Dans un communiqué de presse transmis à « L'Alsace », l'Organisation générale des consommateurs du Haut-Rhin (Orgeco) dénonce « l'insuffisance de moyens en matière de sécurité, de contrôle et le manque d'information aux populations riveraines du site. » 
La prise de dispositions immédiates pour interdire tout stockage provisoire en surface en Alsace, et faire acheminer - à titre provisoire - les déchets ultimes vers d'autres sites régionaux.
Le renvoi à leur lieu d'origine de tous les déchets non classés ultimes.
La suspension du stockage de déchets ultimes dans les Mines de Potasse.
L'Orgeco « se prononcera pour la fermeture définitive » de Stocamine, si « des moyens supplémentaires suffisants » n'étaient pas rapidement mis en place, notamment la suspension du stockage de déchets ultimes dans les Mines de Potasse, le renforcement des moyens de sécurité et de contrôle, des moyens humains supplémentaires et la prise de dispositions immédiates pour interdire tout stockage provisoire en surface en Alsace, et faire acheminer - à titre provisoire - les déchets ultimes vers d'autres sites régionaux.
L'Orgeco se prononcera pour la fermeture définitive de Stocamine, si des moyens supplémentaires suffisants n' étaient pas rapidement mis en place, notamment la suspension du stockage de déchets ultimes dans les Mines de Potasse, le renforcement des moyens de sécurité et de contrôle, des moyens humains supplémentaires et la prise de dispositions immédiates pour interdire tout stockage provisoire en surface en Alsace, et faire acheminer - à titre provisoire - les déchets ultimes vers d'autres sites régionaux.
L'Orgeco « se prononcera pour la fermeture définitive » de Stocamine, si « des moyens supplémentaires suffisants » n'étaient pas rapidement mis en place, notamment « la suspension du stockage de déchets ultimes dans les Mines de Potasse, le renforcement des moyens de sécurité et de contrôle, des moyens humains supplémentaires » et la prise de dispositions immédiates pour interdire tout stockage provisoire en surface en Alsace, et faire acheminer - à titre provisoire - les déchets ultimes vers d'autres sites régionaux, ainsi que « le renvoi à leur lieu d'origine de tous les déchets non classés ultimes. »
L'Orgeco « se prononcera pour la fermeture définitive » de Stocamine, si « des moyens supplémentaires suffisants » n'étaient pas rapidement mis en place, notamment « la suspension du stockage de déchets ultimes dans les Mines de Potasse, le renforcement des moyens de sécurité et de contrôle, des moyens humains supplémentaires » et la prise de dispositions immédiates pour interdire tout stockage provisoire en surface en Alsace, et faire acheminer - à titre provisoire - les déchets ultimes vers d'autres sites régionaux.
L'Orgeco « se prononcera pour la fermeture définitive » de Stocamine, si « des moyens supplémentaires suffisants » n'étaient pas rapidement mis en place, notamment « la suspension du stockage de déchets ultimes dans les Mines de Potasse, le renforcement des moyens de sécurité et de contrôle, des moyens humains supplémentaires » et la prise de « dispositions immédiates pour interdire tout stockage provisoire en surface en Alsace, et faire acheminer - à titre provisoire - les déchets ultimes vers d'autres sites régionaux », ainsi que « le renvoi à leur lieu d'origine de tous les déchets non classés ultimes. »
Pris cet été, les arrêtés municipaux interdisant la mendicité et la prostitution dans certains secteurs ont d'ores et déjà permis d'obtenir des résultats tangibles, analyse Jean-Marie Bockel : il y a moins de mendiants aux intersections routières concernées et un nombre significatif de prostituées ont quitté les secteurs visés par l'arrêté.
Il ne s'agit évidemment pas de résoudre le problème de la mendicité et celui de la prostitution à Mulhouse.
Il ne s'agit évidemment pas de résoudre le problème de la mendicité et celui de la prostitution mais de fournir une base juridique permettant à la police de juguler certains excès.
Il ne s'agit évidemment pas de résoudre le problème de la mendicité et celui de la prostitution mais de fournir une base juridique permettant à la police de juguler certains excès..., ajoute le maire.
« Il ne s'agit évidemment pas de résoudre le problème de la mendicité et celui de la prostitution à Mulhouse mais de fournir une base juridique permettant à la police de juguler certains excès... », ajoute le maire.
"à multan , la ville natale de gilani , un émeutier s' en est déjà pris à des bureaux du gouvernement et à des banques pour protester contre les coupures d' électricité ."
