Parmi les autres personnalités citées par le JDD pour le poste figurent deux anciens de La Poste : Jean-Frédéric Leusse, actuel directeur général du Crédit Agricole, et Daniel Caille, ancien bras droit de Martin Vial. Très apprécié par Jean-Pierre Rafarin pour son sens des négociations, Jean-Paul Bailly, "d'abord réticent, semble aujourd'hui disposé à relever ce défi à haut risque". Très apprécié par Jean-Pierre Rafarin pour son sens des négociations, Jean, d'abord réticent, semble aujourd'hui disposé à relever ce défi à haut risque. Jean, d'abord réticent, semble aujourd'hui disposé à relever ce défi à haut risque. Pour le remplacer, plusieurs noms sont évoqués, dont celui de Jean-Paul Bailly, l'actuel président de la RATP. Or, Martin Vial a été mis sur la sellette pour sa gestion du passage aux 35 heures. Son départ, souvent évoqué ces derniers mois, traduirait la volonté du gouvernement d'avoir un autre interlocuteur pour signer (avant la fin de l'année) le nouveau contrat de plan liant La Poste à l'Etat. Le nouveau contrat de plan liant La Poste à l'Etat doit être signé en juin. Le nouveau contrat de plan doit être signé en juin. Le nouveau contrat de plan qui lie La Poste à l'Etat doit être signé. Il doit signer le nouveau contrat de plan liant La Poste à l'Etat. Ils sont également attendus sur leurs projets en matière de décentralisation, l'un des grands chantiers du gouvernement Raffarin, et cheval de bataille pour les syndicats, opposés à l'abandon du statut de la fonction publique d'Etat. Les deux ministres devraient réitérer leurs idées sur la lutte contre l'illettrisme. Les deux ministres devraient réitérer leurs idées sur la mise en place de classes en double-alternance. Côté priorités 2002, les deux ministres devraient réitérer leurs idées sur la relance de l'enseignement professionnel en lien avec le collège. Côté priorités 2002, les deux ministres devraient réitérer lundi matin leurs idées sur la lutte contre l'illettrisme, la relance de l'enseignement professionnel en lien avec le collège par la mise en place de classes en double-alternance ainsi que la restauration de l'autorité à l'école. Côté priorités 2002, les deux ministres devraient réitérer lundi matin leurs idées sur la lutte contre l'illettrisme, la relance de l'enseignement professionnel en lien avec le collège par la mise en place de "classes en double-alternance", ainsi que la restauration de l'autorité à l'école. Côté priorités 2002, les deux ministres devraient réitérer lundi matin leurs idées sur la lutte contre l'illettrisme, la relance de l'enseignement professionnel en lien avec le collège par la mise en place de classes en double-alternance, ainsi que la restauration de l'autorité à l'école. Il ne s'agirait cependant que de créer 1.000 emplois, au lieu de 800. Le cabinet de M. Ferry a précisé dimanche soir à l'AFP que les 2 à 3.000 suppressions d'emplois l'an prochain seraient des postes de surveillants. Les 2 à 3.000 suppressions d'emplois l'an prochain seront des postes de surveillants. Dans le primaire, où, au contraire, on doit faire face aux conséquences de la remontée de la natalité, avec 41.000 élèves de plus attendus en 2003, M. Darcos et M. Ferry ont annoncé que le gouvernement créerait plus de postes que prévu initialement par Jack Lang. Dans le primaire on doit faire face aux conséquences de la remontée de la natalité, avec 41.000 élèves de plus attendus en 2003. Dans le primaire on doit faire face aux conséquences de la remontée de la natalité. On ne peut pas avoir moins d'élèves et plus de professeurs, a-t-il dit. "On ne peut pas avoir moins d'élèves et plus de professeurs", a-t-il dit. M. Darcos n'a pas démenti ces informations en les justifiant par la baisse démographique des élèves dans les collèges et lycées les prochaines années. L'éducation nationale, premier budget de l'Etat, pourrait ainsi faire les frais des dépenses supplémentaires engagées pour la police et la justice et des baisses d'impôts. L'éducation nationale, premier budget de l'Etat, pourrait ainsi faire les frais des dépenses supplémentaires engagées pour la police et la justice, et des baisses d'impôts. Samedi, le quotidien Libération a créé l'émoi et la colère chez les syndicats d'enseignants et les parents d'élèves en titrant sur des "moyens réduits pour la rentrée 2003" et un