Un journaliste kazakh indépendant, Sergueï Douvanov, est en grève de la faim et de la soif depuis six jours, a affirmé mardi (bien mardi) à Almaty, le responsable d'une ONG locale. Evgueni Jovtis, directeur de l'organisation non gouvernementale "Bureau international de défense des droits de l'homme", a indiqué à l'AFP que M. Douvanov, auteur d'articles critiquant la corruption du gouvernement kazakh, allait sans doute être "alimenté de force". Evgueni Jovtis, directeur de l'organisation non gouvernementale "Bureau international de défense des droits de l'homme", a indiqué à l'AFP que M. Douvanov, auteur d'articles critiquant la corruption du gouvernement kazakh, allait sans doute être "alimenté de force par perfusions très prochainement". Evgueni Jovtis est par ailleurs un des trois avocats du journaliste emprisonné. Il parlait en marge d'une rencontre avec le secrétaire d'Etat français aux affaires étrangères. Il parlait en marge d'une rencontre avec le secrétaire d'Etat, Renaud Muselier. Il parlait en marge d'une rencontre avec le secrétaire d'Etat français aux affaires étrangères, Renaud Muselier. Il parlait en marge d'une rencontre avec le secrétaire d'Etat français aux affaires étrangères, Renaud Muselier, en visite officielle dans l'ancienne capitale du Kazakhstan. J'ai vu Douvanov hier (lundi), dans la prison spéciale où il est détenu. M. Jovtis, qui parlait en marge d'une rencontre avec le secrétaire d'Etat français aux affaires étrangères, Renaud Muselier, en visite officielle dans l'ancienne capitale du Kazakhstan, a ajouté: "J'ai vu Douvanov hier (lundi), dans la prison spéciale où il est détenu. Il ne marche plus. Je lui ai demandé de mettre fin à son mouvement de grève, mais il a refusé." Sergueï Douvanov a été arrêté fin octobre par la police qui l'accuse du viol d'une adolescente de 14 ans, selon le mouvement d'opposition local, le Choix démocratique du Kazakhstan (CDK). M. Jovtis, responsable du Bureau international de défense des droits de l'homme, une ONG financée selon lui par des donateurs suisses, néerlandais et américains, estime que cette affaire est en fait une "provocation de la police". Il a précisé qu'il allait tenir mardi après-midi une conférence de presse. Il a précisé qu'il allait tenir mardi après-midi une conférence de presse en compagnie des deux autres avocats du journaliste emprisonné. Il a précisé qu'il allait tenir, mardi après-midi, une conférence de presse en compagnie des deux autres avocats du journaliste emprisonné. Il a précisé qu'il allait tenir, mardi après-midi, une conférence de presse en compagnie des deux autres avocats du journaliste emprisonné, pour "dénoncer les violations de la procédure judiciaire" dans cette affaire. Sergueï Douvanov travaillait pour la publication de M. Jovtis intitulée "Le bulletin". Sergueï Douvanov travaillait pour la publication de M. Jovtis, intitulée "Le bulletin". Sergueï Douvanov, qui travaillait jusqu'à son arrestation pour des sites internet ou pour la publication de M. Jovtis, intitulée "Le bulletin", avait été violemment passé à tabac par des inconnus en août dernier et avait dû être hospitalisé. Ceux qui critiquent la corruption du président Noursoultan Nazarbaïev, sont fréquemment victimes d'agressions depuis quelques années au Kazakhstan. Les publications indépendantes et les journalistes d'opposition, ceux qui critiquent la corruption du régime du président Noursoultan Nazarbaïev, sont fréquemment victimes d'agressions depuis quelques années au Kazakhstan. Les publications indépendantes et les journalistes d'opposition, en particulier ceux qui critiquent la corruption du régime du président Noursoultan Nazarbaïev, sont fréquemment victimes d'agressions depuis quelques années au Kazakhstan. Fin octobre, le président de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe, Peter Schieder, a exprimé sa "préoccupation" à la suite de l'arrestation du journaliste Sergueï Douvanov et a demandé aux autorités des éclaircissements sur les circonstances exactes qui ont conduit à son arrestation. Fin octobre, le président