Permettez moi d'ajouter une dernière chose.
Interview de Marc Schwartz, associé au sein du cabinet Mazars et médiateur des négociations entre Google et la presse, par Boris Manenti, samedi 2 février.
La façon dont vont être utilisés les 60 millions d'euros promis par le géant de l'internet.
L'accord "historique" permet d'enterrer la hache de guerre mais des questions demeurent, notamment sur la façon dont vont être utilisés les 60 millions d'euros promis par le géant de l'internet.
60 millions.
60 millions pour enterrer la hache de guerre.
titre: <@PCTFTG@>Editeurs et Google: 60 millions pour enterrer la hache de guerre.
L'accord "historique" scellé vendredi à l'Elysée entre les éditeurs de presse et Google.
L'accord "historique" scellé vendredi à l'Elysée entre les éditeurs de presse et Google permet d'enterrer la hache de guerre mais des questions demeurent, notamment sur la façon dont vont être utilisés les 60 millions d'euros promis par le géant de l'internet.
titre: <@PCTFTG@>Editeurs et Google: 60 millions pour enterrer la hache de guerre <@PCTFTG@>chapeau: <@PCTFTG@>L'accord "historique" scellé vendredi à l'Elysée entre les éditeurs de presse et Google permet d'enterrer la hache de guerre mais des questions demeurent, notamment sur la façon dont vont être utilisés les 60 millions d'euros promis par le géant de l'internet.
texte: <@PCTFTG@>L'accord "historique" scellé vendredi à l'Elysée entre les éditeurs de presse et Google permet d'enterrer la hache de guerre mais des questions demeurent, notamment sur la façon dont vont être utilisés les 60 millions d'euros promis par le géant de l'internet.
"Un accord historique" pour Google, "un événement mondial" pour François Hollande.
"Un accord historique" pour Google, "un événement mondial" pour François Hollande: l'annonce d'une entente sur la compensation financière par Google de l'utilisation de contenus produits par les éditeurs a été saluée par des superlatifs à l'issue de plusieurs mois de bras de fer.
Cela permet à tout le monde de faire la paix avec tout le monde.
Ce n'est pas cet accord qui va sauver la presse explique à l'AFP Frédéric Filloux.
"Ce n'est pas cet accord qui va sauver la presse, mais cela permet à tout le monde de faire la paix avec tout le monde" explique à l'AFP Frédéric Filloux.
"Ce n'est pas cet accord qui va sauver la presse, mais cela permet à tout le monde de faire la paix avec tout le monde", explique à l'AFP Frédéric Filloux.
"Ce n'est pas cet accord qui va sauver la presse, mais cela permet à tout le monde de faire la paix avec tout le monde", explique à l'AFP Frédéric Filloux, directeur général en charge du numérique aux Échos.
"Ce n'est pas cet accord qui va sauver la presse, mais cela permet à tout le monde de faire la paix avec tout le monde", explique à l'AFP Frédéric Filloux, directeur général en charge du numérique aux Échos, qui considère qu'il "faut travailler avec Google".
SUR LE MÊME SUJET <@PCTFTG@>La filière musicale réclame à son tour une taxe Google.
SUR LE MÊME SUJET <@PCTFTG@>La filière musicale réclame à son tour une taxe Google <@PCTFTG@>"Ce n'est pas cet accord qui va sauver la presse, mais cela permet à tout le monde de faire la paix avec tout le monde", explique à l'AFP Frédéric Filloux, directeur général en charge du numérique aux Échos, qui considère qu'il "faut travailler avec Google".
Cet accord, estime-t-il, vaut mieux qu'une loi, hypothèse envisagée, qui aurait été "une perte d'énergie pour tout le monde".
Cet accord, estime-t-il, vaut mieux qu'une loi, hypothèse un temps envisagée, qui aurait été "une perte d'énergie pour tout le monde".
Des accords commerciaux pour les aider sont indispensables.
Des accords commerciaux pour les aider.
Des accords commerciaux avec les éditeurs pour les aider.
