C'est un homme sans faculté.
C'est un homme sans la faculté de comprendre.
Il a la faculté de comprendre.
Un homme sans la faculté de comprendre.
Un homme sans la faculté de comprendre, d’entendre, d’écouter ni de parler.
C'est un homme sans la faculté de comprendre, d’entendre, d’écouter ni de parler.
Mais un homme sans la faculté de comprendre, d’entendre, d’écouter ni de parler n’est pas vraiment un homme.
Mais comme un homme sans la faculté de comprendre, d’entendre, d’écouter ni de parler n’est pas vraiment un homme, Rich Walker et son équipe ont donc doté le robot d’une intelligence artificielle, indique «The Guardian».
Mardi, des scientifiques britanniques ont présenté ce robot doté d’organes, d’un système de circulation sanguine et d’une intelligence artificielle, lors d’une conférence de presse.
A quoi ressemblent les catholiques français, régulièrement critiques envers la politique du gouvernement actuel ?
Les prothèses ne donnent plus une image de perte ou de pitié mais un sentiment d’émerveillement et une réaction positive.
Les concepteurs du robot et les réalisateurs du documentaire se sont en effet alliés au psychologue suisse Bertolt Meyer, équipé d’une prothèse bionique au niveau de la main gauche.
L’homme a ainsi accepté de prêter ses traits au visage de Rex, pour que «les prothèses ne donnent plus une image de perte ou de pitié mais un sentiment d’émerveillement et une réaction positive», a-t-il expliqué au «Guardian».
Les concepteurs du robot et les réalisateurs du documentaire se sont en effet alliés au psychologue suisse Bertolt Meyer, équipé d’une prothèse bionique au niveau de la main gauche, afin de tenter de changer certaines mentalités.
Un corps qui soit grand et beau.
Un corps qui soit grand et beau dans son genre.
«Tout à coup, nous sommes capable de créer un corps qui soit grand et beau dans son genre», a-t-il ajouté.
«Nous avons des moteurs qui peuvent soulever des choses, mais si l’on veut imiter la dextérité d’une main, on en est loin», a-t-il précisé.
En attendant de voir Rex imiter le célèbre Jedi, les curieux pourront aller le découvrir jusqu’au 11 mars au musée des sciences de Londres.
titre: VIDÉO - Rex, l’homme bionique présenté à Londres chapeau: Le 5 février, un homme bionique a été présenté au Science Museum de Londres.
Il possède un rein, une rate, une trachée et un pancréas – tous artificiels -, ainsi qu’un système de circulation sanguine.
Homme bionique : Rex possède 4 organes artificiels Le faux humain a (presque) tout d’un vrai.
Un film qui sera présenté dans le cadre de l’émission « Comment construire un homme bionique ».
Un film qui sera présenté dans le cadre de l’émission « Comment construire un homme bionique », présentée par Bertolt Meyer, un socio-psychologue suisse équipé d’une prothèse qui lui sert de main gauche.
Un bel exploit qu’il se doit d’examiner.
Un bel exploit pour la science qu’il est possible d’examiner.
Si Rex possède un rein, une trachée et une rate artificiels ce n’est pas tout puisque cet homme bionique possède aussi un système autonome de circulation sanguine.
Un bel exploit pour la science qu’il est possible d’aller examiner de plus près au Science Museum de Londres.
titre: Homme bionique : Rex présenté au Science Museum de Londres chapeau: Si vous avez toujours rêvé de croiser un homme entièrement bionique, c’est désormais possible au Science Museum de Londres où Rex est exposé à partir de cette semaine.
Ci-dessous, vous pouvez découvrir quelques images de cet homme bionique qui fut créer à Londres et dont on devrait entendre parler encore dans les mois à venir.
Rex l’homme bionique sera aussi le héros d’un documentaire diffusé et intitulé.
En plus d’être déjà une star dans les médias, Rex l’homme bionique sera aussi le héros d’un documentaire diffusé dans un premier temps en Grande-Bretagne.
Pour être une star, Rex l’homme bionique sera aussi le héros d’un documentaire.
En plus d’être déjà une star dans les médias, Rex l’homme bionique sera aussi le héros d’un documentaire.
Ci-dessous, vous pouvez découvrir quelques images de cet homme bionique dont on devrait entendre parler encore dans les mois à venir.
