L'encre de l'accord trouvé entre Google et les représentants des éditeurs de presse à peine sèche, les commentaires sont allés bons trains sur le montant du fonds créé et les contreparties commerciales attribuées à la firme de Montain View...
Les commentaires sont allés bon train.
Les commentaires sont allés bons trains sur le montant du fonds créé et les contreparties commerciales attribuées à la firme de Montain View...
L'encre de l'accord trouvé entre Google et les représentants des éditeurs de presse à peine sèche.
chapeau: <@PCTFTG@>L'encre de l'accord trouvé entre Google et les représentants des éditeurs de presse à peine sèche, les commentaires sont allés bons trains sur le montant du fonds créé et les contreparties commerciales attribuées à la firme de Montain View...
Le Président Hollande qui accueille cet accord comme "un évènement mondial".
Le Président Hollande qui accueille cet accord comme "un évènement mondial", et salue sa dimension "historique".
C'est une fierté pour la France d'avoir été capable de réaliser cet accord qui est le premier dans le monde.
"C'est une fierté pour la France d'avoir été capable de réaliser cet accord qui est le premier dans le monde" se félicite le Président Hollande qui accueille cet accord comme "un évènement mondial", et salue sa dimension "historique".
"C'est une fierté pour la France d'avoir été capable de réaliser cet accord qui, est le premier dans le monde" se félicite le Président Hollande qui accueille cet accord comme "un évènement mondial", et salue sa dimension "historique".
texte:  60 ME pour transformer la presse française.
En pratique, l'accord prévoit le développement de plusieurs projets entre Google et les éditeurs de presse.
60 ME pour transformer la presse française.
texte: <@PCTFTG@>60 ME pour transformer la presse française <@CHGTLG@>En pratique, l'accord prévoit le développement de plusieurs projets entre Google et les éditeurs de presse.
Le groupe américain utilise comme il l'entend toutes les publications de presse française.
Aucun abondement complémentaire n'est prévu pour alimenter le fonds et donc durablement le pérenniser.
En contrepartie, le groupe américain pourra utiliser comme il l'entend toutes les publications de presse française, sans autre versement de droits d'utilisation des productions journalistiques.
La presse nourrit donc quelques craintes sur le montant alloué à ce fonds, craintes que François Hollande n'entend pas prendre en considération, dégageant le problème en touche sous forme de boutade : "Lorsque le fonds sera épuisé nous nous retrouverons pour une prochaine conférence de presse avec le Président de Google" a lancé le Président Hollande en conclusion de la déclaration conjointe effectuée après la signature de l'accord.
Les 60 ME, qui lui seront alloués, ne doivent donc être perçus ni comme une rétribution en contrepartie des productions de presse, ni comme une subvention à la presse.
Les 60 ME, qui lui seront alloués, ne doivent donc ni être perçus ni comme une rétribution en contrepartie des productions de presse, ni comme une subvention à la presse.
Il s'agit d'une aide à la transition numérique pour financer des projets nouveaux.
Il s'agit "d'une aide à la transition numérique pour financer des projets nouveaux".
Il s'agit "d'une aide à la transition numérique pour financer des projets nouveaux" explique Fleur Pellerin Ministre déléguée à l'Economie numérique.
Il s'agit "d'une aide à la transition numérique pour financer des projets nouveaux" dit Fleur Pellerin Ministre déléguée à l'Economie numérique.
Ce fonds sélectionnera donc les projets selon leur mérite, leurs capacités d'innnovation.
Ce fonds sélectionnera les projets selon leur mérite, leurs capacités d'innnovation.
Ce fonds sélectionnera les projets selon leur mérite, leurs capacités d'innnovation et de transformation des modèles économiques.
Ce fonds sélectionnera donc les projets selon leur mérite, leurs capacités d'innnovation et de transformation des modèles économiques.
"Cet accord arrive au bon moment pour les quotidiens les plus faibles et des petits magazines particulièrement fragilisés par la décomposition du système de distribution de la presse en France" accorde, Louis Dreyfus, Président du directoire du Monde.