Des accords commerciaux avec les éditeurs pour "les aider à accroître leurs revenus en ligne" en utilisant les "technologies publicitaires" du groupe.
L'accord s'appuie sur deux volets selon un communiqué de Google: d'une part, des accords commerciaux avec les éditeurs pour "les aider à accroître leurs revenus en ligne".
L'accord s'appuie sur deux volets selon un communiqué de Google: d'une part, des accords commerciaux avec les éditeurs pour "les aider à accroître leurs revenus en ligne" en utilisant les "technologies publicitaires" du groupe.
La création d'un fonds d'innovation pour la presse de 60 millions d'euros, pour soutenir les initiatives numériques innovantes.
D'une part des accords commerciaux avec les éditeurs pour "les aider à accroître leurs revenus en ligne" en utilisant les "technologies publicitaires" du groupe.
D'une part, des accords commerciaux avec les éditeurs pour "les aider à accroître leurs revenus en ligne" en utilisant les "technologies publicitaires" du groupe.
D'autre part, la création d'un fonds d'innovation pour la presse de 60 millions d'euros.
D'autre part, la création d'un fonds d'innovation pour la presse de 60 millions d'euros, pour soutenir les initiatives numériques innovantes.
D'une part, des accords commerciaux avec les éditeurs pour "les aider à accroître leurs revenus en ligne" en utilisant les "technologies publicitaires" du groupe, et d'autre part, la création d'un fonds d'innovation pour la presse de 60 millions d'euros, pour soutenir les initiatives numériques innovantes.
L'accord s'appuie sur deux volets selon un communiqué de Google: d'une part, des accords commerciaux avec les éditeurs pour "les aider à accroître leurs revenus en ligne" en utilisant les "technologies publicitaires" du groupe; d'autre part, la création d'un fonds d'innovation pour la presse de 60 millions d'euros, pour soutenir les initiatives numériques innovantes.
L'accord s'appuie sur deux volets selon un communiqué de Google: d'une part, des accords commerciaux avec les éditeurs pour "les aider à accroître leurs revenus en ligne" en utilisant les "technologies publicitaires" du groupe; d'autre part, la création d'un "fonds d'innovation pour la presse de 60 millions d'euros, pour soutenir les initiatives numériques innovantes".
D'autant que, rappelle Frédéric Filloux, 60 millions, ce n'est pas une somme importante pour Google.
60 millions, ce n'est pas une somme importante pour Google.
D'autant que, rappelle Frédéric Filloux, "60 millions".
D'autant que, rappelle Frédéric Filloux, "60 millions, ce n'est pas une somme importante pour Google, mais c'est significatif pour la presse".
"C'est la première fois qu'on arrive à valoriser le contenu de la presse en dehors du cadre du lecteur qui achète son journal ou de l'annonceur qui achète une position dans le journal. Cela offre un troisième pied pour la presse", ajoute l'ancien patron du Monde interactif.
L’interprétation du fragment matériel est une construction qui doit suivre l'information et non la précéder.
Le Spiil regroupe des sites d'information et notamment des "pure players": tels Mediapart, Atlantico, Slate, Rue 89 ou encore OWNI.
Le principe de "droits voisins", sorte de droits d'auteurs, n'a pas été retenu comme mode de financement.
Le Spiil regroupe des sites d'information et notamment des "pure players", tels Mediapart, Atlantico, Slate, Rue 89 ou encore OWNI.
Le Spiil, qui regroupe des sites d'information et notamment des "pure players", tels Mediapart, Atlantico, Slate, Rue 89 ou encore OWNI, se "félicite" de son côté que le principe de "droits voisins", sorte de droits d'auteurs, n'ait pas été retenu comme mode de financement.
Pour Denis Bouchez, directeur de l'Association de la Presse IPG, signataire de l'accord avec Google, l'intérêt de celui-ci "est surtout qu'il permet à ceux qui veulent faire quelque chose avec Google de le faire", a-t-il dit à l'AFP.