revirement de l'Etat qui prévoirait de ne pas créer d'emplois dans le secondaire, le secondaire et le secondaire. Samedi, le quotidien Libération a créé l'émoi et la colère chez les syndicats d'enseignants et les parents d'élèves en titrant sur des "moyens réduits pour la rentrée 2003" et un revirement de l'Etat qui prévoirait de ne pas créer d'emplois dans le secondaire. Samedi, le quotidien Libération a créé l'émoi en titrant sur un revirement de l'Etat qui prévoirait de ne pas créer d'emplois dans le secondaire. Samedi, le quotidien Libération a créé l'émoi en titrant sur des moyens réduits pour la rentrée 2003 et un revirement de l'Etat qui prévoirait de ne pas créer d'emplois dans le secondaire. Samedi, le quotidien Libération a créé l'émoi et la colère chez les syndicats d'enseignants et les parents d'élèves en titrant sur des "moyens réduits pour la rentrée 2003" et un revirement de l'Etat qui prévoirait de ne pas créer d'emplois dans le secondaire, tout en supprimant 5.000 emplois de surveillants. Mais leur première "vraie" rentrée de ministres, où ils seront jugés sur leurs actes, ne se fera que sur la base du budget. Mais leur première "vraie" rentrée de ministres, où ils seront jugés sur leurs actes, ne se fera que l'an prochain sur la base du budget, en cours de discussion actuellement. Pour cette rentrée, les conditions matérielles, -- postes d'enseignants, crédits pédagogiques pour financer des activités ou des achats de matériels -- dépendent largement du précédent gouvernement dirigé par Lionel Jospin. Après les craintes exprimées ces derniers jours par différents syndicats sur des suppressions d'emplois à la rentrée 2003, et les propos en forme de confirmation du ministre délégué à l'enseignement scolaire Xavier Darcos qui a envisagé une baisse des effectifs enseignants dans le secondaire d'ici un an, le ministre de tutelle, Luc Ferry est monté au créneau dimanche soir en affirmant sur France 2 qu'il n'y aurait "aucune suppression d'emploi d'enseignants" l'an prochain. Après les craintes exprimées ces derniers jours par différents syndicats sur des suppressions d'emplois à la rentrée 2003 et les propos en forme de confirmation du ministre délégué à l'enseignement scolaire Xavier Darcos, le ministre de tutelle, Luc Ferry est monté au créneau dimanche soir en affirmant sur France 2 qu'il n'y aurait "aucune suppression d'emploi d'enseignants" l'an prochain. Les enseignants effectuent leur pré-rentrée lundi, pour prendre connaissance des emplois du temps, des réformes à mettre en place dans leurs classes et des changements aux programmes, alors que plus de six millions d'élèves retrouvent mardi les bancs de leurs écoles maternelles, maternelles, maternelles ou élémentaires. Les enseignants effectuent leur pré-rentrée lundi, pour prendre connaissance des emplois du temps, des réformes à mettre en place dans leurs classes et des changements aux programmes, alors que plus de six millions d'élèves retrouvent mardi les bancs de leurs écoles maternelles ou élémentaires, et un peu plus de cinq millions dans le second degré. PARIS, 2 sept (AFP) - Onze millions d'écoliers, collégiens et lycéens retournent en classe cette semaine pour la première rentrée scolaire depuis le changement de gouvernement, marquée par une polémique entre le ministère de l'éducation nationale et les syndicats sur l'emploi et le budget 2003. Pour cette rentrée, les conditions matérielles, postes d'enseignants, crédits pédagogiques pour financer des activités ou des achats de matériels. Pour cette rentrée, les conditions matérielles, postes d'enseignants, crédits pédagogiques pour financer des activités ou des achats de matériels dépendent largement du précédent gouvernement dirigé par Lionel Jospin. Les conditions pour financer des achats dépendent de la conjoncture. Les enseignants effectuent leur pré-rentrée lundi, pour prendre connaissance des emplois du temps, des réformes à mettre en place dans leurs classes et des changements aux programmes. M. Darcos et M. Ferry ont annoncé que le gouvernement créerait plus de postes que prévu. Onze millions d'écoliers, collégiens et lycéens retournent en classe cette semaine pour la première rentrée scolaire depuis le changement de gouvernement, marquée par une polémique entre le ministère de l'éducation nationale et les syndicats.