" à Multan , des émeutiers s' en sont déjà pris à des bureaux du gouvernement et à des banques pour protester contre les coupures d' électricité ."
" à multan , des émeutiers s' en sont déjà pris à des bureaux du gouvernement et à des banques pour protester contre les coupures d' électricité ."
"à multan , la ville natale de gilani , des émeutiers s' en sont déjà pris à des bureaux du gouvernement et à des banques pour protester contre les coupures d' électricité ."
Ce n'est que cela, et les grands débats gauchistes sont à côté de la plaque.
« Ce n'est que cela - et les grands débats gauchistes sont à côté de la plaque. Notre démarche répressive est pragmatique, fine, partenariale, adaptative. Dans certains secteurs, ce n'était plus vivable... » 
L'action sociale est une chose, la qualité de vie des citadins est une autre chose, estime donc le maire.
L'action sociale est une chose, la qualité de vie des citadins est une autre chose estime donc le maire.
Il en est un autre.
L'action sociale est une chose, la qualité de vie des citadins en est une autre, estime donc le maire.
C'était doux comme une fête.
Si c'est ça la justice, comment voulez-vous continuer à croire en elle ?
« Si c'est ça la justice, comment voulez-vous continuer à croire en elle ? » s'indignait hier soir le représentant CFDT Hacuitex (habillement, cuir, textile) des salariés licenciés de l'usine Blanchin Tricot France de Colmar, fermée il y a un an à l'issue d'une procédure de liquidation judiciaire.
On se souvient que l'usine colmarienne avait été rachetée en mai 1999 par le groupe belge Concordia, en même temps que tout le groupe savoyard Jeanne Blanchin, auquel elle appartenait.
Mais les turbulences qu'elle connaissait depuis sept ans (240 salariés en 1992, 47 salariés en 1999) ne se sont pas calmées et de nouveaux licenciements (19 licenciments secs, plus trois préretraites FNE) étaient prononcés fin avril 2000.
Mais les turbulences qu'elle connaissait depuis sept ans (240 salariés en 1992, 47 en 1999) ne se sont pas calmées et de nouveaux licenciements (19 secs, plus trois préretraites FNE) étaient prononcés fin avril 2000.
Mais dès octobre 2001, la liquidation était prononcée et les 24 derniers salariés licenciés.
C'est pour non respect de cet accord que ces derniers ont introduit, fin 2001, un recours devant le conseil des Prud'hommes. 
Ils demandaient pour chacun une indemnité correspondant aux six mois de salaire non perçus à cause de la fermeture « anticipée » de l'usine.
Le jugement « estime non fondé notre recours et nous déboute de l'intégralité de notre demande » explique l'ancien secrétaire du comité d'entreprise de Tricot France et représentant des salariés.
24 salariés jetés à la rue comme des vieux chiffons.
24 salariés jetés à la rue.
24 salariés jetés à la rue ce n'est pas un préjudice.
Si 24 salariés jetés à la rue ce n'est pas un préjudice, alors je ne comprends plus rien.
Si 24 salariés jetés à la rue comme des vieux chiffons ce n'est pas un préjudice, alors je ne comprends plus rien.
Quatre seulement ont retrouvé un emploi.
Il précise que quatre seulement ont retrouvé un emploi.
Quatre seulement d'entre eux ont retrouvé un emploi.
Il précise que quatre seulement d'entre eux ont retrouvé un emploi.
« Il considère qu'il n'y a pas de préjudice établi. Si 24 salariés jetés à la rue comme des vieux chiffons ce n'est pas un préjudice, alors je ne comprends plus rien », s'indigne le syndicaliste, qui précise que quatre seulement d'entre eux ont retrouvé un emploi.
Pour estimer qu'il n'y a pas eu rupture d'accord, le tribunal s'appuie sur le fait que ce dernier aurait contenu une clause qui le conditionnait « aux conditions du marché et aux possibilités de poursuite de l'activité. Il a été question d'un fax en ce sens envoyé par le p.-d.g., à l'époque. Nous n'avons pas la moindre trace d'une telle clause », affirme le représentant des anciens salariés. 
Par son jugement, le tribunal des Prud'hommes condamne également les 24 demandeurs à verser au total 7 200 euros au liquidateur judiciaire au titre des frais de procédure.
Troisième syndicat du groupe Electricité de Strasbourg (23 % des voix lors de la dernière élection de représentativité), FO dénonce vigoureusement la volonté d'EDF de se défaire de la filiale Est-Videocommunication.