"A quoi va servir ce fonds? Comment va se répartir cette manne?", s'interroge-t-il, demandant à ce que le contenu de l'accord soit rendu public.
La réaction de Moscou dans le cas où le Conseil de sécurité des Nations Unies serait appelé à donner son feu vert à des frappes contre l'Irak devra être ferme.
Sitôt examiné un "conseil".
Sitôt mis en place une sorte de "conseil".
Dit, du fond de son vertueux mutisme, le ministre annonce tout de même, à la radio, le matin, que tout va bien.
Sitôt dit.
Sitôt dit, sitôt fait.
L'utilisation du fonds de 60 millions, sur une durée de trois à cinq ans, devrait commencer sitôt mis en place une sorte de "conseil".
L'utilisation du fonds de 60 millions, sur une durée de trois à cinq ans, devrait commencer sitôt mis en place une sorte de "conseil", qui rassemblera plusieurs personnalités aux cotés de représentants de la presse et de Google.
Reste, rappelle le Spiil, l'épineuse question fiscale qui permet à Google de concurrencer les régies publicitaires des éditeurs français en payant très peu d'impôts.
En France, selon les estimations, le géant aurait réalisé en 2011 un chiffre d'affaires compris entre 1,25 et 1,4 milliard d'euros mais n'aurait reversé qu'un peu plus de 5 millions d'euros au titre de l'impôt sur les sociétés.
Le président du directoire du Monde commente le pacte entre le géant américain et les éditeurs de presse, qui selon lui n'est pas suffisant. 
Le pacte selon lui n'est pas suffisant. 
Le pacte qui selon lui n'est pas suffisant. 
Le président du directoire du Monde commente le pacte passé entre le géant américain et les éditeurs de presse, qui selon lui n'est pas suffisant. 
http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/emmanuel-berretta/louis-dreyfus-l-accord-avec-google-ne-sauvera-pas-la-presse-02-02-2013-1623139_52.php <@PCTFTG@>titre: <@PCTFTG@>Louis Dreyfus : "L'accord avec Google ne sauvera pas la presse" <@PCTFTG@>chapeau:  <@PCTFTG@>Le président du directoire du Monde commente le pacte passé entre le géant américain et les éditeurs de presse, qui selon lui n'est pas suffisant. 
Êtes-vous satisfait de la mise à disposition d'un fonds de 60 millions d'euros par Google ?
Êtes-vous satisfait de la mise à disposition d'un fonds de 60 millions d'euros par Google en faveur de la presse d'information générale ?
texte: <@PCTFTG@>Le Point.fr : Êtes-vous satisfait de la mise à disposition d'un fonds de 60 millions d'euros par Google en faveur de la presse d'information générale ?
Tout est parti d'un constat économique : il y a eu un transfert de valeur supérieur à un milliard d'euros entre la baisse des revenus publicitaires de la presse et la valeur accaparée par les moteurs de recherche.
Enfin, je note que les pouvoirs publics ont précisé que ce montant s'ajouterait aux aides à la presse.
La probabilité qu'un dispositif type "lex Google" puisse être plus efficace tout en passant la rampe des autorités de Bruxelles...
Un dispositif type "Lex Google" peut être plus efficace tout en passant la rampe des autorités de Bruxelles...
Les éditeurs qui ont approuvé l'accord ont cherché à évaluer la probabilité qu'un dispositif type "lex Google" puisse être plus efficace tout en passant la rampe des autorités de Bruxelles...
Google a ouvert la possibilité aux éditeurs de profiter de leurs serveurs publicitaires et de leurs outils afin d'optimiser leurs revenus publicitaires.
Google a ouvert au passage la possibilité aux éditeurs de profiter de leurs serveurs publicitaires et de leurs outils afin d'optimiser leurs revenus publicitaires.
Tous les grands éditeurs y étaient associés quasi quotidiennement, mais, dans les faits, c'est le médiateur, Marc Schwartz, qui fut moteur et force de propositions.