"Cet accord arrive au bon moment pour les quotidiens les plus faibles et des petits magazines particulièrement fragilisés par la décomposition du système de distribution de la presse en France" estime, Louis Dreyfus, Président du directoire du Monde.
"La presse ne pourra compter que sur elle-même" <@CHGTLG@>"Cet accord arrive au bon moment pour les quotidiens les plus faibles et des petits magazines particulièrement fragilisés par la décomposition du système de distribution de la presse en France" estime, Louis Dreyfus, Président du directoire du Monde.
Ils comptent réussir son développement avec les aides, qu'il s'agisse du fonds Google ou les aides publiques.
Les aides, qu'il s'agisse du fonds Google ou les aides publiques.
Avec les aides, qu'il s'agisse du fonds Google ou les aides publiques.
Qu'il s'agisse du fonds Google ou les aides publiques, ils comptent les obtenir.
Avec les aides, qu'il s'agisse du fonds Google ou les aides publiques, ils comptent réussir.
Ils comptent réussir avec les aides, qu'il s'agisse du fonds Google ou les aides publiques.
Ils comptent sur les aides, qu'il s'agisse du fonds Google ou les aides publiques.
Ils comptent sur les aides, qu'il s'agisse du fonds Google ou les aides publiques, pour s'en sortir.
Sur le fonds, "cet accord ne modifie en rien le modèle économique de la presse et ceux qui comptent sur les aides, qu'il s'agisse du fonds Google ou les aides publiques pour s'en sortir, se trompent".
La presse ne pourra compter que sur elle-même et sur le renouvellement de son offre.
Ceux qui comptent sur les aides, qu'il s'agisse du fonds Google ou les aides publiques, pour s'en sortir, se trompent.
Ceux qui comptent sur les aides, qu'il s'agisse du fonds Google ou les aides publiques pour s'en sortir, se trompent.
La presse ne pourra compter que sur elle-même et sur le renouvellement de son offre pour s'en sortir.
Cet accord ne modifie en rien le modèle économique de la presse et ceux qui comptent sur les aides, qu'il s'agisse du fonds Google ou les aides publiques pour s'en sortir, se trompent.
Sur le fonds, "cet accord ne modifie en rien le modèle économique de la presse et ceux qui comptent sur les aides, qu'il s'agisse du fonds Google ou les aides publiques pour s'en sortir, se trompent. La presse ne pourra compter que sur elle-même et sur le renouvellement de son offre pour s'en sortir".
La presse ne pourra compter que sur le renouvellement de son offre.
Nathalie Collin (Présidente de l'Association de la presse d'information politique et générale) et Carlo (Président Europe du Sud et de l'Est de Google), qui ont participé aux négociations, feraient partie de l'équipe décisionnaire.
Carlo, président Europe du Sud et de l'Est, organise la réunion.
Carlo d'Asaro, président Europe du Sud et de l'Est, organise la réunion.
Nathalie Collin (Présidente de l'Association de la presse d'information politique et générale) et Carlo d'Asaro Biondo (Président Europe du Sud et de l'Est de Google), qui ont participé aux négociations, feraient partie de l'équipe décisionnaire.
L'Europe du Sud et de l'Est.
Europe du Sud et de l'Est.
Carlo, président Europe du Sud et de l'Est.
Ils ont ensuite accentué leur chute après la publication de l'indice de l'université du Michigan, tombé à 90,8 en juin, son plus bas niveau depuis février.
Ils ont ensuite accentué leur chute après la publication de l'indice de l'université du Michigan, tombé à 90,8.
Ils ont ensuite accentué leur chute après la publication de l'indice de l'université du Michigan, tombé à 90,8 en juin.
Ils ont ensuite accentué leur chute après la publication de l'indice de l'université du Michigan, tombé à 90,8 en juin, son plus bas niveau depuis février sur la base d'une première estimation.