Troisième syndicat du groupe Electricité de Strasbourg (23 % des voix lors de la dernière élection de représentativité), FO dénonce vigoureusement la volonté d'EDF, actionnaire majoritaire d'EdS, de se défaire de la filiale Est-Videocommunication.
Rappelant que l'ensemble du personnel strasbourgeois avait, en 1998, adhéré à « ce formidable projet industriel qui consistait à doter notre groupe d'une filiale spécialisée dans la réalisation de réseaux câblés », le syndicat constate que le discours de l'époque n'est plus tenu par les dirigeants actuels et par l'actionnaire majoritaire, qui jugent que « le degré d'utilité publique de la filiale n'est plus un atout mais une contrainte ».
Aujourd'hui Est-Videocommunication est une société commerciale comme une autre.
Seule compte sa valeur marchande.
Il a tout à prouver.
Il a tout à prouver pour s'affirmer comme une alternative incontournable à notre filiale.
« Aujourd'hui Est-Videocommunication est une société commerciale comme une autre ; seule compte sa valeur marchande », explique FO, qui prend acte de l'existence d'un repreneur, Altice mais note qu'il est inconnu dans ce secteur d'activités et qu'il a « tout à prouver pour s'affirmer comme une alternative incontournable à notre filiale ».
De fait « nos dirigeants veulent vendre même si Electricité de Strasbourg doit accuser une moins-value importante dans ses comptes », une attitude que FO assimile à une trahison et qui annonce sans doute l'annonce prochaine de l'existence d'«emplois inutiles ».
Il s'agit d'une décision attendue de la Cour de cassation dans une affaire concernant des étrangers en situation irrégulière.
Mais une décision attendue de la Cour de cassation dans une affaire concernant des étrangers en situation irrégulière a précipité son application.
Les nouvelles règles, et notamment le renforcement de la présence de l'avocat, s'appliquent également au cas d'étrangers placés en garde à vue.
L'assemblée plénière de la plus haute juridiction devait dire si les nouvelles règles, et notamment le renforcement de la présence de l'avocat, s'appliquaient également au cas d'étrangers placés en garde à vue.
L'assemblée plénière de la plus haute juridiction devait dire si les nouvelles règles, et notamment le renforcement de la présence de l'avocat, s'appliquaient également au cas d'étrangers placés en garde à vue avant d'être mis en rétention administrative.
Elle a répondu à cette question par l'affirmative dans les quatre dossiers qui lui étaient soumis vendredi, et a décidé qu'il n'y avait pas de raison de différer la mise en vigueur de ce nouveau dispositif.
"La plus haute formation de la Cour de cassation (...) a décidé une application immédiate" des droits de la défense garantis par la Convention européenne des droits de l'homme, écrit la Cour de cassation dans un communiqué.
La chancellerie a immédiatement demandé aux parquets d'appliquer la réforme "sans délai" et promet qu'elle "mettra tout en œuvre pour assurer la meilleure sécurité juridique possible".
Les gardés à vue peuvent demander à être assistés d'un avocat dès maintenant.
Sur le terrain, dans les commissariats et les gendarmeries, cela signifie que les gardés à vue peuvent dès maintenant demander à être assistés d'un avocat lors de tous leurs interrogatoires et mettre en œuvre leur droit au silence.
Alsace BioValley organise, à l'occasion de la Fête de la Science, un débat intitulé « Les nouvelles thérapies : promesses et limites », animé par Lionel Augier.
Des chercheurs, des médecins et des éthiciens (dont les deux interviewés de cette page, ainsi que le Dr Serge Braun, le Dr Elie Botbol et le Pr Jean-François Collange) répondront aux questions du public sur les enjeux éthiques et scientifiques de la médecine du futur.
Le débat se déroulera dans le cadre des conférences Erasme en partenariat avec le journal L'Alsace, le Crédit Mutuel, la Société Industrielle de Mulhouse et l'Université de haute-Alsace.
Le débat se déroulera jeudi 17 octobre à Mulhouse, dans le cadre des conférences Erasme en partenariat avec le journal L'Alsace, le Crédit Mutuel, la Société Industrielle de Mulhouse et l'Université de haute-Alsace.
Le débat se déroulera jeudi 17 octobre à Mulhouse, dans le cadre des conférences Erasme en partenariat avec le journal L'Alsace, le Crédit Mutuel, la Société Industrielle de Mulhouse et l'Université de haute-Alsace, à 18 h 30 à l'amphithéâtre Weiss, 3 rue des frères Lumière à l'UHA.
Vendredi 18 octobre à Strasbourg, en partenariat avec France 3, à 19 h, à l'auditorium de France 3, place de Bordeaux.