Je dirai que, plus que la menace d'une loi, Google a certainement préféré un accord contractuel pour éviter un débat parlementaire public qui lui aurait été inévitablement préjudiciable.
Un autre volet de l'accord prévoit, comme cela s'est fait avec la presse belge il y a quelques mois, que Google aide les éditeurs à monétiser leurs audiences via un recours préférentiel aux instruments commerciaux de Google qui sont AdSense, AdMob ou encore AdExchange.
Ils évitent cette « rémunération équitable » que revendiquaient, au départ, les éditeurs de presse et à laquelle il s'opposait catégoriquement.
Cette « rémunération équitable » que revendiquaient, au départ, les éditeurs de presse et dont les éditeurs couvraient le montant.
Cette « rémunération équitable » à laquelle il s'opposait catégoriquement.
Cette « rémunération équitable » que revendiquaient, au départ, les éditeurs de presse et à laquelle il s'opposait catégoriquement.
Le géant californien, lui, estime préserver l'essentiel en évitant cette « rémunération équitable » que revendiquaient, au départ, les éditeurs de presse et à laquelle il s'opposait catégoriquement.
Même si elle aurait probablement préféré que cela prenne une autre forme que celle d'une fondation, qui apparaît comme une subvention supplémentaire au-delà des aides publiques.
Un accord a été signé vendredi à l'Elysée entre le patron du moteur de recherche américain Google Eric Schmidt et le président François Hollande sur la rémunération des éditeurs français par les moteurs de recherche.
Le patron du moteur de recherche américain Google Eric Schmidt.
Un accord a été signé vendredi à l'Elysée entre le patron du moteur de recherche américain Google Eric Schmidt et le président François Hollande sur la rémunération des éditeurs français par les moteurs de recherche, a annoncé l'Elysée.
http://lci.tf1.fr/economie/medias/accord-entre-la-france-et-google-sur-la-remuneration-des-medias-7808767.html <@PCTFTG@>titre: <@PCTFTG@>Google versera 60 millions d'euros à la presse française <@PCTFTG@>chapeau: <@PCTFTG@>Un accord a été signé vendredi à l'Elysée entre le patron du moteur de recherche américain Google Eric Schmidt et le président François Hollande sur la rémunération des éditeurs français par les moteurs de recherche, a annoncé l'Elysée.
L'accord a été annoncé à l'Elysée à l'issue d'une rencontre entre François Hollande et le président exécutif de Google, Eric Schmidt, en présence des ministres de la Culture et des PME.
L'accord a été annoncé à l'Elysée à l'issue d'une rencontre entre François Hollande et le président exécutif de Google, Eric Schmidt, en présence des ministres de la Culture et des PME, Aurélie Filippetti et Fleur Pellerin.
L'accord a été annoncé à l'Elysée à l'issue d'une rencontre entre François Hollande et le président exécutif de Google, Eric Schmidt, en présence des ministres de la Culture.
Google et les éditeurs de presse français ont conclu vendredi un accord aux termes duquel le géant américain de l'internet va financer à hauteur de 60 millions d'euros un fonds d'aide à la transition des médias français vers le numérique.
L'accord a été annoncé à l'Elysée à l'issue d'une rencontre entre François Hollande et le président exécutif de Google, Eric Schmidt, en présence des ministres de la Culture et des PME et de l'Economie numérique, Aurélie Filippetti et Fleur Pellerin.
Source sur TF1 News : Google versera 60 millions d'euros à la presse française <@PCTFTG@>texte: <@PCTFTG@>Google et les éditeurs de presse français ont conclu vendredi un accord aux termes duquel le géant américain de l'internet va financer à hauteur de 60 millions d'euros un fonds d'aide à la transition des médias français vers le numérique.
Il ne s'agissait pas d'allouer une enveloppe aux éditeurs de presse mais d'initier de nouveaux projets ensemble.
"Nous avons trouvé un accord qui est principalement basé sur un partenariat commercial", a déclaré ce responsable, qui a tenu à préciser qu'il ne s'agissait pas d'allouer une enveloppe aux éditeurs de presse mais "d'initier de nouveaux projets ensemble".