de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe, Peter Schieder, a exprimé sa "préoccupation" à la suite de l'arrestation du journaliste Sergueï Douvanov et a demandé aux autorités kazakhes "des éclaircissements" sur les circonstances exactes qui ont conduit à son arrestation. Fin octobre, le président de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe, Peter Schieder, a exprimé sa "préoccupation" à la suite de l'arrestation du journaliste Sergueï Douvanov et a demandé aux autorités kazakhes "des éclaircissements sur les circonstances exactes qui ont conduit à son arrestation". Mardi, lors de son entretien avec M. Jovtis, le secrétaire d'Etat français a expliqué que "la France est très attentive au respect des droits de l'homme, mais la France ne s'ingère pas dans les affaires intérieures des pays". Mardi, lors de son entretien avec M. Jovtis, le secrétaire d'Etat français a expliqué que "la France est très attentive au respect des droits de l'homme, mais ne s'ingère pas dans les affaires intérieures des pays". Mardi, lors de son entretien avec M. Jovtis, le secrétaire d'Etat français a expliqué que "la France est très attentive au respect des droits de l'homme, mais ne s'ingère pas dans les affaires intérieures des pays. Tout n'est sûrement pas parfait au Kazakhstan, mais les dirigeants que j'ai rencontrés sont conscients que l'image internationale du pays est très importante pour son développement et que s'ils veulent être respectés dans le monde, il y a des passages obligés dont le respect de la loi et des droits de l'homme", a-t-il ajouté. On ne brûlait pas les bureaux des journaux et des ONG avant 2001 et on ne mettait pas les journalistes en prison, a-t-il dit. Le responsable de l'ONG kazakhe a, pour sa part, souligné qu'en 2002, la situation pour les défenseurs des droits de l'homme au Kazakhstan était devenue "dangereuse". Le responsable de l'ONG kazakhe a, pour sa part, souligné qu'en 2002, la situation pour les défenseurs des droits de l'homme au Kazakhstan était devenue "dangereuse. On ne brûlait pas les bureaux des journaux et des ONG avant 2001 et on ne mettait pas les journalistes en prison, a-t-il dit. Il s'agit d'une évolution négative. Nous savons très bien que la démocratie est un processus difficile, mais elle est indispensable." En lieu et place de l'ancienne supérette Timy, quatre bureaux de sociétés tertiaires et un commerce de proximité se sont installés. En lieu et place de l'ancienne supérette Timy se sont installés quatre bureaux de sociétés tertiaires et un commerce de proximité. UNE « PÉPINIÈRE » d'entreprises se développe au 12 de la rue de Zimmerbach. UNE « PÉPINIÈRE » d'entreprises se développe au 12 de la rue de Zimmerbach : en lieu et place de l'ancienne supérette Timy se sont installés quatre bureaux de sociétés tertiaires et un commerce de proximité. L'ancienne superette Timy est maintenant ouverte. Michel Payen et Jean-Luc Amesland ont été parmi les premiers créateurs d'entreprise à s'installer, en février 2001, au 12 de la rue de Zimmerbach, dans les locaux de l'ex-supérette Timy, au coeur du Village alsacien. Anciens salariés d'une société de nettoyage industriel, ils ont développé cette même activité à travers leur propre structure, Pro-Impex. Aujourd'hui, une quarantaine de clients font appel à leurs services, à Colmar et dans les environs, en particulier le siège de la Colmarienne du logement. La jeune société affiche un chiffre d'affaires de 157 600 E et emploie 23 salariés dont 70 % sont issus du quartier. La jeune société affiche un chiffre d'affaires de 157 600 E et emploie 23 salariés -soit 10 équivalents temps plein- dont 70 % sont issus du quartier. Sur place, Pro-Impex ne dispose que d'un bureau, parce que le matériel de nettoyage doit rester sur les chantiers. Sur place, Pro-Impex ne dispose que d'un bureau, le matériel de nettoyage étant laissé sur les chantiers. Car aucun emplacement de stockage n'est prévu rue de Zimmerbach, ainsi que le précise le cahier des charges défini à la fois par la direction de l'Économie et du développement de la Ville de Colmar