Les tensions internationales, auxquelles ils sont actuellement particulièrement sensibles.
L'attentat de Karachi ajoute aux inquiétudes des opérateurs sur les tensions internationales, auxquelles ils sont actuellement particulièrement sensibles.
La vigueur de la reprise, dont on attend l'expansion.
L'indice de confiance du Michigan relance les interrogations sur la vigueur de la reprise, dont on attend l'expansion.
L'indice de confiance du Michigan relance les interrogations sur la vigueur de la reprise, dont on attend que la consommation des ménages, qui représente les deux tiers de l'économie américaine, soit un moteur.
L'attentat de Karachi ajoute aux inquiétudes des opérateurs sur les tensions internationales, auxquelles ils sont actuellement particulièrement sensibles, tandis que l'indice de confiance du Michigan relance les interrogations sur la vigueur de la reprise, dont on attend que la consommation des ménages, qui représente les deux tiers de l'économie américaine, soit un moteur.
Ils ont ensuite accentué leur chute après la publication de l'indice de l'université du Michigan, tombé à 90,8 en juin, son plus bas niveau depuis février sur la base d'une première estimation, contre 96,9 le mois précédent.
L'indice Dow Jones  a clôturé en baisse de 0,30% à 9.474,21 points et le Standard Poor's 500 a perdu 0,23% à 1.007,27 points.
L'indice Dow Jones  a clôturé en baisse de 0,30% à 9.474,21 points et le Standard & Poor's 500 a perdu 0,23% à 1.007,27 points.
L'indice Dow Jones  a clôturé en baisse de 0,30% à 9.474,21 points et le Standard Poor's 500 , plus large, a perdu 0,23% à 1.007,27 points.
L'indice Dow Jones  a clôturé en baisse de 0,30% à 9.474,21 points et le Standard & Poor's 500 , plus large, a perdu 0,23% à 1.007,27 points.
Les opérateurs sont convaincus après l'indice de confiance du Michigan que la Réserve Fédérale américaine ne relèverait pas ses taux d'intérêt, actuellement à leur plus bas niveau depuis 40 ans, avant novembre ou décembre.
La Réserve Fédérale américaine ne relèverait pas ses taux d'intérêt à leur plus bas niveau depuis 40 ans.
La Réserve Fédérale américaine ne relèverait pas ses taux d'intérêt, actuellement à leur plus bas niveau depuis 40 ans.
Les rendements des emprunts d'Etat ont touché des plus bas de six mois.
Les rendements des emprunts d'Etat ont touché des plus bas de six mois, les opérateurs étant convaincus après l'indice de confiance du Michigan que la Réserve Fédérale américaine ne relèverait pas ses taux d'intérêt, actuellement à leur plus bas niveau depuis 40 ans, avant novembre ou décembre.
Le marché obligataire ne semblait pas en revanche las de grimper.
"Les chances de voir la Fed faire quoi que ce soit sont quasiment nulles", souligne Jim Claire de Evergreen Instituional Investment.
"Les chances de voir la Fed faire quoi que ce soit lors de son rendez-vous de septembre sont quasiment nulles", souligne Jim Claire de Evergreen Instituional Investment.
 "Les chances de voir la Fed faire quoi que ce soit lors de <@CHGTLG@>son rendez-vous de septembre sont quasiment nulles", souligne Jim <@CHGTLG@>Claire de Evergreen Instituional Investment.
La baisse de la confiance survient au lendemain au repli-surprise des ventes au détail en mai.
Une autre statistique publiée vendredi a bien montré que la production industrielle avait connu en mai son cinquième mois consécutif de croissance, mais la progression de 0,2% a été légèrement plus faible que les 0,3% attendus par les économistes.
La baisse de la confiance survient au lendemain au repli-surprise des ventes au détail en mai (-0,9%).
Les emprunts d'Etat bénéficient aussi des incertitudes sur la scène internationale.
Les emprunts d'Etat bénéficient aussi des incertitudes sur la scène internationale en rejouant le rôle de valeurs-refuge.
