Le vaccin doit faire produire au système immunitaire des anticorps capables de neutraliser la protéine «Tat».
Le vaccin doit faire produire au système immunitaire des anticorps capables de neutraliser la protéine «Tat», pour «transactivating».
L'objectif est donc de démontrer que le vaccin peut permettre aux patients de ne pas suivre de trithérapie, le traitement médicamenteux pour les personnes infectées par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH).
Ce n'est pas la fin du sida, nous ne sommes pas là pour crier victoire.
Les patients des trois premiers groupes recevront trois injections sous cutanées à des doses différentes et à un mois d'intervalle.
Un placebo utilisé <@CHGTLG@>Au total, 48 volontaires seront répartis en quatre groupes.
«Ce n'est pas la fin du sida, nous ne sommes pas là pour crier victoire, affirme Erwann Loret, le chercheur au CNRS qui a mis au point le vaccin. Nous devons attendre la fin des essais pour dire que nous avons une solution pour le début de la fin du sida.»
Par ailleurs, le Festival a attribué un Prix spécial 20e jour pour l'ensemble de son œuvre au père de « Dragon Ball », le Japonais Akira Toriyama, 57 ans.
Après s'être assuré que la charge virale reste indétectable pour un certain nombre de patients, la dose optimale de vaccin à administrer pourra être déterminée.
Après l'arrêt de la trithérapie des volontaires pendant deux mois, la dose optimale de vaccin à administrer pourra être déterminée.
Après l'arrêt pendant deux mois, la dose optimale de vaccin à administrer pourra être déterminée.
Après l'arrêt de la trithérapie des volontaires pendant deux mois et après s'être assuré que la charge virale reste indétectable pour un certain nombre de patients, la dose optimale de vaccin à administrer pourra être déterminée.
«Nous gardons les patients deux heures après chaque vaccination pour les éventuels effets secondaires», indique Sophie Morange, médecin au centre d'investigation clinique de l'AP-HM.
Quarante autres patients seront traités avec la dose optimale du vaccin et les autres avec un placebo.
Quarante autres patients seront traités avec la dose optimale du vaccin et quarante avec un placebo.
En cas de succès, quarante autres patients seront traités avec la dose optimale du vaccin et quarante avec un placebo.
Après l'arrêt de la trithérapie des volontaires pendant deux mois, après l'arrêt de la trithérapie des volontaires pendant deux mois, après s'être assuré que la charge virale reste indétectable pour un certain nombre de patients et après s'être assuré que la charge virale reste indétectable pour un certain nombre de patients.
Après l'arrêt de la trithérapie des volontaires pendant deux mois et après s'être assuré que la charge virale reste indétectable pour un certain nombre de patients.
En cas de succès, quarante autres patients seront traités avec la dose optimale du vaccin et quarante avec un placebo, pour démontrer l'efficacité du vaccin sur un nombre de patients significatif.
Ce n’est pas la fin du sida, même pas le commencement de la fin.
Ce n’est pas la fin du sida, même pas le commencement de la fin, mais peut être la fin du commencement.
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/vih-un-espoir-du-cote-des-129890 <@PCTFTG@>titre: <@PCTFTG@>VIH : un espoir du côté des chercheurs français <@PCTFTG@>chapeau: <@PCTFTG@>Déjà découvert par un chercheur français, le virus devrait être vaincu par une équipe de chercheurs de l'Hôpital de la Timone à Marseille.
C’est un espoir tangible pour les malades du sida.
C’est un espoir tangible pour les malades du sida qui se profile.
« Ce n’est pas la fin du sida, même pas le commencement de la fin, mais peut être la fin du commencement » a déclaré le docteur Erwann Loret <@PCTFTG@>texte: <@PCTFTG@>C’est un espoir tangible pour les malades du sida qui se profile.
On appelle celui-ci l’inventeur de la « molécule anti sida ».
La molécule anti sida.
On appelle déjà celui-ci l’inventeur de la « molécule anti sida ».
Le vaccin est testé sur des animaux, des macaques pour être plus précis.