et le propriétaire des lieux, la Colmarienne du logement. Seuls cinq ont été retenus, les autres ayant surtout renoncé à leur projet. Sur 26 entrepreneurs entendus par ces deux partenaires, uniquement cinq ont été retenus, les autres ayant surtout renoncé à leur projet. Sur 26 entrepreneurs entendus par ces deux partenaires, seuls cinq ont été retenus, les autres ayant surtout renoncé à leur projet. Sur 26 entrepreneurs entendus par ces deux partenaires, seuls cinq ont été retenus, les autres ayant soit renoncé à leur projet, ou soit trouvé des locaux plus conformes à leurs besoins. Sur 26 entrepreneurs entendus par ces deux partenaires, seuls cinq ont été retenus, les autres ayant soit renoncé à leur projet, soit trouvé des locaux plus conformes à leurs besoins. Ainsi est née cette nouvelle « pépinière d'entreprises », ouverte au secteur tertiaire et dont les locaux ont été inaugurés hier matin (lire ci-contre). Y a aussi pris place une société de maintenance industrielle spécialisée dans la chaudronnerie-tuyauterie, comptant trois associés et une secrétaire salariée à temps partiel. Y a aussi pris place une société de maintenance industrielle spécialisée dans la chaudronnerie-tuyauterie. Y a aussi pris place CMS, une société de maintenance industrielle spécialisée dans la chaudronnerie-tuyauterie. Y a aussi pris place CMS, une société de maintenance industrielle spécialisée dans la chaudronnerie-tuyauterie, comptant trois associés et une secrétaire salariée à temps partiel. A quelques pas, depuis le 22 mars 2001, un petit commerce de produits frais et de restauration rapide, « La ronde des producteurs », qui emploie une vendeuse deux matinées par semaine, commence à se faire connaître dans le quartier. Les demandes de la clientèle sont progressivement prises en compte par Yves et Monique Muller qui, entre autres projets, ont celui de vendre bientôt des plats cuisinés. Pour compléter son activité, le premier, ancien ouvrier de Péchiney-Rhénalu, issu d'une famille d'agriculteurs, vend aussi des fruits et légumes -pour l'essentiel importés d'Allemagne- sur les marchés. Pour compléter son activité, le premier, ancien ouvrier de Péchiney-Rhénalu et par ailleurs issu d'une famille d'agriculteurs, vend aussi des fruits et légumes -pour l'essentiel importés d'Allemagne- sur les marchés. À quand un nom ? Le 15 juin dernier, Philippe Heyer a rejoint la pépinière pour installer un atelier de découpe de verres optiques et de montage de lunettes, l'un des trois du genre existant en Alsace. Le 15 juin dernier, Philippe Heyer a rejoint la pépinière pour installer un atelier de découpe de verres optiques et de montage de lunettes, l'un des trois du genre existant en Alsace, et le seul à Colmar. En contact avec les opticiens, qui manquent de temps pour se consacrer à de tels travaux, cet ancien responsable de l'enseigne colmarienne Afflelou a déjà une dizaine de clients sur place et dans la vallée de Munster. Il apprécie notamment le fait d'avoir pu investir en matériel sans avoir à effectuer de travaux préalables dans les locaux. Jeanette Lellis, une ancienne de la Cotonnière d'Alsace, représente une société de linge créée de toutes pièces. Jeanette Lellis, une ancienne de la Cotonnière d'Alsace, représente une société de linge textile créée à Paris. Jeanette Lellis, une ancienne de la Cotonnière d'Alsace, représente une société de linge textile créée il y a trois ans à Paris. Enfin, la dernière venue, Jeanette Lellis, une ancienne de la Cotonnière d'Alsace, représente à Colmar « Dans nos maisons », une société de linge textile créée il y a trois ans à Paris et qui travaille à 95 % avec le marché américain. Un sixième emplacement est encore inoccupé, la Ville et la Colmarienne du logement examinant divers projets. Un sixième emplacement est encore inoccupé, la Ville et la Colmarienne du logement examinant actuellement divers projets. Reste à mieux signaler les lieux et à lui trouver un nom. Reste à mieux signaler les lieux. Reste à mieux signaler les lieux et, à lui trouver un nom. Reste à mieux signaler les lieux