En plus d’être déjà une star dans les médias, Rex l’homme bionique sera aussi le héros d’un documentaire diffusé dans un premier temps en Grande-Bretagne et intitulé « Comment fabriquer un homme bionique ? ».
On peut grâce à la science.
On peut grâce à la science créer un robot humain proche de l’homme ?
Peut-on grâce à la science créer un robot humain proche de l’homme ?
Peut-on créer un robot humain proche de l’homme grâce à la science ?
LONDRES – Peut-on créer un robot humain proche de l’homme grâce à la science ?
chapeau: LONDRES – Peut-on créer un robot humain proche de l’homme grâce à la science ?
Il joue dans le documentaire « Comment construire un homme bionique ».
Jouer dans le documentaire « Comment construire un homme bionique ».
Sa mission : jouer dans le documentaire « Comment construire un homme bionique ».
Sa mission : jouer dans le documentaire « Comment construire un homme bionique »Channel 4.
Rex a bénéficié des toutes dernières avancées mondiales d’organes de synthèse et de prothèses robotisées !
Le « robot-humain » Rex a bénéficié des toutes dernières avancées mondiales d’organes de synthèse et de prothèses robotisées pour créer un protoype d’un nouveau genre !
Il montre ce qu’il est possible de faire.
Il montre ce qu’il est possible de faire comme Bertolt Meyer l’explique  : «Mon but était de montrer que les prothèses, au lieu de donner une image de perte, pitié et bizarrerie, peuvent transmettre un sentiment de « wow » et d’émerveillement, une réaction positive».
Il montre ce qu’il est possible de faire comme l’explique Bertolt Meyer : «Mon but était de montrer que les prothèses, au lieu de donner une image de perte, pitié et bizarrerie, peuvent transmettre un sentiment de « wow » et d’émerveillement, une réaction positive».
pourtant, aucun tissu humain n’entre dans sa composition afin de montrer ce qu’il est possible de faire en matière d’homme bionique aujourd’hui.
pourtant, aucun tissu humain n’entre dans sa composition afin de montrer ce qu’il est possible de faire en matière d’homme bionique aujourd’hui comme l’explique Bertolt Meyer : «Mon but était de montrer que les prothèses, au lieu de donner une image de perte, pitié et bizarrerie, peuvent transmettre un sentiment de « wow » et d’émerveillement, une réaction positive».
Découvrez Rex l’homme bionique, « Robotic Exoskeleton » !
Le socio-psychologue suisse Bertolt Meyer a décidé de faire un documentaire sur les avancées concernant la création d’un homme bionique car il est lui même équipé d’une prothèse articulée qui remplace sa main gauche.
rex-homme-bionique Le documentaire sur Rex sera diffusé jeudi sur la chaîne anglaise Channel 4 et Rex sera présenté au public du Musée des Sciences de Londres à partir de jeudi et jusqu’au 11 mars 2013 !
Le documentaire sur Rex sera diffusé jeudi sur la chaîne anglaise Channel 4 et Rex sera présenté au public du Musée des Sciences de Londres !
Le documentaire sur Rex sera diffusé jeudi sur la chaîne anglaise Channel 4.
Rex a bénéficié des toutes dernières avancées mondiales a expliqué à The Independant Rich Walker, le directeur de l’entreprise qui a conçu Rex : «Il montre exactement quels organes du corps humain nous sommes capables de remplacer».
Rex a bénéficié des toutes dernières avancées mondiales a expliqué à The Independant Rich Walker, le directeur de l’entreprise qui a conçu Rex.
Rex a bénéficié des toutes dernières avancées mondiales a expliqué à The Independant Rich Walker, le directeur de Shadow Robot, l’entreprise qui a conçu Rex.
Le documentaire sur Rex sera diffusé jeudi sur la chaîne anglaise Channel 4 et Rex sera présenté au public du Musée des Sciences de Londres à partir de jeudi et jusqu’au 11 mars 2013 !
Rex a bénéficié des toutes dernières avancées mondiales a expliqué à The Independant Rich Walker, le directeur de Shadow Robot, l’entreprise qui a conçu Rex : «Il montre exactement quels organes du corps humain nous sommes capables de remplacer».
Créée en 1995, l'Agence pour la Distribution de Ressources Linguistiques et l'Evaluation ( ELDA) est l'organisme opérationnel d'ELRA, l'Association Européenne pour les Ressources Linguistiques, et a la production, la production, la validation et la distribution des ressources linguistiques ainsique la diffusion de d'informations d'ordre général sur les technologies de la langue.