Les rendements des notes à dix ans sont tombés un temps sous 4,80%, leur plus bas niveau depuis décembre.
****   LE COMPTE DE RESULTAT CONSOLIDE DU GROUPE BANQUES POPULAIRES   1ER SEMESTRE 2002    En millions d'euros.
Agents généraux 1 631,7 1 531,8 6,5% 6,5%.
Agents généraux 1 631,7 1 531,8 6,5%.
****   LE COMPTE DE RESULTAT CONSOLIDE DU GROUPE BANQUES POPULAIRES   1ER SEMESTRE 2002.
****   LE COMPTE DE RESULTAT CONSOLIDE DU GROUPE BANQUES POPULAIRES   1ER SEMESTRE 2002    En millions d'euros 1 S02 1 S012 (2) Variation 02/01  Produit net bancaire 2 859 2 826 + 1 %.
Rendement 2,89% contre 2,99% jeudi soir.
23 + 64.
Celle à deux ans a grimpé de 6/32 à 100-22/32, rendement 2,89% contre 2,99% jeudi soir.
L'aide sera avant tout pratique et se négociera média par média, sans redistribution collective, et tant pis pour le pluralisme.
L'aide sera avant tout pratique et se négociera média par média, sans redistribution collective.
"C'est un accord historique", exultent Google, qui s'en tire à bon compte, François Hollande, qui s'est débarrassé d'un problème épineux, et Nathalie Collin, présidente de l'Association de la presse d'information politique et générale, qui travaille pour le Nouvel Obs et profitera de l'accord.
Nathalie Collin, présidente de l'Association de la presse d'information politique et générale, qui travaille pour le Nouvel Obs et qui profitera de l'accord.
Nathalie Collin, présidente de l'Association de la presse d'information politique et générale, qui travaille pour le Nouvel Obs.
Nathalie Collin, présidente de l'Association de la presse d'information politique et générale, qui travaille pour le Nouvel Obs et profitera de l'accord.
texte: <@PCTFTG@>"C'est un accord historique", exultent Google, qui s'en tire à bon compte, François Hollande, qui s'est débarrassé d'un problème épineux, et Nathalie Collin, présidente de l'Association de la presse d'information politique et générale, qui travaille pour le Nouvel Obs et profitera de l'accord.
De la loi initialement prévue, Google s'en tire avec un simple « accord commercial » à son avantage.
De la loi initialement prévue, Google s'en tire avec un simple « accord commercial » complètement à son avantage.
Le géant propose d'installer ses outils et régies publicitaires (AdSense, AdMob et AdExchanges) sur les sites des éditeurs de presse.
De la loi initialement prévue, Google s'en tire avec un simple « accord commercial » complètement à son avantage : le géant propose d'installer ses outils et régies publicitaires (AdSense, AdMob et AdExchanges) sur les sites des éditeurs de presse, pour les aider à améliorer leurs revenus... Et se poser en situation de quasi-monopole par la même occasion.
C'est le seul point certain.
Le seul point certain est que ce fonds est réservé aux partenaires de Google et n'est pas ouvert à la concurrence.
"Il ne s'agit pas simplement un financement mais aussi d'une coopération et d'un partenariat entre les éditeurs et Google. Ce dernier accompagnera par sa compétence, ses ingénieurs, sa technique, les projets sélectionnés".
Encore plus qu'avant, des sites de presse seront dépendants de l’audience amenée par Google.
Plus qu'avant.
Plus que la mesure.
Il veut plus que la mesure.
Plus que nécessaire.
Encore plus qu'avant, des sites de presse seront dépendants de l’audience amenée par Google, des revenus générés par les publicités Google.
Encore plus qu'avant, des sites de presse seront dépendants de l’audience amenée par Google, des revenus générés par les publicités Google et dorénavant leurs innovations seront arbitrées par Google.