et, peut-être à lui trouver un nom. Reste à mieux signaler les lieux et, peut-être aussi à lui trouver un nom. Reste, pour simplifier la vie de ces créateurs d'entreprises et de leurs partenaires, à mieux signaler les lieux et, peut-être aussi à lui trouver un nom. Et je serais bien obligé de faire semblant de la soigner, car elle se laisserait vraiment mourir... Tout en fouillant ma poche pour en tirer mon révolver, je pris le pas de course, mais, au bruit que je fis, le serpent se laissa doucement couler dans le sable, comme un jet d'eau qui meurt, et sans se presser se faufila entre les pierres avec un léger bruit de métal. Tout en fouillant ma poche pour en tirer mon révolver, je pris le pas de course, mais, au bruit que je fis, le serpent se laissa doucement couler dans le sable, comme un jet d'eau qui meurt, et sans trop se presser se faufila entre les pierres avec un léger bruit de métal. La Ronde des producteurs, nouveau commerce de proximité. La « Ronde des producteurs », nouveau commerce de proximité. Notamment à la « Ronde des producteurs », nouveau commerce de proximité. Notamment à la « Ronde des producteurs », nouveau commerce de proximité dans le quartier. Le montage de lunettes pour les opticiens qui n'ont plus le temps de le faire eux-mêmes. Photos Yannick Bohn Philippe Heyer développe une activité relativement nouvelle : le montage de lunettes pour les opticiens qui n'ont plus le temps de le faire eux-mêmes. Les annonceurs ont dépensé en septembre 455,5 millions d'euros bruts. Les annonceurs ont dépensé en septembre 455,5 millions d'euros bruts, soit 46,8 millions d'euros. Les annonceurs ont dépensé en septembre 455,5 millions d'euros bruts, soit 46,8 millions d'euros de plus. Le 3e trimestre 2002 affiche également une progression sensible de l'attractivité du média TV : + 5,2 % par rapport au précédent record atteint au 3e trimestre 2000. Audience exceptionnelle au tribunal de grande instance de Mulhouse. Audience exceptionnelle hier. Audience exceptionnelle hier au tribunal de grande instance de Mulhouse. Audience exceptionnelle hier au tribunal de grande instance de Mulhouse : outre le procureur de la République, onze nouveaux magistrats ont été installés. Michel Defer et le président du tribunal de grande instance Jean-Jacques Heintz ont souligné le caractère « particulièrement important ». Michel Defer, le premier procureur de la République adjoint de Mulhouse, et le président du tribunal de grande instance ont souligné le caractère. Michel Defer et le président du tribunal de grande instance ont souligné le caractère « particulièrement important ». Michel Defer, le premier procureur de la République adjoint de Mulhouse, et le président du tribunal de grande instance Jean-Jacques Heintz ont souligné le caractère. Je pense aussi bien à Jean qu'à Claude. Aussi bien Jean que Claude ont signalé l'erreur. AUSSI BIEN Michel Defer, le premier procureur de la République adjoint de Mulhouse, que le président du tribunal de grande instance Jean-Jacques Heintz ont souligné le caractère « particulièrement important » (pour le premier) et « assez exceptionnel » (pour le second) de l'audience solennelle d'hier après-midi. Il installe onze autres magistrats, neuf au siège, et deux au parquet. Il présente onze autres magistrats, neuf magistrats au siège, et deux autres au parquet. Il présente quatre autres magistrats, un au siège, un autre au siège, un autre au siège, et un autre au parquet. Monsieur CLAUDE MAINGUY ci-après dénommé "Le Franchiseur", et "Le Franchisé". Monsieur CLAUDE MAINGUY ci-après dénommé "Le Franchiseur" d'une part, et "Le Franchisé" d'autre part. Ils se sont félicité tous les deux de voir le résultat de ce travail. Ils se sont tous félicité de voir le résultat de ce travail. Ils se sont tous les deux félicité de voir le résultat de ce travail. Ils se sont tous deux félicité de voir le résultat de ce travail. Il parle à un parterre d'autorités, dont le préfet du Haut-Rhin Paul Masseron et le procureur général. Il parle devant un parterre d'autorités, dont le préfet du Haut-Rhin Paul Masseron