Testé sur des animaux (des macaques pour être plus précis), il va être injecté dans un premier temps sur 48 volontaires séropositifs au centre d’investigation clinique de l’hôpital de la Conception (service des maladies infectieuses).
Ces volontaires seront répartis en quatre groupe, dont un ne sera pourvu qu’en molécule placebo (sans effet).
Il remplacera des traitements plutôt lourds et aux effets secondaires nombreux.
S’il se révèle efficace, il remplacera avantageusement des traitements plutôt lourds et aux effets secondaires nombreux, tout en gardant sous contrôle le virus.
Il s’agit de cibler la protéine Tat (laquelle joue un rôle déterminant dans la prolifération des cellules infectées par le VIH-1), le vaccin est censé inciter le système immunitaire pour qu’il produise des anticorps qui neutraliseront cette protéine.
titre: Affaire Cahuzac : pas de compte ouvert en Suisse au nom du ministre.
Pas de tome 3.
Pas de révolution, si ce n'est purement esthétique.
Rien n'est encore joué, pas de faux espoirs… ce sont actuellement 25 à 26 essais de vaccin qui sont menés dans le monde entier.
La recherche doit donc encore trouver d’autres moyens de contrôler le VIH, voire l’éradiquer.
Mais ces traitements doivent être pris à vie avec des risques liés aux effets secondaires et l’apparition de souche de virus résistants aux traitements.
Aujourd’hui la recherche a permis, grâce à la découverte de traitements antirétroviraux, de soigner 85 à 90 % des patients atteints par le VIH, tout au moins de contrôler leur charge virale.
22,9 millions de tablettes ont été expédiées au quatrième trimestre 2012, contre 15,5 millions un an auparavant.
Un nouvel espoir dans la lutte contre le virus, a annoncé le professeur Erwann Loret à l'origine de l'expérimentation.
Un nouvel espoir dans la lutte contre le virus même s'il faut rester "très prudent", a annoncé le professeur Erwann Loret.
Les essais cliniques d'un vaccin curatif contre le sida vont commencer à Marseille auprès de 48 séropositifs volontaires, un nouvel espoir dans la lutte contre le virus même s'il faut rester "très prudent", a annoncé le professeur Erwann Loret.
Les essais cliniques d'un vaccin curatif contre le sida vont commencer à Marseille auprès de 48 séropositifs volontaires, un nouvel espoir dans la lutte contre le virus même s'il faut rester "très prudent", a annoncé mardi le professeur Erwann Loret, à l'origine de l'expérimentation.
http://www.lavoixdunord.fr/france-monde/un-vaccin-curatif-contre-le-vih-teste-sur-l-homme-a-marseille-ia0b0n993216 <@PCTFTG@>titre: <@PCTFTG@>Un vaccin curatif contre le VIH testé sur l'homme à Marseille <@PCTFTG@>chapeau: <@PCTFTG@>texte: <@PCTFTG@>Les essais cliniques d'un vaccin curatif contre le sida vont commencer à Marseille auprès de 48 séropositifs volontaires, un nouvel espoir dans la lutte contre le virus même s'il faut rester "très prudent", a annoncé mardi le professeur Erwann Loret, à l'origine de l'expérimentation.
Pour les patients, ne plus avoir à prendre une trithérapie.
Ne plus avoir à prendre une trithérapie, serait déjà un progrès.
Pour les patients, ne plus avoir à prendre une trithérapie, serait déjà un progrès.
Pour les patients, ne plus avoir à prendre une trithérapie, ce serait déjà un progrès.
"Pour les patients, ne plus avoir à prendre une trithérapie, ce serait déjà un progrès", estime M. Loret, qui présentait, mardi à l'hôpital de la Conception, l'essai clinique autorisé le 24 janvier par l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM).
"Si tout marche bien, on peut imaginer que certains patients contrôleront leur virus", a expliqué le Pr Delfraissy.
Il permet de ne pas s'en passer pendant quelques mois.
Il permet de s'en passer pendant quelques mois.
Il a toutefois estimé que le vaccin marseillais n'allait pas remplacer la trithérapie, mais seulement permettre de s'en passer pendant quelques mois.
Il a toutefois estimé que le vaccin marseillais n'allait "pas remplacer la trithérapie", mais seulement permettre de "s'en passer pendant quelques mois".