L'avenir politique de la Tunisie inquiète.
Alors que le parti au pouvoir Ennahda a abdiqué mercredi soir en faveur d'un gouvernement d'experts, l'avenir politique de la Tunisie inquiète.
Alors que le parti au pouvoir Ennahda a abdiqué mercredi soir en faveur d'un gouvernement d'experts, l'avenir politique de la Tunisie inquiète de plus en plus.
Le gouvernement précédent s’est montré incapable d’apparaître suffisamment consensuel dans une période où la Tunisie a précisément besoin d’une union nationale pour sortir de ses problèmes économiques et sociaux.
Cet évènement est avant tout la preuve de l’incapacité d’Ennhada à assurer la stabilité du pays face à la résurgence du mécontentement populaire.
La formation de ce gouvernement d’experts « apolitiques » est justement révélatrice de l’impopularité croissante d’Ennhada.
La formation de ce gouvernement d’experts « apolitiques » est justement révélatrice de l’impopularité croissante d’Ennhada jugé impuissant face à ces problématiques.
Cela devrait, en conséquence, calmer le jeu de préférence à aggraver la situation.
Cela devrait, en conséquence, calmer le jeu plutôt que d’aggraver la situation.
On peut parler par ailleurs d’une victoire pour l’opposition qui réclamait depuis longtemps la tenue de nouvelles élections.
Le chômage continue pour l’instant de croître, les secteurs stratégiques (comme le tourisme) sont de plus en plus touchés et le déficit d’investissements étrangers se fait ressentir.
Beligh Nabli : On peut en effet parler de la première réelle onde de choc depuis le départ de Ben Ali bien que je ne pense pas encore une fois que nous ayons affaire à une nouvelle révolution ou même à un mouvement contre-révolutionnaire.
Beligh Nabli : On peut en effet parler de la première réelle onde de choc depuis le départ de Ben Ali en 2011.
Beligh Nabli : On peut en effet parler de la première réelle onde de choc depuis le départ de Ben Ali en 2011 bien que je ne pense pas encore une fois que nous ayons affaire à une nouvelle révolution ou même à un mouvement contre-révolutionnaire.
Sa femme, Basma Belaïd, a ainsi directement accusé Rached Ghannouchi, leader d’Ennhada, d’être « l’auteur » de cet assassinat.
Sa femme, Basma Belaïd, a ainsi directement accusé Rached Ghannouchi, leader d’Ennhada.
Sa femme, Basma Belaïd, a ainsi directement accusé Rached Ghannouchi, leader d’Ennhada, d’être « l’auteur » de cet assassinat, ce qui a clairement joué un rôle dans l'agitation actuelle.
Il s’agit en vérité d’un tournant dans les rapports de force politique locaux.
L’ancienne troïka au pouvoir (alliance des trois partis Ennhada, CPR et Ettakatol, NDLR) souffrait par ailleurs de fissures internes de plus en plus visibles.
Les évènements d'hier sont-ils le témoin d'un échec de l'islam politique en Tunisie ?
Haoues Seniguer : Hélas, l'assassinat de Chokri Belaïd, secrétaire général du parti des patriotes démocrates unifié, est le point d'orgue d'une situation politique chaotique depuis un certain temps déjà, en raison d'une forme de dérive autoritariste du parti Ennahda et des tensions internes au gouvernement de transition, à la fois sourd aux aspirations populaires et incapable d'y répondre.
Ils préfèrent se réfugier derrière les questions sociétales alors même que celles-ci alimentent des comportements d'intolérance de la part de ceux qui prétendent être les gardiens de l'ordre moral (salafistes, islamistes, imams autoproclamés, etc).
L'islam politique, symbolisé par Ennahda, montre ses limites à l'épreuve de l'exercice du pouvoir, et son incapacité flagrante à apporter des solutions concrètes aux gens.
L'islam politique, symbolisé par Ennahda, montre ses limites à l'épreuve de l'exercice du pouvoir, et son incapacité flagrante à apporter des solutions concrètes aux gens, préférant se réfugier derrière les questions sociétales alors même que celles-ci alimentent des comportements d'intolérance de la part de ceux qui prétendent être les gardiens de l'ordre moral (salafistes, islamistes, imams autoproclamés, etc).