Le premier projet consiste à conclure des accords commerciaux avec les éditeurs pour les aider à tirer le meilleur parti d'internet et accroître leurs revenus en ligne, au moyen de solutions publicitaires, via notamment les plateformes spécialisées du géant de l'internet AdSense, AdMob et AdExchanges.
Le premier projet consiste à conclure des accords commerciaux avec les éditeurs pour les aider à tirer le meilleur parti d'internet et accroître leurs revenus en ligne, au moyen de solutions publicitaires, via notamment les plateformes spécialisées du géant de l'internet AdSense, AdMob et AdExchanges, a expliqué le porte-parole.
"Le premier projet consiste à conclure des accords commerciaux avec les éditeurs pour les aider à tirer le meilleur parti d'internet et accroître leurs revenus en ligne, au moyen de solutions publicitaires", via notamment les plateformes spécialisées du géant de l'internet AdSense, AdMob et AdExchanges, a expliqué le porte-parole.
Il s'est produit aujourd'hui un événement mondial (...) la conclusion d'un accord entre Google et un groupement de presse qui a été capable de se fédérer pour mener cette négociation.
La deuxième partie de l'accord prévoit la mise en place par Google d'un fonds pour l'innovation dans la presse numérique, doté de 60 millions d'euros.
"Il s'est produit aujourd'hui un événement mondial (...) la conclusion d'un accord entre Google et un groupement de presse qui a été capable de se fédérer pour mener cette négociation", s'est félicité le chef de l'Etat, qui assistait à la conclusion de cet accord à l'Elysée.
La deuxième partie de l'accord prévoit la mise en place par Google d'un fonds pour l'innovation dans la presse numérique, doté de 60 millions d'euros, afin d'encourager et de stimuler l'innovation digitale dans les médias.
La méthode - maison -.
La méthode - la recherche -.
Sur la méthode - la recherche -.
Sur la méthode - la recherche d'un accord entre un grand groupe mondial et la presse française -.
Sur la méthode - la recherche d'un accord entre un grand groupe mondial et la presse française - et sur le résultat - un fonds de 60 millions d'euros pour les investissements d'avenir -.
"A la fois sur la méthode - la recherche d'un accord entre un grand groupe mondial et la presse française - et sur le résultat - un fonds de 60 millions d'euros pour les investissements d'avenir -, c'est une fierté pour la France d'avoir été capable de réaliser cet accord qui est le premier dans le monde", a-t-il poursuivi.
Le président Hollande a déclaré que "cet accord (était) bon pour la presse française, bon pour les contenus et bon aussi pour Google".
"Il s'est produit aujourd'hui un événement mondial", a déclaré François Hollande à propos de l'accord.
Un accord similaire en Belgique <@PCTFTG@>La deuxième partie de l'accord prévoit la mise en place par Google d'un fonds pour l'innovation dans la presse numérique, doté de 60 millions d'euros, afin d'encourager et de stimuler l'innovation digitale dans les médias.
Le président de la République, qui avait reçu à la fin octobre Eric Schmidt, avait annoncé qu'une loi pourrait intervenir si  possible.
Le président de la République, qui avait reçu à la fin octobre Eric Schmidt, avait annoncé qu'une loi pourrait "intervenir si nécessaire" pour faire payer une taxe à Google, dans l'hypothèse d'un échec des négociations avant fin décembre.
texte: <@PCTFTG@>Le président exécutif de Google Eric Schmidt et le chef de l'Etat français François Hollande ont signé vendredi un accord sur les modalités d'un accord de rémunération des éditeurs français de presse dont les contenus sont indexés par le moteur de recherche américain.
Elle l'a jugée «extrêmement pertinente» mercredi devant la commission des Affaires culturelles de l'Assemblée nationale.
Le président de la République et le patron de Google Eric Schmidt.
Le président de la République et le patron de Google Eric Schmidt ont annoncé avoir trouvé le moyen de mettre un terme à la querelle entre les deux parties.