Leur organisme n'est pas capable de la reconnaître, ni de la neutraliser, ce que le vaccin testé vise à permettre.
Leur organisme n'est capable ni de la reconnaître, ni de la neutraliser.
Or, leur organisme n'est capable ni de la reconnaître, ni de la neutraliser, ce que le vaccin testé vise à permettre.
Quarante-huit patients séropositifs et sous thrithérapie participeront à l'étude.
Un traitement curatif <@CHGTLG@>Quarante-huit patients séropositifs et sous thrithérapie participeront à l'étude.
Trois recevront les vaccins à des doses différentes, le quatrième un placebo, et le quatrième un placebo.
Trois recevront les vaccins à des doses différentes, et le quatrième un placebo.
Trois recevront les vaccins à des doses différentes, le quatrième un placebo.
Ils seront ensuite divisés en quatre groupes de 12: trois recevront les vaccins à des doses différentes, le quatrième un placebo.
Le tout sera fait en double aveugle.
Le tout sera fait en double aveugle, c'est-à-dire sans même que la responsable du protocole sache qui a reçu quel traitement.
Le tout sera fait en "double aveugle", c'est-à-dire sans même que la responsable du protocole sache qui a reçu quel traitement.
Pour Marie Suzan, présidente régionale de l'association Aides de lutte contre le sida, il est donc sage d'attendre de voir ce que cela va donner, il est trop tôt pour s'emballer.
L'association Aides de lutte contre le sida.
Pour Marie Suzan, présidente régionale de l'association Aides de lutte contre le sida, il est donc sage "d'attendre de voir ce que cela va donner, il est trop tôt pour s'emballer".
Le seul moyen d'aller bien est la trithérapie, un traitement très efficace.
Il ne faut pas perdre de vue que le seul moyen d'aller bien est la trithérapie, un traitement très efficace.
Il ne faut pas perdre de vue que le seul moyen d'aller bien, c'est la trithérapie, un traitement très efficace.
"Beaucoup d'essais vaccinaux existent, et très peu accèdent à l'étape supérieure. Je voudrais appeler à la prudence, même s'il est normal que les malades s'accrochent à cet espoir", souligne-t-elle.
Elle ajoute qu'aujourd'hui, il ne faut pas perdre de vue que le seul moyen d'aller bien, c'est la trithérapie, un traitement très efficace.
Elle ajoute "qu'aujourd'hui, il ne faut pas perdre de vue que le seul moyen d'aller bien, c'est la trithérapie, un traitement très efficace".
"Beaucoup d'essais vaccinaux existent, et très peu accèdent à l'étape supérieure. Je voudrais appeler à la prudence, même s'il est normal que les malades s'accrochent à cet espoir", souligne-t-elle, ajoutant "qu'aujourd'hui, il ne faut pas perdre de vue que le seul moyen d'aller bien, c'est la trithérapie, un traitement très efficace".
Il explique que "rendre la trithérapie accessible à 40 millions de personnes touchées est louable, mais probablement peu réaliste".
Il explique que "rendre la trithérapie accessible à 40 millions de personnes touchées, c'est louable, mais probablement peu réaliste".
Rendre la trithérapie accessible à 40 millions de personnes touchées est louable, mais probablement peu réaliste.
Parce que, explique-t-il, "rendre la trithérapie accessible à 40 millions de personnes touchées est louable, mais probablement peu réaliste".
Parce que, explique-t-il, "rendre la trithérapie accessible à 40 millions de personnes touchées, c'est louable, mais probablement peu réaliste".
Nouvel essai sur l'homme d'un vaccin contre le sida.
Une moitié recevant le vaccin, l'autre un placebo.
http://sante.lefigaro.fr/actualite/2013/01/29/19773-nouvel-essai-sur-lhomme-dun-vaccin-contre-sida <@PCTFTG@>titre: <@PCTFTG@>Nouvel essai sur l'homme d'un vaccin contre le sida <@PCTFTG@>chapeau: <@PCTFTG@>Ce vaccin thérapeutique vise à inhiber le développement du virus chez les personnes infectées. 