Ils sont supposés être les ennemis de la révolution.
Les Ligues de Protection de la Révolution exercent un véritable harcèlement psychologique et physique à l'égard des éléments de la société tunisienne supposés être les ennemis de la révolution.
Ennahda porterait une responsabilité, si des assassinats politiques venaient à être perpétrés à l'avenir.
Ennahda porterait une responsabilité morale indéniable, si des assassinats politiques venaient à être perpétrés à l'avenir.
Des "milices" à la solde du parti islamiste, exercent un véritable harcèlement psychologique et physique.
Des "milices" visiblement à la solde du parti islamiste, exercent un véritable harcèlement psychologique et physique.
Ils sont supposés être les ennemis de la révolution, parce que ils sont opposés à l'incurie du gouvernement actuel et des dérives autoritaristes de Ennahda.
Les Ligues de Protection de la Révolution (LPR), exercent un véritable harcèlement psychologique et physique à l'égard des éléments de la société tunisienne supposés être les ennemis de la révolution, parce que opposés à l'incurie du gouvernement actuel et des dérives autoritaristes de Ennahda.
Des "milices" à la solde du parti islamiste, et à la solde du parti islamiste, exercent un véritable harcèlement psychologique et physique.
Des "milices" appelées les Ligues de Protection de la Révolution (LPR).
Des "milices" appelées les Ligues de Protection de la Révolution (LPR), exercent un véritable harcèlement psychologique et physique.
Des "milices" appelées pudiquement les Ligues de Protection de la Révolution (LPR), exercent un véritable harcèlement psychologique et physique.
Des "milices" à la solde du parti islamiste, et appelées pudiquement les Ligues de Protection de la Révolution (LPR), exercent un véritable harcèlement psychologique et physique.
Des "milices" visiblement à la solde du parti islamiste, et appelées pudiquement les Ligues de Protection de la Révolution (LPR), exercent un véritable harcèlement psychologique et physique à l'égard des éléments de la société tunisienne supposés être les ennemis de la révolution, parce que opposés à l'incurie du gouvernement actuel et des dérives autoritaristes de Ennahda.
Des "milices" visiblement à la solde du parti islamiste, et appelées pudiquement les "Ligues de Protection de la Révolution" (LPR), exercent un véritable harcèlement psychologique et physique à l'égard des éléments de la société tunisienne supposés être les ennemis de la révolution, parce que opposés à l'incurie du gouvernement actuel et des dérives autoritaristes de Ennahda.
À cet égard, il est important de souligner que C. Belaïd laissait clairement entendre que Ennahda porterait une responsabilité morale indéniable, si des assassinats politiques venaient à être perpétrés à l'avenir, dans la mesure où des "milices" visiblement à la solde du parti islamiste, et appelées pudiquement les "Ligues de Protection de la Révolution" (LPR), exercent un véritable harcèlement psychologique et physique à l'égard des éléments de la société tunisienne supposés être les ennemis de la révolution, parce que opposés à l'incurie du gouvernement actuel et des dérives autoritaristes de Ennahda.
À cet égard, il est important de souligner que C. Belaïd laissait clairement entendre le 5 février dernier, sur le plateau de la chaîne Nessma TV, à la veille de sa mort tragique, que Ennahda porterait une responsabilité morale indéniable, si des assassinats politiques venaient à être perpétrés à l'avenir, dans la mesure où des "milices" visiblement à la solde du parti islamiste, et appelées pudiquement les "Ligues de Protection de la Révolution" (LPR), exercent un véritable harcèlement psychologique et physique à l'égard des éléments de la société tunisienne supposés être les ennemis de la révolution, parce que opposés à l'incurie du gouvernement actuel et des dérives autoritaristes de Ennahda.
Ce parti s'est d'ailleurs empressée de dénoncer l'assassinat ("un crime odieux" selon ses propres mots) de cette personnalité de premier plan, pour ne pas accroître son discrédit et être montrée du doigt dans le pays et à l'étranger.
Il parle de tous les partis et différents organes de la société civile.
Cette configuration a été  la force du parti au pouvoir.
Cette configuration a été jusque-là la force du parti au pouvoir car aucune formation n’était en mesure de contester à elle seule la politique de la troïka.
Quelle est sa véritable force politique à l'heure actuelle ?