Encore plus qu'avant, des sites de presse seront dépendants de l’audience amenée par Google, des revenus générés par les publicités Google et dorénavant même leurs innovations seront arbitrées par Google.
Il aspire à plus que la reconnaissance.
Il cache les quelques milliards.
Là où Google a fait très fort.
Mais là où Google a fait très fort.
Ce petit fonds de 60 millions d'euros pourrait réussir à cacher les quelques milliards de chiffre d'affaire qui s'envolent directement en Irlande et aux Bermudes sans passer par la case TVA et impôt sur les sociétés.
Mais là où Google a fait très fort, c'est que grâce à ce simple accord commercial, le groupe risque de faire taire une partie des voix qui appellent à ce que les géants des nouvelles technologies payent leurs impôts en France.
Parce que pour le Figaro, le Nouvel Obs et le Monde.fr, c'est certainement le mieux qu'ils auraient pu obtenir comme aide directe de Google.
Pour l'Humanité, La Croix et Libération.
Et pour l'Humanité, La Croix et Libération.
Et tant pis pour l'Humanité, La Croix et même Libération.
L'aide au transport, à la distribution de la presse, avec un engagement clair pour défendre et moderniser la coopérative Presstalis.
Même si la somme annoncée peut apparaître importante, elle est le résultat d’une négociation longue et difficile et d’un compromis intéressant qui laisse pourtant la multinationale Google encore loin de restituer la totalité de la valeur ajoutée qu'elle réalise à partir de la création éditoriale de nos journaux.
D'autre part, ce fond nouveau, limité dans le temps, ne doit en aucun cas se substituer aux responsabilités constitutionnelles de l'Etat pour faire vivre le pluralisme de la presse et donc dégager les crédits publics qui le servent, ainsi que l'aide au transport, à la distribution de la presse, avec un engagement clair pour défendre et moderniser la coopérative Presstalis.
Patrick Le Hyaric directeur de l'Humanité, en dit : "Le fond qui va être ainsi constitué va permettre de donner des moyens supplémentaires pour que nos journaux d'information générale et politique puissent développer leur plateforme numérique. Même si la somme annoncée peut apparaître importante, elle est le résultat d’une négociation longue et difficile et d’un compromis intéressant qui laisse pourtant la multinationale Google encore loin de restituer la totalité de la valeur ajoutée qu'elle réalise à partir de la création éditoriale de nos journaux. D'autre part, ce fond nouveau, limité dans le temps, ne doit en aucun cas se substituer aux responsabilités constitutionnelles de l'Etat pour faire vivre le pluralisme de la presse et donc dégager les crédits publics qui le servent, ainsi que l'aide au transport, à la distribution de la presse, avec un engagement clair pour défendre et moderniser la coopérative Presstalis."
Le médiateur des négociations entre l'Américain et les médias français, Marc Schwartz, raconte comment l'accord signé vendredi "s'est conclu à l'arraché".
C'est un accord gagnant-gagnant.
http://tempsreel.nouvelobs.com/medias/20130203.OBS7579/google-et-la-presse-c-est-un-accord-gagnant-gagnant-selon-marc-schwartz.html <@PCTFTG@>titre: <@PCTFTG@>Google et la presse : "C'est un accord gagnant-gagnant" <@PCTFTG@>chapeau: <@PCTFTG@>Le médiateur des négociations entre l'Américain et les médias français, Marc Schwartz, raconte comment l'accord signé vendredi "s'est conclu à l'arraché".
L´accord prévoit notamment la création d'un fonds de 60 millions d'euros, alimenté par Google.
L´accord prévoit notamment la création d'un fonds de 60 millions d'euros, alimenté par Google, au profit de "la transition numérique de la presse".
Il y a eu une première ébauche d'accord au moment de Noël, comme évoqué par "le Monde".
Y a-t-il eu une première ébauche d'accord au moment de Noël ?
Y a-t-il eu une première ébauche d'accord au moment de Noël, comme évoqué par "le Monde" ?
Nous sommes vite entrés dans le vif du sujet, avec de chaque côté des positions très tranchées.