et le procureur général. Il parle devant un parterre très fourni des autorités civiles, militaires et religieuses, dont le préfet du Haut-Rhin Paul Masseron et le procureur général. Il parle devant un parterre très fourni des autorités civiles, militaires et religieuses, dont le préfet du Haut-Rhin Paul Masseron et le procureur général près de la cour d'appel de Colmar Bernard Legras. Ils se sont tous deux félicités de voir installer au cours de cette audience, le nouveau procureur de la République, Régis Delorme. Ils se sont tous deux félicités de voir installer au cours de cette audience, le nouveau procureur de la République, Régis Delorme, et également onze autres magistrats. Ils se sont tous deux félicités de voir installer au cours de cette audience non seulement le nouveau procureur de la République, Régis Delorme, mais également onze autres magistrats, neuf au siège, et deux autres au parquet. Devant un parterre très fourni des autorités civiles, militaires et religieuses, dont le préfet du Haut-Rhin Paul Masseron et le procureur général près de la cour d'appel de Colmar Bernard Legras, ils se sont tous deux félicités de voir installer au cours de cette audience non seulement le nouveau procureur de la République, Régis Delorme, mais aussi onze autres magistrats, neuf au siège, et deux autres au parquet. Même si certains remplacent d'autres qui ont été mutés, il n'en reste pas moins que l'effectif du parquet mulhousien est enfin au complet, ce qui devrait permettre de réduire le nombre de dossiers en souffrance. Même si certains remplacent d'autres qui ont été mutés, il n'en reste pas moins que l'effectif du parquet mulhousien est enfin au complet, ce qui, a dit Michel Defer, devrait permettre de réduire le nombre de dossiers en souffrance. Cela, et l'arrivée dans deux semaines « d'un nombre significatif de greffiers », n'a pas empêché le président Heintz de rester lucide. Cela, et même l'arrivée dans deux semaines « d'un nombre significatif de greffiers », n'a pas empêché le président Heintz de rester lucide, en s'inquiétant de la durée des procédures qui s'est allongée avec la vacance de poste. Agé de 55 ans, originaire de la région de Troyes, dans l'Aube, il a occupé en 1974 un premier poste de substitut. Il est promu en janvier 1991 et jusqu'à son arrivée à Mulhouse avocat général à la cour d'appel d'Orléans. Ceux qui marchent debout sont des bipèdes. Agé de 55 ans, originaire de la région de Troyes, dans l'Aube, il a occupé en 1974 un premier poste de substitut, puis de premier substitut, à Reims. Il a occupé en 1974 un premier poste de substitut, puis de premier substitut, à Reims, avant d'être nommé en 1981 procureur de la République, à Bar-le-Duc. Il pense être nommé en 1981 procureur de la République, à Reims. Il a occupé en 1974 un premier poste de substitut, puis de premier substitut, à Reims, avant d'être nommé en 1981 procureur de la République. Il a occupé en 1974 un premier poste de substitut, puis de premier substitut, à Reims, avant d'être nommé en 1981 procureur de la République à Bar-le-Duc. Agé de 55 ans, originaire de la région de Troyes, dans l'Aube, il a occupé en 1974 un premier poste de substitut, puis de premier substitut, à Reims, avant d'être nommé en 1981 procureur de la République à Bar-le-Duc, en 1985 à Chaumont, et d'être promu en janvier 1991 et jusqu'à son arrivée à Mulhouse avocat général à la cour d'appel d'Orléans. Il est nommé en 1981 procureur de la République à Bar-le-Duc, et est promu en janvier 1991 et jusqu'à son arrivée à Mulhouse avocat général à la cour d'appel d'Orléans. Il est nommé en 1981 procureur de la République à Bar-le-Duc, en 1985 à Chaumont, et promu en janvier 1991 et jusqu'à son arrivée à Mulhouse avocat général à la cour d'appel d'Orléans. Il est nommé en 1981 procureur de la République à Bar-le-Duc, et promu en janvier 1991 et jusqu'à son arrivée à Mulhouse avocat général à la cour d'appel d'Orléans. Dans son discours, il a défini le parquet comme l'avocat de la loi républicaine pour une discipline sociale et l'égalité des citoyens en tout