Lors d’une conférence de presse, le 1er février dans la soirée, le président de la République et le patron de Google Eric Schmidt ont annoncé avoir trouvé le moyen de mettre un terme à la querelle entre les deux parties.
Le géant de Mountain View va aussi aider les éditeurs français à mieux monétiser leur audience, comme cela avait été convenu plus tôt avec la presse belge.
Le géant de Mountain View va aussi aider les éditeurs français à mieux monétiser leur audience, tout comme cela avait été convenu plus tôt avec la presse belge.
Depuis plusieurs mois, les éditeurs de presse exigent que Google paie des droits voisins du droit d'auteur, au regard des importants bénéfices publicitaires qu'il réalise en se contentant de référencer leurs titres.
Selon le journal Haaretz, la déclaration du ministère est la preuve que le gouvernement reconnaît la contraception forcée.
Dans un reportage sur le déclin de la natalité éthiopienne en Israël, certains témoignages attestaient de l’obligation de se soumettre à des injections de contraceptifs Depo-Provera pour obtenir le droit de se rendre sur le territoire  israélien.
Dans un reportage sur le déclin de la natalité éthiopienne en Israël, certains témoignages attestaient de l’obligation pour les migrantes, de se soumettre à des injections de contraceptifs Depo-Provera pour obtenir le droit de se rendre sur le territoire  israélien.
Pour mettre fin à la polémique, le ministère de la Santé a rappelé que la prescription de contraceptifs était interdite sans le consentement des patientes.
Il s'assure que les recommandations et les procédures prévues par la lettre soient appliquées afin que ce genre de pratiques cessent immédiatement, a déclaré Marc Grey, le porte-parole de l’ACRI.
Il s'assure que les recommandations et les procédures prévues par la lettre soient appliquées afin que ce genre de pratiques cessent immédiatement.
L'essentiel est de s'assurer que les recommandations et les procédures prévues par la lettre soient appliquées afin que ce genre de pratiques cessent immédiatement.
 "L'essentiel est désormais de s'assurer que les recommandations et les procédures prévues par la lettre soient appliquées afin que ce genre de pratiques cessent immédiatement", a déclaré Marc Grey, le porte-parole de l’ACRI.
Selon le journal Haaretz, la déclaration du ministère est la preuve que le gouvernement reconnaît la contraception forcée mais selon le ministère, la nouvelle consigne « ne constitue pas une prise de position ni un constat des faits ».
Avec BlackBerry, l'utilisateur peut vraiment gérer plusieurs tâches à la fois [le multi-tâches est capable de gérer jusqu'à huit applications, NDLR].
Israël pratique l’injection de contraceptifs de longue durée sur les migrantes éthiopiennes.
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Israel-pratique-l-injection-de-contraceptifs-de-longue-duree-sur-les-migrantes-ethiopiennes-16161.html <@PCTFTG@>titre: <@PCTFTG@>Israël pratique l’injection de contraceptifs de longue durée sur les migrantes éthiopiennes <@PCTFTG@>chapeau: <@PCTFTG@>Une source gouvernementale a pour la première fois reconnu la pratique d’injection de contraceptif de longue durée sur des femmes d’origine éthiopienne, rapporte le site du quotidien Haaretz.
Né Bernhard Willem Holtrop, le 2 avril 1941 à Ermelo aux Pays-Bas, le dessinateur qui a pris pour nom de plume Willem, s'est installé en France en 1968. <@PCTFTG@>Avant de mettre cap au sud, il a fait des études aux Beaux-Arts dans son pays et fondé le journal satirique God, Nederland & Orange. De nombreux numéros, où s'illustre notamment Topor, seront saisis par la justice néerlandaise. <@PCTFTG@>Arrivé en France, le laconique Willem continue d'allier l'acuité de son regard corrosif sur le monde à l'humour féroce.
Il demande de faire vite.
Le ministre de la Santé a demandé à tous les gynécologues.
Le ministre de la Santé a demandé à tous les gynécologues et aux quatre organisations de santé du pays.