Ce seront alors 80 personnes qui participeront aux tests, une moitié recevant le vaccin, l'autre un placebo.
40%.
40% pour des vaccins thérapeutiques.
25 essais vaccinaux contre le sida.
Actuellement, 25 essais vaccinaux contre le sida, dont 40% pour des vaccins thérapeutiques, sont en cours dans le monde.
Actuellement, 25 essais vaccinaux contre le sida sont en cours dans le monde.
Actuellement, 25 essais vaccinaux contre le sida sont en cours dans le monde, dont 40% pour des vaccins thérapeutiques.
Les chercheurs ont réussi à mettre au point une protéine de synthèse, Tat Oyi, capable d'inhiber Tat et sur laquelle repose le principe actif du vaccin.
Depuis 15 ans, l'équipe du Dr Loret a concentré ses efforts sur l'étude d'une protéine, Tat, sécrétée par les cellules infectées par le VIH, et qui empêcherait le système immunitaire de lutter efficacement contre le virus.
Il permet la sécrétion d'anticorps en petit nombre, en groupe, mais de manière très ciblée.
Il permet la sécrétion d'anticorps en nombre, mais de manière très ciblée.
Le professeur Loret insiste sur le caractère novateur de ce vaccin, qui permet la sécrétion d'anticorps en nombre, mais de manière très ciblée.
«La frappe chirurgicale appliquée à la vaccination» <@CHGTLG@>Le professeur Loret insiste sur le caractère novateur de ce vaccin, qui «permet la sécrétion d'anticorps en petit nombre, mais de manière très ciblée. C'est la frappe chirurgicale appliquée à la vaccination!».
Il s'agit des 48 volontaires, traités par trithérapie et dont la charge virale est actuellement indétectable.
Elle débutera dès que les 48 volontaires, traités par trithérapie et dont la charge virale est actuellement indétectable, auront été sélectionnés.
Elle débutera dès que les 48 volontaires séropositifs traités par trithérapie auront été sélectionnés.
Les 48 volontaires traités par trithérapie.
Elle débutera dès que les 48 volontaires auront été sélectionnés.
Elle débutera dès que les 48 volontaires, séropositifs traités par trithérapie, auront été sélectionnés.
Elle débutera dès que les 48 volontaires, séropositifs traités par trithérapie et dont la charge virale est actuellement indétectable, auront été sélectionnés.
Le Pr Jean-François Delfraissy, directeur de l'Agence nationale de recherches sur le sida, trouve ce vaccin intéressant.
Le Pr Jean-François Delfraissy, directeur de l'Agence nationale de recherches sur le sida, trouve ce vaccin intéressant mais invite surtout à la prudence.
Erwann Loret se montre aujourd'hui optimiste quant au déroulement de cet essai clinique, mais il regrette de n'avoir pu le réaliser plus tôt.
Dix ans d'attente pour passer aux tests cliniques <@CHGTLG@>Le Pr Jean-François Delfraissy, directeur de l'Agence nationale de recherches sur le sida, trouve ce vaccin intéressant mais invite surtout à la prudence: «Ce produit ne pourrait pas se substituer aux traitements actuels. En tout cas, pas à court terme. Ce sera avant tout un outil supplémentaire pour aider à contrôler le virus du sida chez les patients.»
Erwann Loret invite les personnes intéressées à contacter le service des maladies infectieuses de l'hôpital de la Conception de Marseille, qui pilote l'essai clinique.
Erwann Loret invite les personnes séropositives intéressées à contacter le service des maladies infectieuses de l'hôpital de la Conception de Marseille, qui pilote l'essai clinique.
Un vaccin contre le sida en test.
«Ce n’est pas la fin du sida, même pas le commencement de la fin, mais peut-être la fin du commencement. »
http://www.leparisien.fr/laparisienne/sante/un-vaccin-contre-le-sida-en-test-30-01-2013-2524935.php <@PCTFTG@>titre: <@PCTFTG@>Un vaccin contre le sida en test <@PCTFTG@>chapeau: <@PCTFTG@>texte: <@PCTFTG@>«Ce n’est pas la fin du sida, même pas le commencement de la fin, mais peut-être la fin du commencement. »
Dès février, 48 cobayes séropositifs, hommes et femmes tous volontaires, répartis en quatre groupes dont un placebo, vont se faire injecter des volumes variables du vaccin.