On peut dire néanmoins qu’il y a désormais un véritable consensus de tous les partis et différents organes de la société civile.
On peut dire néanmoins qu’il y a désormais un véritable consensus de tous les partis et différents organes de la société civile pour condamner cet assassinat qui est vécu comme une attaque symbolique contre l’esprit révolutionnaire.
La tâche qui lui incombe est de poursuivre le débat contradictoire à l'assemblée et à l'extérieur.
La tâche qui lui incombe est de poursuivre le débat contradictoire à l'assemblée et en dehors.
La tâche qui lui incombe actuellement est de poursuivre le débat contradictoire à l'assemblée et en dehors, ainsi qu'au sein de la société civile, afin de faire vivre cette démocratie naissante, certes encore balbutiante mais pleine de promesses.
Ce tournant historique se base sur la prise de conscience de la citoyenneté politique récemment acquise, cette dernière passant du stade théorique au stade pratique.
Il s’agit d’un tournant historique se basant sur la prise de conscience de la citoyenneté politique récemment acquise, cette dernière passant du stade théorique au stade pratique.
Peut-on encore imaginer un débouché pacifique à la révolution initiée il y a deux ans ?
Il y a toujours des avancées et des ressacs.
Il y a toujours, dans n'importe quelle révolution, des avancées et des ressacs.
Il y a toujours, dans n'importe quelle révolution, des avancées puis des ressacs.
Ils veillent au grain, pour que cette révolution ne soit pas détournée et détournée de ses objectifs initiaux.
Il y a toujours, dans n'importe quelle révolution, des avancées puis des ressacs, et ainsi de suite, jusqu'à ce que le cadre socio-politique général se fixe et se stabilise progressivement.
Cependant, la grande force de la Tunisie est la vitalité de sa société civile, de ses hommes et femmes, des syndicats et des partis d'opposition constamment mobilisés, qui veillent au grain, pour que cette révolution ne soit pas confisquée et détournée de ses objectifs initiaux : justice sociale, dignité, liberté et développement économique qui puisse profiter au plus grand nombre de nationaux.
La police a tiré jeudi des gaz lacrymogènes sur quelques centaines de manifestants qui dénonçaient l'assassinat, la veille, de l'opposant Chokri Belaïd.
La police tire des gaz lacrymogènes à Tunis.
Des heurts entre policiers et manifestants ont éclaté lorsque ces derniers se sont approchés du ministère de l'Intérieur sur l'avenue Habib Bourguiba.
La police a tiré jeudi des gaz lacrymogènes sur quelques centaines de manifestants dans le centre Tunis qui dénonçaient l'assassinat, la veille, de l'opposant Chokri Belaïd.
titre: La police tire des gaz lacrymogènes à Tunis chapeau: texte: L'ESSENTIEL - Ennahda a refusé la proposition du Premier ministre de former un gouvernement d'experts.
La police avait appelé à manifester sans fixer de date.
La police avait appelé à manifester sans jeter de pierres.
On pense que la police et la gendarmerie manifeste sans jeter de pierres.
La police et la gendarmerie manifeste sans jeter de pierres.
La police manifeste sans jeter de pierres.
La police avait auparavant appelé à manifester sans jeter de pierres.
La police avait auparavant appelé à "manifester sans jeter de pierres".
Le principal syndicat tunisien a appelé à une grève générale vendredi et à des funérailles nationales pour Chokri Belaïd, l'opposant de gauche assassiné mercredi.
Le principal syndicat tunisien a appelé à une grève générale et à des funérailles nationales pour Chokri Belaïd, l'opposant de gauche assassiné.
Le principal syndicat tunisien a appelé à une grève générale vendredi et à des funérailles nationales pour Chokri Belaïd, l'opposant de gauche assassiné.
Le principal syndicat tunisien a appelé à une grève générale vendredi et à des funérailles nationales pour Chokri Belaïd, l'opposant de gauche assassiné mercredi à Tunis.
Des nuages de gaz se sont répandus sur toute l'avenue, alors que la police pourchassait à coup de matraques les manifestants dans les rues alentours.
On sentait bien que la famille voulait se montrer forte et surtout fière de son « enfant », qui sera marqué à jamais dans l’histoire de notre pays.
Cette phrase était sur toutes les lèvres ce matin à la maison familiale du défunt Chokri Belaïd à Djbel Jloud.