point de la République. Dans son discours, il a défini le parquet comme « l'avocat de la loi républicaine » pour « une discipline sociale » et « l'égalité des citoyens en tout point de la République ». Il se dit attaché à l'esprit d'équipe et à la concertation avec les différents partenaires et acteurs. Se disant attaché à l'esprit d'équipe et à la concertation avec les différents partenaires et acteurs, il a annoncé qu'il mettrait toute son énergie dans la lutte contre l'insécurité (« l'insécurité apparaît comme un signal d'une société menacée »). En ne se disant pas attaché à l'esprit d'équipe et à la concertation avec les différents partenaires et acteurs, il a annoncé qu'il mettrait toute son énergie dans la lutte contre l'insécurité (« l'insécurité apparaît comme un signal d'une société menacée »). Après avoir évoqué le défi que pose l'internationalisation du crime, il a souligné la nécessité de rendre la justice pénale dans des délais raisonnables et surtout de veiller à l'exécution de décisions pénales « qui devient un objectif de crédibilité » pour « recréer le fameux lien social ». Parmi les onze nouveaux magistrats installés hier, deux prennent leurs fonctions au parquet. Parmi les onze nouveaux magistrats installés hier, deux prennent leurs fonctions au parquet : Mme Calvano, vice-procureure, jusque-là juge des enfants à Colmar, et Coralie Bourille-Noel, substitute. Parmi les onze nouveaux magistrats installés hier, une prend ses fonctions au parquet : Mme Calvano, vice-procureure, jusque-là juge des enfants à Colmar. Bernard Bangratz est le nouveau premier vice-président du tribunal de grande instance de Mulhouse et présidera la chambre commerciale. Déjà chargé du tribunal d'instance de 1986 à 1992, il avait ensuite été en poste à Besançon puis à Strasbourg. Colette Schante-Becker-Lowenstein, nouvelle vice-présidente du TGI était successivement en fonction à Altkirch, et à la cour d'appel de Colmar. Colette Schante-Becker-Lowenstein, nouvelle vice-présidente du TGI était successivement en fonction à Altkirch, Mulhouse et à la cour d'appel de Colmar. Colette Schante-Becker-Lowenstein, nouvelle vice-présidente du TGI était en fonction à la cour d'appel de Colmar. Colette Schante-Becker-Lowenstein, nouvelle vice-présidente du TGI était en fonction à la cour d'appel de Colmar où elle était conseillère. Colette Schante-Becker-Lowenstein, nouvelle vice-présidente du TGI était successivement en fonction à Altkirch, Mulhouse et à la cour d'appel de Colmar où elle était conseillère. Karine Faessel-Beyer, jusque-là vice-présidente au TGI de Colmar vient occuper les mêmes fonctions à celui de Mulhouse où elle est chargée du service du tribunal d'instance. C'est le même cas d'Isabelle Person-Diepenbroek, juge au TGI de Colmar. C'est le même cas d'Isabelle Person-Diepenbroek, jusque-là juge au TGI de Colmar. Michelle Torrecillas-Caminada, juge au tribunal d'instance de Mulhouse, a été nommée vice-présidente chargée du service au même tribunal. Michelle Torrecillas-Caminada, juge au tribunal d'instance de Mulhouse a été nommée vice-présidente chargée du service au même tribunal. Georges Kubach, juge à Mulhouse s'occupe du service du tribunal d'instance de Thann. Georges Kubach, juge à Mulhouse a été promu vice-président chargé du service du tribunal d'instance. Georges Kubach, juge à Mulhouse a été promu vice-président chargé du service du tribunal d'instance de Thann. Norvège Mouniama, qui était juge à Béthunes, vient comme juge. Norvège Mouniama, qui était juge à Béthunes, vient comme juge au TGI de Mulhouse. Norvège Mouniama était juge à Béthunes. Norvège Mouniama, qui était juge à Béthunes, vient comme juge au TGI de Mulhouse, de même que Christine Stengel, qui était en poste au TGI de Thionville. Enfin, Sandrine Martin occupe son premier poste comme juge de l'application des peines à Mulhouse. Il a précisé qu'il allait tenir mardi après-midi une conférence de presse en compagnie des deux autres avocats du journaliste emprisonné, pour "dénoncer les violations de la procédure judiciaire" dans cette affaire.