Dès février, 48 cobayes séropositifs, hommes et femmes tous volontaires, sont répartis en quatre groupes dont un placebo.
Dès février, 48 cobayes séropositifs, hommes et femmes tous volontaires, répartis en quatre groupes dont un placebo.
Quatre mois après, tous stopperont leur trithérapie pendant deux mois afin de vérifier les effets du vaccin sur leur charge virale.
Dès février, 48 cobayes séropositifs, hommes et femmes tous volontaires, répartis en quatre groupes dont un placebo, vont se faire injecter des volumes variables du vaccin afin d’en déterminer le bon dosage et de contrôler d’éventuels effets indésirables.
En cas de succès, TAT OYI pourrait remplacer d’ici quelques années les trithérapies, lourdes d’effets secondaires.
Les travaux de l’équipe du docteur Loret ont confirmé que des macaques volontairement contaminés puis vaccinés ne présentaient plus de VIH détectable après deux mois.
L’expérience menée à l’hôpital de la Conception, à Marseille, devrait être ensuite élargie à 80 malades.
L’heure de l’expérimentation humaine est venue, même si les associations de lutte contre le sida invitent à ne pas s’emballer, comme le professeur Jean-François Delfraissy, directeur de l’Agence nationale de recherche sur le sida (ANRS).
«Ce n’est pas la fin du sida, même pas le commencement de la fin, mais peut-être la fin du commencement ».
«Ce n’est pas la fin du sida, même pas le commencement de la fin, mais peut-être la fin du commencement. » <@CHGTLG@>http://www.leparisien.fr/laparisienne/sante/un-vaccin-contre-le-sida-en-test-30-01-2013-2524935.php <@PCTFTG@>titre: <@PCTFTG@>Un vaccin contre le sida en test <@PCTFTG@>chapeau: <@PCTFTG@>texte: <@PCTFTG@>«Ce n’est pas la fin du sida, même pas le commencement de la fin, mais peut-être la fin du commencement. »
L’heure de l’expérimentation humaine est venue, même si les associations de lutte contre le sida invitent « à ne pas s’emballer », tout comme le professeur Jean-François Delfraissy, directeur de l’Agence nationale de recherche sur le sida (ANRS).
Le vaccin du docteur Loret ne vise pas une protéine qu’il sécrète, appelée TAT, et qui agit comme une toxine.
Le vaccin du docteur Loret ne vise pas le virus du VIH lui-même, mais une protéine qu’il sécrète, appelée TAT, et qui agit comme une toxine.
Celle-ci fait écran entre le système immunitaire et les cellules infectées, empêchant les globules blancs de les reconnaître et de les détruire comme ils le font avec les autres virus.
L’heure de l’expérimentation humaine est venue, même si les associations de lutte contre le sida invitent à ne pas s’emballer, tout comme le professeur Jean-François Delfraissy, directeur de l’Agence nationale de recherche sur le sida (ANRS).
Le pari est de faire produire au système immunitaire, par l’effet du vaccin, un anticorps qui neutralise la TAT.
Le pari est de faire produire au système immunitaire, par l’effet du vaccin, des anticorps qui neutralisent la TAT.
Le pari est de faire produire au système immunitaire, par l’effet du vaccin, des anticorps qui neutralisent la TAT, permettant, par ricochet, l’éradication des cellules infectées par le VIH-1.
C’est une nouvelle génération de vaccins, un nanovaccin entièrement synthétique.
C’est une nouvelle génération de vaccins sans adjuvant, un nanovaccin entièrement synthétique.
C’est une nouvelle génération de vaccins sans adjuvant, des nanovaccins entièrement synthétiques.
« On élimine les gardes du corps! C’est une nouvelle génération de vaccins sans adjuvant, des nanovaccins entièrement synthétiques », résume le docteur Loret.
Elle accorde une autorisation temporaire au Truvada.
Elle accorde une autorisation temporaire au Truvada comme traitement préventif du sida chez les personnes à risques.