D’ailleurs, et même si le deuil était bien présent, on sentait bien que la famille voulait se montrer forte et surtout fière de son « enfant », qui sera marqué à jamais dans l’histoire de notre pays.
chapeau: texte: « On a perdu notre fils, mais la Tunisie a gagné un martyr qui va enfin changer la situation dans le pays et cela nous console », cette phrase était sur toutes les lèvres ce matin à la maison familiale du défunt Chokri Belaïd à Djbel Jloud.
texte : Les révolutions commencent dans un enthousiasme convivial, continuent en sanglante tragédie,  et se terminent en sanglante tragédie.
titre: Tunisie : pire que tranquille? 
titre: Tunisie : pire que calme? 
texte: C'est une fatalité de l'histoire : les révolutions commencent dans un enthousiasme convivial et se terminent en sanglante tragédie.
chapeau: Selon Pierre Beylau, l'assassinat de l'opposant Chokri Belaïd illustre le chaos dans lequel est plongé le pays sous la férule des islamistes.
titre: Tunisie : bien pire que sous Ben Ali ? 
L'assassinat de l'opposant Chokri Belaïd n'est pas un drame isolé.
L'assassinat, mercredi 6 février, de l'opposant Chokri Belaïd n'est pas un drame isolé.
Car l'assassinat, mercredi 6 février, de l'opposant Chokri Belaïd n'est pas un drame isolé.
En France, les Montagnards écrasent les Girondins ; en Russie, les bolcheviks éliminent les mencheviks ; en Iran, les partisans de Khomeiny ne font qu'une bouchée de la gauche démocrate.
Pour se voir clouer au pilori, osons proférer une évidence : la situation du pays est bien pire que sous Ben Ali.
La situation du pays est bien pire que sous Ben Ali.
Pire que sous la kleptocratie de Ben Ali.
Déjà, le 18 octobre dernier, à Tataouine, dans le sud, les miliciens du régime - regroupés dans la "Ligue de protection de la révolution" - avaient lynché un responsable local du principal parti d'opposition Nidaa Tounès.
Le pays est en proie au chaos, livré à la violence des séides du parti islamiste Ennahda qui, de facto, dirige le pays.
Au risque de se voir clouer au pilori, osons proférer une évidence : la situation du pays est bien pire que sous Ben Ali.
Au risque de se voir clouer au pilori, d'être submergé par une avalanche d'indignation moralisatrice, osons proférer une évidence : la situation du pays est bien pire que sous Ben Ali.
Pire que sous la kleptocratie de Ben Ali Au risque de se voir clouer au pilori, d'être submergé par une avalanche d'indignation moralisatrice, osons proférer une évidence : la situation du pays est bien pire que sous Ben Ali.
Du Caire à Tunis, ce sont les phalanges de l'ordre noir, les islamistes les plus bornés, qui tiennent le haut du pavé.
Un mot censé expliquer le langage doit être complexe.
Problème : du Caire à Tunis, ce sont les phalanges de l'ordre noir, les islamistes les plus bornés, qui tiennent le haut du pavé.
La Tunisie, pays ouvert aux portes de l'Europe, était censée montrer le chemin vers un printemps arabe, vers une démocratie nimbée de valeurs islamiques.
Les protestations, parfois violentes, se multiplient depuis l'assassinat de l'opposant Chokri Belaïd.
titre: Tunisie : les heurts reprennent à Tunis, l'appel à la grève générale s'étend chapeau: Les protestations, parfois violentes, se multiplient depuis l'assassinat de l'opposant Chokri Belaïd.
Le parti au pouvoir contrôle 89 des 217 sièges.
Le parti islamiste au pouvoir contrôle 89 des 217 sièges.
Le parti islamiste au pouvoir, Ennahda, contrôle 89 des 217 sièges.
-Le principal syndicat tunisien a appelé à la grève générale vendredi pour les funérailles de Chokri Belaïd, l'opposant assassiné mercredi à Tunis, a annoncé la centrale syndicale sur son site officiel.
« Nous avons refusé cette proposition (...) le chef du gouvernement a pris cette décision sans consulter la coalition (gouvernementale) ni le mouvement Ennahda », a-t-il annoncé, alors que tout cabinet doit être approuvé par l'Assemblée où le parti islamiste au pouvoir, Ennahda, contrôle 89 des 217 sièges.
