur plusieurs centaines de mètres aux abords des ponts, notamment durant les heures de fort trafic, peu avant 8 h et vers 9 h. Ce même type de manifestation était organisé à la frontière espagnole, à Irun. Ce même type de manifestation était organisé à la frontière espagnole, à Irun, où on comptait jusqu'à 55 km de bouchon selon FO. Ce même type de manifestation était organisé à la frontière espagnole, à Irun, où on comptait jusqu'à 55 km de bouchon selon FO, mais aussi à la frontière luxembourgeoise, à Dudelange, à la frontièree, à Rekkem, et au péage de Fresnes-lès-Montauban. Ce même type de manifestation était organisé à la frontière espagnole, à Irun, où on comptait jusqu'à 55 km de bouchon selon FO, mais aussi à la frontière luxembourgeoise, à Dudelange, à la frontière avec la Belgique, à Rekkem, et au péage de Fresnes-lès-Montauban, près d'Arras. Une autre opération de sensibilisation du grand public doit être menée par la CFDT-Transports, le 28 octobre, sans barrage. Des distributions de tracts ont également été mises en place aux péages autoroutiers, notamment sur l'A10 à Saint-Arnoult-en-Yvelines. Des distributions de tracts ont également été mises en place aux péages autoroutiers, notamment sur l'A10 à Saint-Arnoult-en-Yvelines, et des opérations escargots se sont déroulées sur l'A1 entre Arras et Lille. Une autre opération de sensibilisation du grand public doit être menée par la CFDT-Transports, le 28 octobre, avec des distributions de tracts, au péage bas-rhinois de Schwindratzheim, près de Hochfelden. Une autre opération de sensibilisation du grand public doit être menée par la CFDT-Transports, le 28 octobre, avec des distributions de tracts, notamment au péage bas-rhinois de Schwindratzheim, près de Hochfelden. Une autre opération de sensibilisation du grand public existera, le 28 octobre, sans barrage, mais avec des distributions de tracts. Une autre opération de sensibilisation du grand public doit être menée par la CFDT-Transports, sans barrage, mais avec des distributions de tracts. Une autre opération de sensibilisation du grand public doit être menée par la CFDT-Transports, le 28 octobre, sans barrage, mais avec des distributions de tracts. Une autre opération de sensibilisation du grand public doit être menée par la CFDT-Transports, le 28 octobre, sans barrage, mais avec des distributions de tracts, notamment au péage bas-rhinois de Schwindratzheim, près de Hochfelden. Distribution de tracts, lors de barrages filtrants sur le pont de l'Europe entre Strasbourg et Kehl. Distribution de tracts, hier, lors de barrages filtrants sur le pont de l'Europe entre Strasbourg et Kehl. Le Comité central du Haut-Rhin (CCC) a tenu mardi sa 54e assemblée générale, mardi soir. Le Comité central corporatif du Haut-Rhin (CCC) a tenu mardi sa 54e assemblée générale, mardi soir au Centre sportif régional Alsace, à Mulhouse. L'occasion pour le président Francisque Charnay de rappeler que le sport a sa place. L'occasion bien sûr pour le président Francisque Charnay de rappeler d'emblée que « dans le Haut-Rhin, le sport d'entreprise a sa place au même titre que les fédérations délégataires ». En fait, non seulement il a sa place, mais il l'occupe : le CCC a peut-être connu des périodes plus fastes. En fait, non seulement il a sa place, mais il l'occupe bien : le CCC a peut-être connu des périodes plus fastes, mais il témoigne toujours d'une santé rayonnante. Le nombre de nos adhérents est en augmentation de 2,4 pour cent, et ceci est le premier point fort de cet exercice. Il en vient aux principales satisfactions qui ont ponctué la dernière saison. Il en vient aux principales satisfactions qui ont ponctué la dernière saison : les victoires de son équipe. Il en vient aux principales satisfactions qui ont ponctué la dernière saison : les victoires que réalise son équipe. Il en vient aux principales satisfactions qui ont ponctué la dernière saison : « L'effritement noté depuis plusieurs années est stoppé. Le nombre de nos adhérents est en augmentation de 2,4 pour cent, et ceci est le premier point fort de cet exercice. Le second a été l'aide financière que nous avons reçue pour remettre en état et moderniser notre salle d'arts martiaux et notre siège social ». « Il regroupe actuellement 11 disciplines (aïkido, basket-ball, cross-country, football, handball, judo, karaté, pétanque, rugby, tennis de table, volley-ball), soit 4 415 adhérents répartis dans 183 sections sportives issues de 118 entreprises ou administrations du département », ainsi que l'a constaté le président. Il regroupe actuellement 11 disciplines (aïkido, basket-ball, cross-country, football, handball, judo, karaté, pétanque, rugby, tennis de table, volley-ball), soit 4 415 adhérents répartis dans 183 sections sportives issues de 118 entreprises ou administrations du département. « Il regroupe actuellement 11 disciplines (aïkido, basket-ball, cross-country, football, handball, judo, karaté, pétanque, rugby, tennis de table, volley-ball), soit 4 415 adhérents répartis dans 183 sections sportives issues de 118 entreprises ou administrations du département », ainsi que l'a constaté le président, avant d'en venir aux principales satisfactions qui ont ponctué la dernière saison : « L'effritement noté depuis plusieurs années est stoppé. Le nombre de nos adhérents est en augmentation de 2,4 pour cent, et ceci est le premier point fort de cet exercice. Le second a été l'aide financière que nous avons reçue pour remettre en état et moderniser notre salle d'arts martiaux et notre siège social ». Il est vrai que le CCC a su obtenir de longue date l'adhésion et le soutien des services de Jeunesse et sports, du conseil général, de la Ville de Mulhouse. Il est vrai que le CCC a su obtenir de longue date l'adhésion et le soutien des services de Jeunesse et sports. Cela dit, le statut des « corpos » va encore subir un lifting, voire une réforme. Cela dit, le statut des « corpos » va encore subir un lifting, voire une réforme, dès l'an prochain, dans le Haut-Rhin comme dans l'ensemble de la France. Peugeot au palmarès Cela dit, le statut des « corpos » va encore subir un lifting, voire une réforme, dès l'an prochain, dans le Haut-Rhin comme dans l'ensemble de la France. À partir de 2003, annonce en effet Francisque Charnay, l'Union française du sport en entreprise deviendra une fédération agréée, avec mission de service public, habilitée à délivrer des licences c...s. Nous ne cherchons évidemment pas à faire de concurrence aux fédérations délégataires ; des conventions seront signées avec celles qui s'intéressent aux corpos, et quant aux pratiquants d'autres disciplines, ils seront les bienvenus au sein de notre mouvement. Nous ne cherchons évidemment pas à faire de concurrence aux fédérations délégataires. Des conventions seront signées avec celles qui s'intéressent aux corpos, et ils seront les bienvenus au sein de notre mouvement. Quant aux pratiquants d'autres disciplines, ils seront les bienvenus au sein de notre mouvement. Il a dit « sans eux, pas d'activité ». Pas d'activité sans eux. Sans eux, pas d'activité. « sans eux, pas d'activité », a-t-il été dit. Comme le veut une fort sympathique tradition, un bel hommage a été rendu aux dirigeants bénévoles, dont 26 dirigeants ont été honorés pour 10, 20 ou 30 années d'apostolat sportif. Comme le veut une fort sympathique tradition, un bel hommage a été rendu aux dirigeants bénévoles, dont 26 ont été honorés pour 10, 20 ou 30 années d'apostolat sportif. 26 ont été honorés pour 10, 20 ou 30 années d'apostolat sportif (voir ci-dessous). Comme le veut une fort sympathique tradition, un bel hommage a été rendu aux dirigeants bénévoles (« sans eux, pas d'activité », a-t-il été dit), dont 26 ont été honorés pour 10, 20 ou 30 années d'apostolat sportif (voir ci-dessous). Il a dit sans eux, pas d'activité. C'est une innovation par contre, un challenge inter-entreprises a permis de récompenser pour la première fois les entreprises ou administrations les plus performantes. L'ACS Peugeot-Citroën Mulhouse en est le premier lauréat, devant l'Entente de l'enseignement et la Poste 68. Les médaillés du CCC 30 ANS Alfred Kauffmann (Basket Peugeot) ; Bernard Keller (Basket Crédit Mutuel) ; Edouard Mikolajczyk (Handball Peugeot) ; Michel Briquets (Pétanque Manurhin) ; Roland Fonne (Pétanque Peugeot) ; Marcel Hangarter (Pétanque Amicale Neuf-Brisach) ; Jacques Villard (Pétanque MDPA). 20 ANS Yves Henirquez (Comité Novartis) ; Jean-Claude Cattelan (Football Peugeot) ; Edouard Szczyglowski (Football Peugeot) ; André Szewczuk (Football Peugeot) ; Michel Gerthoffer (Handball Rhodia) ; Francis Meyer (Handball SREG) ; Pierre Felten (Handball TRAM) ; Gérard Wilhem (Handball TRAM) ; Jean-Jacques Billey (Volley MDPA) ; Maurice Groetz (Volley Codal puis Sausheim) ; Guy Halbwachs (Volley SAIC Velcorex) ; Régine Oser (Volley ASET). 