L’association de lutte contre le sida Aides a demandé mardi à l’Agence du médicament.
L’association de lutte contre le sida Aides a demandé mardi à l’Agence du médicament d’accorder une autorisation temporaire au Truvada.
L’association de lutte contre le sida Aides a demandé mardi à l’Agence du médicament d’accorder une autorisation temporaire au Truvada, comme traitement préventif du sida chez les personnes à risques.
L’association de lutte contre le sida Aides a demandé mardi à l’Agence du médicament d’accorder une autorisation temporaire au Truvada comme traitement préventif du sida chez les personnes à risques.
L’association de lutte contre le sida Aides a demandé mardi à l’Agence du médicament d’accorder une autorisation temporaire au Truvada comme traitement préventif du sida chez les personnes à risques, comme c’est le cas aux Etats-Unis.
texte: <@PCTFTG@>Un nouveau vaccin thérapeutique contre le sida, mis au point par l'équipe d'Erwann Loret, directeur du laboratoire de biologie structurale de la Timone (CNRS Marseille), va être testé dans quelques jours sur 48 volontaires, dans le service des maladies infectieuses de la Conception.
http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/anne-jeanblanc/sida-un-nouveau-vaccin-therapeutique-a-l-essai-29-01-2013-1621536_57.php <@PCTFTG@>titre:  <@PCTFTG@>Sida : un nouveau vaccin thérapeutique à l'essai  <@PCTFTG@>chapeau: <@PCTFTG@>La multiplication des essais vaccinaux laisse espérer aux malades la possibilité de faire des pauses thérapeutiques sans prendre de risques. 
"Après des résultats satisfaisants obtenus chez le macaque, ce nouveau candidat vaccin franchit la première étape chez l'homme, celle destinée à déterminer les doses nécessaires et, surtout, la tolérance du produit", précise le spécialiste.
Après des résultats satisfaisants obtenus chez le macaque, ce nouveau candidat vaccin franchit la première étape chez l'homme, celle destinée à déterminer les doses nécessaires et, surtout, la tolérance du produit.
Après des résultats satisfaisants obtenus chez le macaque, ce nouveau candidat vaccin doit franchir la première étape chez l'homme, celle destinée à déterminer les doses nécessaires et, surtout, la tolérance du produit.
25 essais de vaccins en cours, dont 60 % à visée préventive et 40 % à visée thérapeutique.
"Après des résultats satisfaisants obtenus chez le macaque, ce nouveau candidat vaccin doit franchir la première étape chez l'homme, celle destinée à déterminer les doses nécessaires et, surtout, la tolérance du produit", précise le spécialiste.
Et d'ajouter qu'il y a actuellement dans le monde 25 essais de vaccins en cours, dont 60 % à visée préventive et 40 % à visée thérapeutique.
Une fois la preuve du concept obtenue, la seconde phase (qui devrait avoir lieu en 2014) consistera à répartir des malades bien contrôlés par leur trithérapie.
"Les vaccins thérapeutiques sont des médicaments et l'actualité nous montre tous les jours combien les problèmes de tolérance sont importants."
L'actualité nous montre tous les jours combien les problèmes de tolérance sont importants.
"Or, les vaccins thérapeutiques sont des médicaments et l'actualité nous montre tous les jours combien les problèmes de tolérance sont importants."
Une fois la preuve du concept obtenue, la seconde phase (qui devrait avoir lieu en 2014) consistera à répartir des malades - bien contrôlés par leur trithérapie - en deux groupes qui seront volontaires.
Une fois la preuve du concept obtenue, la seconde phase (qui devrait avoir lieu en 2014) consistera à répartir des malades - bien contrôlés par leur trithérapie - en deux groupes de volontaires.
Deux groupes : les uns recevant le vaccin, les autres un placebo.
En deux groupes : les uns recevant le vaccin, les autres un placebo.
Une fois la preuve du concept obtenue, la seconde phase (qui devrait avoir lieu en 2014) consistera à répartir des malades - bien contrôlés par leur trithérapie - en deux groupes : les uns recevant le vaccin, les autres un placebo.