13h56 : Les parlementaires d'Ennahda opposés à un gouvernement apolitique - Le chef du groupe parlementaire islamiste Ennahda a annoncé à la télévision nationale rejeter l'annonce de la formation d'un gouvernement de technocrates apolitiques formulée la veille par le Premier ministre Hamadi Jebali, après l'assassinat de l'opposant Chokri Belaïd.
14h03 : Le principal syndicat tunisien appelle à la grève générale -Le principal syndicat tunisien a appelé à la grève générale vendredi pour les funérailles de Chokri Belaïd, l'opposant assassiné mercredi à Tunis, a annoncé la centrale syndicale sur son site officiel.
---------------------------- 13h36 : La France ferme ses écoles en Tunisie -Les établissements scolaires français en Tunisie seront exceptionnellement fermés vendredi et samedi, a annoncé l'ambassade de France sur son site internet.
Cette décision fait suite à la brusque montée des tensions provoquée par l'assassinat, mercredi matin.
Cette décision fait suite à la brusque montée des tensions provoquée par l'assassinat, mercredi matin à Tunis.
---------------------------- 13h12 : Des nouveaux heurts -Des centaines de manifestants anti-islamistes et la police s'affrontaient jeudi devant le siège du gouverneur de Gafsa, ville instable du bassin minier tunisien (centre).
Cette décision fait suite à la brusque montée des tensions provoquée par l'assassinat, mercredi matin à Tunis, d'une figure de l'opposition laïque, Chokri Belaïd.
Les proches de l'opposant tué accusent les islamistes d'Ennahda d'être responsables de l'assassinat, ce que dément ce parti au pouvoir depuis octobre 2011.
La région de Gafsa : c'est le centre de la production de phosphates en Tunisie.
Il est le centre de la production de phosphates en Tunisie.
Il parle de la région de Gafsa, qui est le centre de la production de phosphates en Tunisie.
La manifestation était organisée par le Front populaire, une alliance de partis de gauche et d'extrême-gauche.
La région de Gafsa, qui est le centre de la production de phosphates en Tunisie, a été le théâtre d'une révolte sanglante en 2008 contre le régime de Zine El Abidine Ben Ali.
La manifestation était organisée par le Front populaire, une alliance de partis de gauche et d'extrême-gauche à laquelle appartenait Belaïd.
« Je suis menacé. Le ministère de l'Intérieur m'a officiellement informé il y a déjà quatre mois que j'étais sur une liste de personnalités à assassiner. Le Président de la République m'a accordé une garde depuis trois ou quatre mois », a déclaré M. Chebbi, opposant sous le régime de Ben Ali.
« Je suis menacé. Le ministère de l'Intérieur m'a officiellement informé il y a déjà quatre mois que j'étais sur une liste de personnalités à assassiner. Le Président de la République m'a accordé une garde depuis trois ou quatre mois », a déclaré M. Chebbi, opposant historique sous le régime de Ben Ali.
« Je suis menacé. Le ministère de l'Intérieur m'a officiellement informé il y a déjà quatre mois que j'étais sur une liste de personnalités à assassiner. Le Président de la République m'a accordé une garde depuis trois ou quatre mois », a déclaré M. Chebbi, opposant historique sous le régime de Ben Ali et aujourd'hui chef d'un parti centriste opposé aux islamistes au pouvoir.
---------------------------- 11h36 : Un opposant tunisien dit figurer sur une liste de personnalités à assassiner - Le chef du Parti républicain (centre) tunisien, Ahmed Nejib Chebbi, a déclaré sur RTL qu'il figurait « sur une liste de personnalités à assassiner » et qu'il bénéficiait d'une protection officielle.
Revenant sur l'assassinat de Chokri Belaïd, « l'enquête n'en est qu'à ses débuts, on ne peut rien dire », a estimé M. Chebbi.
Il pense que l'enquête en est qu'à ses débuts.
L'enquête en est seulement à ses débuts.
Revenant sur l'assassinat de Chokri Belaïd,  l'enquête en est seulement à ses débuts.
Il pense que l'enquête n'en est qu'à ses débuts.
Revenant sur l'assassinat de Chokri Belaïd, « l'enquête n'en est qu'à ses débuts, on ne peut rien dire », a estimé M. Chebbi, avant de mettre en cause « le laxisme » des autorités à l'égard des actions violentes des groupes islamistes, qui se sont multipliées dans le pays depuis la révolution.