Quel a été votre sentiment à la première réunion face à deux parties aussi tendues ?
( Deux par semaine ).
Deux à trois par semaine.
Mais malgré des réunions nombreuses (deux à trois par semaine).
Mais malgré des réunions nombreuses (deux à trois par semaine), nous n'avancions pas.
Mais malgré des réunions nombreuses (deux à trois par semaine) et longues (4h environ), nous n'avancions pas.
Et il fallait que les esprits maturent, que les deux côtés comprennent qu'on ne pouvait rester sur des positions aussi opposées.
Le processus était lent, notamment parce que Google est une grosse entreprise, avec des décisions centralisées à Mountain View [aux Etats-Unis, NDLR], qui ne pouvait pas apporter de réponses dans un laps de temps aussi court.
J'ai écrit à Eric Schmidt en lui demandant d’intervenir pour débloquer la situation et nous faire part de propositions.
J'ai alors demandé à Eric Schmidt d’intervenir pour débloquer la situation et nous faire part de propositions.
J'ai alors écrit à Eric Schmidt en lui demandant d’intervenir pour débloquer la situation et nous faire part de propositions.
J'ai alors écrit personnellement à Eric Schmidt en lui demandant d’intervenir pour débloquer la situation et nous faire part de propositions.
J'ai alors écrit personnellement à Eric Schmidt [le président exécutif de Google, NDLR] en lui demandant d’intervenir pour débloquer la situation et nous faire part de propositions.
Il y a eu alors une prise de conscience au plus haut niveau de Google - Eric Schmidt et le cofondateur Larry Page - qu'il s'agissait d'une opportunité historique.
Je lui ai même proposé de venir poursuivre les négociations à Mountain View.
- Oui, l'accord s'est conclu à l'arraché, dans les dernières heures.
Les négociations se sont alors débloquées à la mi-janvier, au moment des vœux de François Hollande à la presse.
La dernière semaine, nous négocions toutes les nuits jusqu’à 2 ou 3h du matin.
La dernière semaine, nous négocions toutes les nuits jusqu’à 2 ou 3h du matin, en vidéoconférence avec Mountain View.
La dernière semaine, nous négocions toutes les nuits jusqu’à 2 ou 3h du matin en vidéoconférence avec Mountain View.
La dernière semaine, nous négocions toutes les nuits jusqu’à 2 ou 3h du matin – en vidéoconférence avec Mountain View –.
La dernière semaine, nous négocions toutes les nuits jusqu’à 2 ou 3h du matin – en vidéoconférence avec Mountain View.
C'était intense et…  surtout riche en rebondissements !
- Google refusait de payer pour le référencement de sites de presse par son moteur de recherche, d'où cette opposition virulente à la notion de droit voisin.
Je le lui ai dit quand nous nous sommes vus à l'Elysée et il m'a répondu qu'il avait simplement dit à ses équipes : "just do it".
C'était intense et… riche en rebondissements !
Google met à disposition des sites de presse ses technologies et son savoir-faire.
C'est un partenariat commercial à long terme pour aider la presse à monétiser son audience.
Que se passera-t-il dans 3 à 5 ans quand le fonds sera épuisé ?
L'accord marche sur deux jambes : il prévoit la création d'un fonds de 60 millions d'euros, mais aussi un volet commercial par lequel Google met à disposition des sites de presse ses technologies et son savoir-faire.
Interview de Marc Schwartz, chroniqueur et médiateur des négociations entre Google et la presse.
Interview de Marc Schwartz, associé au sein du cabinet Mazars.
Marc Schwartz dirige des négociations entre la presse et Google.
Marc Schwartz dirige des négociations entre Google et la presse.
Marc Schwartz est médiateur des négociations entre Google et la presse.
Interview de Marc Schwartz, médiateur des négociations entre Google et la presse.
Interview de Marc Schwartz, associé au sein du cabinet Mazars et médiateur des négociations entre Google et la presse.