Vendredi 18 octobre à Strasbourg, en partenariat avec France 3 à 19 h, à l'auditorium de France 3, place de Bordeaux.
Et vendredi 18 octobre à Strasbourg, en partenariat avec France 3 à 19 h, à l'auditorium de France 3, place de Bordeaux.
La société N. Schlumberger appelle à un mouvement de grève vendredi.
La société N. Schlumberger appelle à un mouvement de grève aujourd'hui vendredi.
Inquiète de la situation de l'entreprise et du chômage partiel actuellement en vigueur, l'intersyndicale CFDT, FO, CGT de la société N. Schlumberger appelle à un mouvement de grève aujourd'hui vendredi.
Inquiète de la situation de l'entreprise et du chômage partiel actuellement en vigueur, l'intersyndicale CFDT, FO, CGT de la société N. Schlumberger à Guebwiller appelle à un mouvement de grève aujourd'hui vendredi.
Le chômage partiel actuellement en vigueur doit commencer à se réduire.
Inquiète de la situation de l'entreprise et notamment du chômage partiel actuellement en vigueur, l'intersyndicale CFDT, FO, CGT de la société N. Schlumberger à Guebwiller appelle à un mouvement de grève aujourd'hui vendredi.
« 250 salariés ont signé la pétition qui demande à la direction de se mobiliser pour éviter le chômage partiel », relève un tract distribué hier, dans lequel sont formulées les revendications.
Il dit un mensonge de son père à son frère.
Un premier débrayage a eu lieu hier matin, pour faire part de ces revendications au directeur général du site.
Les organisations syndicales demandent une meilleure indemnisation du chômage partiel dès la première heure et que ces heures chômées n'aient pas d'incidence sur le 13e mois, ni sur les retraites.
Non satisfaite de la réponse de la direction, l'intersyndicale appelle à une nouvelle mobilisation, aujourd'hui vendredi, à 10 h, sur le parking de l'entreprise, à l'occasion du premier jour chômé.
Le groupe britannique d'électroménager et d'aménagement de cuisines Aga va racheter le fabricant français de matériels de boulangerie Bongard, pour 55 millions d'euros.
Le groupe britannique d'électroménager et d'aménagement de cuisines Aga, réputé pour ses cuisinières en fonte, va racheter le fabricant français de matériels de boulangerie Bongard, pour 55 millions d'euros.
Aga devient ainsi le plus important fournisseur au monde de matériels de boulangerie artisanale et industrielle.
Aga devient ainsi le plus important fournisseur au monde de matériels de boulangerie, artisanale et industrielle.
 À l'appel de l'intersyndicale (CGT, CFDT, CFTC, Sud Rail, Unsa), plus de 200 cheminots, selon les organisateurs, ont manifesté devant la direction régionale de la SNCF, hier à Strasbourg.
Ce mouvement entendait protester contre la baisse de 25 millions d'euros de la dotation pour le budget de l'équipement « ce qui va contraindre la SNCF à abandonner des pans entiers de maintenance des installations et à diminuer la vitesse de circulation des trains pour maintenir un niveau de sécurité acceptable », indiquent les syndicats qui souhaite un accroissement du personnel nécessaire à l'entretien des installations de sécurité.
L'intersyndicale a demandé une entrevue aux élus de la Région, collectivité organisatrice des transports ferroviaires, et appelle à manifester, le 26 novembre à Paris « pour la défense d'un service public de qualité ».
Les gendarmes commenceront lundi à faire passer les examens de code dans les 19 département les plus touchés par la grève des inspecteurs du permis de conduire.
Les gendarmes commenceront lundi à faire passer les examens de code dans les 19 département les plus touchés par la grève des inspecteurs du permis de conduire, le ministre des Transports devant parallèlement recevoir une délégation du syndicat FO fer de lance du mouvement.
Plus de 150.000 examens théoriques et pratiques sont en instance depuis le début de la grève des inspecteurs du permis, le 21 octobre.
Jeudi, après la décision des inspecteurs de reconduire leur mouvement malgré les dernières propositions du ministère des Transports, Gilles de Robien, ce dernier a jugé que rien ne justifiait la poursuite du mouvement engagé et décidé de solliciter la gendarmerie.
Jeudi, après la décision des inspecteurs de reconduire leur mouvement malgré les dernières propositions du ministère des Transports, Gilles de Robien, ce dernier a jugé que " rien ne justifiait la poursuite du mouvement engagé" et a décidé de solliciter la gendarmerie.