M. Chebbi a dénoncé « les groupes extrémistes religieux qui se sont attaqués aux galeries d'art, aux manifestations politiques, aux artistes, aux restaurants, aux bars. ».
M. Chebbi a dénoncé « les groupes extrémistes religieux qui se sont attaqués aux galeries d'art, aux manifestations politiques, aux artistes, aux restaurants, aux bars. Ils veulent établir une dictature religieuse violente, donc ils me prennent pour un ennemi à abattre ».
M. Chebbi a dénoncé « les groupes extrémistes religieux qui se sont attaqués aux galeries d'art, aux manifestations politiques, aux artistes, aux restaurants, aux bars. Ils veulent établir une dictature religieuse violente, donc ils me prennent pour un ennemi à abattre », a-t-il dit.
Le chef de l'opposition tunisienne, Chokri Belaïd, a déclenché une vague de protestations et de violences dans le pays.
L'assassinat du chef de l'opposition tunisienne, Chokri Belaïd, a déclenché une vague de protestations et de violences dans le pays.
L'assassinat par balles du chef de l'opposition tunisienne, Chokri Belaïd, a déclenché une vague de protestations et de violences dans le pays.
L'assassinat par balles à Tunis du chef de l'opposition tunisienne, Chokri Belaïd, a déclenché une vague de protestations et de violences dans le pays.
L'assassinat par balles mercredi du chef de l'opposition tunisienne, Chokri Belaïd, a déclenché une vague de protestations et de violences dans le pays.
L'assassinat par balles mercredi à Tunis du chef de l'opposition tunisienne, Chokri Belaïd, a déclenché une vague de protestations et de violences dans le pays.
---------------------------- 10h39 : La crainte d'un cycle de violences - L'assassinat par balles mercredi à Tunis du chef de l'opposition tunisienne, Chokri Belaïd, a déclenché une vague de protestations et de violences dans le pays.
Le parti islamiste Ennhada, principale formation politique en Tunisie, a refusé jeudi la dissolution du gouvernement voulue par le Premier ministre Hamadi Jebali, issu de ses rangs, et veut poursuivre les discussions sur un éventuel remaniement.
Il s'est ensuivi de heurts violents.
Ils s'en sont suivis de violents heurts avec la police, laquelle a compté un mort dans ses rangs.
S' est ensuivi de heurts violents.
S'en sont suivis de violents heurts avec la police, laquelle a compté un mort dans ses rangs.
Les proches de Chokri Belaïd accusent le parti islamiste au pouvoir Ennahda d'être responsable du meurtre, laissant craindre un nouveau cycle de violences dans un pays déjà miné par une crise politique, sociale et économique.
Les proches de Chokri Belaïd accusent le parti islamiste au pouvoir Ennahda d'être responsable du meurtre, laissant craindre un nouveau cycle de violences dans un pays déjà miné par une crise politique, sociale et économique et qui peine à se relever de la révolution qui a fait chuter Zine El Abidine Ben Ali en janvier 2011.
La révolution a fait chuter l'homme fort du pouvoir.
Il appartient à la plus grande université.
Il appartient à la plus grande université, à Tunis.
Il appartient à la plus grande université du pays, à la Manouba.
Il appartient à la plus grande université du pays, à la Manouba, en banlieue de Tunis.
Il harangue les enseignants de la plus grande université du pays, à la Manouba, en banlieue de Tunis.
Néanmoins, les syndicats des avocats, magistrats et du parquet ont annoncé qu'ils se mettaient en grève dès jeudi, comme les enseignants de la plus grande université du pays, à la Manouba, en banlieue de Tunis.
Néanmoins, les syndicats des avocats, magistrats et juges ont annoncé qu'ils se mettaient en grève dès jeudi.
Ils ont suspendu leur participation à l'Assemblée nationale constituante.
Néanmoins, les syndicats des avocats, magistrats et du parquet ont annoncé qu'ils se mettaient en grève dès jeudi, tout comme les enseignants de la plus grande université du pays, à la Manouba, en banlieue de Tunis.
En signe de protestation, quatre formations de l'opposition laïque -le Front populaire, Al-Massar (gauche), le Parti républicain et Nidaa Tounes (centre) -ont appelé également à une grève générale et suspendu leur participation à l'Assemblée nationale constituante.