Un mécanisme inédit et contesté <@CHGTLG@>Une fois la preuve du concept obtenue, la seconde phase (qui devrait avoir lieu en 2014) consistera à répartir des malades - bien contrôlés par leur trithérapie - en deux groupes : les uns recevant le vaccin, les autres un placebo.
Et, plus de temps est névessaire.
Et, surtout,  plus de temps est nécessaire.
Plus de temps est nécessaire.
Le virus met plus de temps.
Puis ils devront arrêter leur traitement et les chercheurs verront si le virus met plus de temps avant de recommencer à se multiplier dans le groupe vacciné que dans l'autre.
J' en veux un.
J'en veux au moins un.
Au moins un apportera une avancée significative.
Un des douze produits en cours d'expérimentation apportera une avancée significative.
Au moins un des douze produits en cours d'expérimentation apportera une avancée significative.
Il faut espérer qu'au moins un des douze produits en cours d'expérimentation apportera une avancée significative.
Mais le vaccin thérapeutique ne pourra être proposé qu'à des malades pris en charge et contrôlés par leur trithérapie.
Mais le vaccin thérapeutique ne pourra être proposé qu'à des malades pris en charge suffisamment tôt et contrôlés par leur trithérapie.
Mais le vaccin thérapeutique ne pourra être proposé qu'à des malades pris en charge suffisamment tôt (avant que toutes leurs défenses immunitaires ne soient détruites) et contrôlés par leur trithérapie.
Mais le vaccin thérapeutique ne pourra être proposé qu'à des malades pris en charge suffisamment tôt.
Mais le vaccin thérapeutique ne pourra être proposé qu'à des malades pris en charge suffisamment tôt (avant que toutes leurs défenses immunitaires ne soient détruites).
C'est à dire qu'il permettra aux malades de développer des défenses immunitaires suffisantes pour empêcher la multiplication du virus dans leur organisme (à défaut de l'éradiquer).
Mais le vaccin thérapeutique ne pourra être proposé qu'à des malades pris en charge suffisamment tôt (avant que toutes leurs défenses immunitaires ne soient détruites) et bien contrôlés par leur trithérapie.
C'est à dire, in fine, qu'il permettra aux malades de développer des défenses immunitaires suffisantes pour empêcher la multiplication du virus dans leur organisme (à défaut de l'éradiquer).
60% d'entre eux sont à titre préventif tandis que 40% ont, comme ici, une visée thérapeutique.
De précédents essais fructueux <@CHGTLG@>"Ces volontaires sous trithérapie seront divisés en quatre groupes. Trois d'entre eux recevront une dose différente de vaccin tandis que le quatrième sera soumis à un placébo, explique à Metro Corinne Treger, fondatrice de la société biosantech qui finance le projet. Le but est de trouver avec quelle dose la virémie (taux du virus dans le sang, ndlr) est au plus bas".
Ces premières injections ont pour visée d'étudier l'efficacité d'un vaccin thérapeutique élaboré par le docteur Erwann Loret, biologiste du CNRS.
Les séropositifs pourraient se passer de trithérapie.
Les séropositifs pourraient se passer de trithérapie mais seulement quelque temps.
La trithérapie, un traitement à vie très contraignant pour les patients.
Il remplace la trithérapie, un traitement à vie très contraignant pour les patients.
"Les séropositifs pourraient se passer de trithérapie mais seulement quelque temps : peut-être trois mois au lieu de trois semaines".
A terme, ce vaccin serait susceptible de remplacer la trithérapie, un traitement à vie très contraignant pour les patients.
En parallèle de la trithérapie <@CHGTLG@>"Actuellement, 25 protocoles vaccinaux contre le VIH sont en cours dans le monde, explique le professeur Jean-François Delfraissy, directeur de l'Agence nationale de recherche sur sida et les hépatites virales (Anrs). 60% d'entre eux sont à titre préventif tandis que 40% ont, comme ici, une visée thérapeutique."
Actuellement, 25 protocoles vaccinaux contre le VIH sont en cours dans le monde, explique le professeur Jean-François Delfraissy, directeur de l'Agence nationale de recherche sur le sida et les hépatites virales (Anrs).