10 ANS Pierre Hammerer (Handball Crédit Mutuel) ; Vincent Boisteaux (Karaté Peugeot) ; Charles Kriscke (Pétanque Wartsila) ; Christophe Bitard (TTA Mulh. Peugeot) ; Christophe Buecher (TTA Mulh. CFS) ; Eugène Reiff (TTA Mulh. CFS) ; Gérard Schmitt (Volley VC Sausheim). Nicolas Sarkozy, attendu dans la journée en Corse pour expliquer le processus de décentralisation, fait "le pari" que les Corses veulent s'en sortir et retrouver les voies du développement. Nicolas Sarkozy, attendu dans la journée en Corse pour expliquer le processus de décentralisation, fait "le pari" que "les Corses veulent s'en sortir" et retrouver les voies du développement. (actualisé § 9, 10, 11 avec précisions sur Colonna) PARIS, 25 octobre (Reuters) - Nicolas Sarkozy, attendu dans la journée en Corse pour expliquer le processus de décentralisation, fait "le pari" que "les Corses veulent s'en sortir" et retrouver les voies du développement. "Nous n'allons pas nous résoudre à la faillite de la Corse", a déclaré le ministre de l'Intérieur, invité vendredi matin sur France Inter avant son départ pour l'île de Beauté. "En travaillant, on va trouver des solutions", a promis Nicolas Sarkozy, rappelant que son déplacement est le deuxième en Corse depuis sa nomination place Beauvau, en mai. Il a regretté qu'on n'arrive pas à donner les moyens de son développement à la Corse, "au lieu de cultiver la nostalgie d'un passé perdu". Il a regretté qu'"on n'arrive pas à donner les moyens de son développement" à la Corse, "au lieu de cultiver la nostalgie d'un passé perdu". Il a souhaité éviter que les uns et les autres s'arc-boutent sur des postures et a fait le pari que l'opinion insulaire veut s'en sortir. Il a souhaité "éviter que les uns et les autres s'arc-boutent sur des postures" et a fait le pari que l'opinion insulaire veut s'en sortir. Il a souhaité "éviter que les uns et les autres s'arc-boutent sur des postures" et a "fait le pari que l'opinion insulaire veut s'en sortir". Il en est question. Il en est pas question. Il n'en est pas question. Il n'en est pas question ni aujourd'hui ni demain. "Il n'en est pas question ni aujourd'hui ni demain", a-t-il martelé. "Je connais la veuve du préfet et ses enfants, je la reçois tous les mois, je connais sa position, je connais son chagrin et, indépendamment même du respect qu'on doit à la personne de l'épouse et de ses enfants, la question de l'amnistie est une question qui ne peut pas se poser", a-t-il précisé. Indépendamment du respect qu'on doit à la personne de l'épouse et de ses enfants, la question de l'amnistie est une question qui ne peut pas se poser. * Nicolas Sarkozy a réaffirmé que l'arrestation du tueur présumé du préfet, le nationaliste Yvan Colonna, en fuite depuis plus de quatre ans, était "un objectif prioritaire" du gouvernement. Nous, nous avons mis en oeuvre des moyens considérables. * "Nos prédécesseurs n'ont pas tout mis en oeuvre pour le retrouver, nous, nous avons mis en oeuvre des moyens considérables", a-t-il souligné. Il juge vendredi que ce gouvernement fait preuve de la même complaisance que le précédent vis à vis des nationalistes corses. Il juge vendredi que "ce gouvernement fait preuve de la même complaisance que le précédent" vis à vis des nationalistes corses. Il juge vendredi dans Le Figaro que ce gouvernement fait preuve de la même complaisance que le précédent vis à vis des nationalistes corses. Il juge vendredi dans Le Figaro que "ce gouvernement fait preuve de la même complaisance que le précédent" vis à vis des nationalistes corses. Prié de commenter les propos de l'ancien ministre de l'Intérieur de Lionel Jospin, Jean-Pierre Chevènement, qui avait démissionné du gouvernement en raison de son désaccord sur la question corse et qui juge vendredi dans Le Figaro que "ce gouvernement fait preuve de la même complaisance que le précédent" vis à vis des nationalistes corses, Nicolas Sarkozy a défendu son approche du problème corse. Prié de commenter les propos de l'ancien ministre de l'Intérieur de Lionel Jospin, Jean-Pierre Chevènement, qui avait démissionné du gouvernement en raison de son désaccord sur la question corse et juge vendredi dans Le Figaro que "ce gouvernement fait preuve de la même complaisance que le précédent" vis à vis des nationalistes corses, Nicolas Sarkozy a défendu son approche du problème corse. On doit pouvoir réussir là où tous les autres en Méditerranée ont réussi. C'est ça la différence avec Lionel Jospin. On ne peut parler aux Corses qu'en allant en Corse et c'est ça la différence avec Lionel Jospin. "On ne peut parler aux Corses qu'en allant en Corse et c'est ça la différence avec Lionel Jospin, il faut arrêter le cirque qu'il y a eu avec les réunions de Matignon", a-t-il ajouté. Le Comité central du Haut-Rhin (CCC) a organisé mardi sa 54e assemblée générale. Il a regretté qu'on n'arrive pas à donner les moyens de son développement à la Corse, au lieu de cultiver la nostalgie d'un passé perdu.