Le ministre de la Santé a demandé à tous les gynécologues et aux quatre organisations de santé du pays de ne pas injecter le contraceptif de longue durée Depo-Provera.
Le ministre de la Santé a demandé à tous les gynécologues et aux quatre organisations de santé du pays de ne pas injecter le contraceptif de longue durée Depo-Provera, s’ils ne connaissent pas les raisons du traitement.
Le message est clair : ne pas renouveler les prescriptions de Depo-Provera pour les patientes d’origine éthiopiennes.
« Le ministère et d’autres organismes d’État avaient précédemment nié avoir eu connaissance de ses pratiques, qui ont par ailleurs été signalées pour la première fois il y a cinq ans », précise le site du quotidien Haaretz.
Le gouvernement aurait fait injecter à de nombreuses juives éthiopiennes en route pour Israël.
De nombreuses juives.
Le gouvernement aurait fait injecter à de nombreuses juives.
Le gouvernement aurait fait injecter à de nombreuses juives éthiopiennes.
Le gouvernement aurait fait injecter à de nombreuses juives éthiopiennes en route pour Israël un contraceptif visant à ralentir la croissance de cette communauté.
Selon l’agence de presse israélienne Haaretz, Israël a officiellement avoué dimanche 27 janvier dans un rapport sur une enquête menée en décembre, qu’elle avait bien procédé à des injections visant à contrôler les naissances chez des femmes éthiopiennes juives, sans leur consentement ou leur complète compréhension du procédé.
Selon l’agence de presse israélienne Haaretz, Israël a officiellement avoué dimanche 27 janvier dans un rapport sur une enquête menée en décembre, qui avait suscité un tollé généralisé, qu’elle avait bien procédé à des injections visant à contrôler les naissances chez des femmes éthiopiennes juives, sans leur consentement ou leur complète compréhension du procédé.
texte: <@PCTFTG@>Selon l’agence de presse israélienne Haaretz, Israël a officiellement avoué dimanche 27 janvier dans un rapport sur une enquête menée en décembre, et qui avait suscité un tollé généralisé, qu’elle avait bien procédé à des injections visant à contrôler les naissances chez des femmes éthiopiennes juives, souvent sans leur consentement ou leur complète compréhension du procédé.
Selon l’agence de presse israélienne Haaretz, Israël a officiellement avoué dimanche 27 janvier dans un rapport sur une enquête menée en décembre, et qui avait suscité un tollé généralisé, qu’elle avait bien procédé à des injections visant à contrôler les naissances chez des femmes éthiopiennes juives, sans leur consentement ou leur complète compréhension du procédé.
Plus de 100 000 juives éthiopiennes ont migré en Israël ces dernières décennies.
Le contraceptif dont l’usage aurait été encouragé est le Depo-Provera, un composé de contrôle des naissances actif à long-terme.
Le contraceptif dont l’usage aurait été encouragé est le Depo-Provera, un composé de contrôle des naissances actif à long-terme que  très peu d’Israéliennes en bonne santé choisissent d’utiliser d’elles-mêmes,  selon le Los Angeles Times.
Le contraceptif dont l’usage aurait été encouragé est le Depo-Provera, un composé de contrôle des naissances actif à long-terme que « très peu d’Israéliennes en bonne santé choisissent d’utiliser d’elles-mêmes, » selon le Los Angeles Times.
Des activistes israéliennes du collectif Hedva Eyal ont déclaré que ce rapport révélait une politique du non-dit visant à réduire « le nombre de naissances au sein d’une communauté noire et majoritairement pauvre. »
Des activistes israéliennes du collectif Hedva Eyal ont déclaré que ce rapport révélait une « politique du non-dit » visant à réduire « le nombre de naissances au sein d’une communauté noire et majoritairement pauvre. »
GlobalPost, Adaptation : Antonin Marot pour JOL Press.
GlobalPost : Adaptation : Antonin Marot pour JOL Press.
GlobalPost / Adaptation : Antonin Marot pour JOL Press.