Jeudi, après la décision des inspecteurs de reconduire leur mouvement malgré les dernières propositions du ministère des Transports, Gilles de Robien, ce dernier a jugé que "plus rien ne justifiait la poursuite du mouvement engagé" et décidé de solliciter la gendarmerie.
Le ministère a confirmé vendredi qu'une vingtaine de gendarmes, qui vont suivre une formation durant le week-end, allaient être répartis dans les 19 départements les plus touchés par la grève, parmi lesquels le Haut-Rhin, la Somme, le Var, le Cantal, l'Ain et plusieurs départements d'Ile-de-France.
Le ministère a confirmé vendredi à l'AFP qu'une vingtaine de gendarmes, qui vont suivre une formation durant le week-end, allaient être répartis dans les 19 départements les plus touchés par la grève, parmi lesquels le Haut-Rhin, la Somme, le Var, le Cantal, l'Ain et plusieurs départements d'Ile-de-France.
Pour donner une "assise juridique" et habiliter les gendarmes à faire passer les épreuves du code, un arrêté a été pris conjointement par la direction de la sécurité et de la circulation routières (DSCR) et la direction générale de la gendarmerie (DGGN) sur la base d'un article du Code de la Route.
"Ce n'est pas un recours à la force ni une réquisition, mais le palliatif d'un corps d'Etat à un autre", souligne le ministère.
Le cabinet de M. de Robien recevra lundi après-midi une délégation du SNICA-FO, le syndicat majoritaire parmi les inspecteurs qui soutient la grève, pour poursuivre le dialogue, se remettre au travail, et apaiser le climat.
Le cabinet de M. de Robien recevra lundi après-midi une délégation du SNICA-FO, le syndicat majoritaire parmi les inspecteurs qui soutient la grève, "pour poursuivre le dialogue, se remettre au travail, et apaiser le climat".
"L'intervention des forces de l'ordre est une réponse disproportionnée", a écrit jeudi le SNICA-FO, soulignant que son "souci est d'être capable de sortir du conflit".
"L'intervention des forces de l'ordre est une réponse disproportionnée", a écrit jeudi le SNICA-FO au ministre, soulignant que son "souci est d'être capable de sortir du conflit".
"L'intervention des forces de l'ordre est une réponse disproportionnée", a écrit jeudi le SNICA-FO au ministre, soulignant que son "souci est bien évidemment d'être capable de sortir du conflit".
Du côté des auto-écoles, l'association Ecole de conduite française (ECF) juge que les gendarmes sont "un bonbon donné aux auto-écoles pour qu'elles arrêtent de pleurer, mais" que "ce n'est pas une solution du tout. Au point où on en est, il est indispensable d'avoir une concertation tripartite entre le ministère, les auto-écoles et les inspecteurs", a estimé Geneviève Ramuzat, porte-parole d'ECF.
Le premier syndicat chez les moniteurs approuve la fermeté du gouvernement.
Le Conseil national des professions de l'automobile (CNPA), premier syndicat chez les moniteurs approuve la fermeté du gouvernement.
Quant au Conseil national des professions de l'automobile (CNPA), premier syndicat chez les moniteurs, il approuve la fermeté du gouvernement.
Le clan des adultes se rassemble et désigne les enfants en âge de devenir des guerriers.
Le clan des adultes se rassemble et désigne les enfants en âge de devenir guerriers.
Il faut apporter la preuve de son courage et seul affronter le lion.
Sous un soleil de plomb, marcher, franchir les ravins, contourner les collines, se sentir rocher, forcément, herbe bien sûr, vent certainement, eau , très peu.
Au village, les hommes, son père, tous l'attendaient.
Soit tu me tues sans gloire et tu passes pour un homme aux yeux de tes frères, soit tu me laisse la vie sauve et à tes propres yeux tu sors grandi, mais banni, tu le seras par tes pairs.
Tu passes pour un homme aux yeux de tes frères.
Tu passes pour un homme aux yeux de tes frères et tu me laisse la vie sauve.
Le jour comme la nuit, épier, scruter : oublier la peur qui serre le ventre, qui transfigure les ombres, rend les plantes griffues et le vent rugissant.
Attendre des heures et puis soudain...
Attendre des heures et soudain...
Attendre des heures et puis...
Attendre des heures...
S'armer de courage et se lancer pour combattre.
L'intervention de la gendarmerie est le seul moyen réaliste de répondre à l'attente des candidats et des écoles de conduite pour sortir le conflit de l'impasse.
Quant au Conseil national des professions de l'automobile (CNPA), premier syndicat chez les moniteurs, il "approuve la fermeté du gouvernement" et estime que l'intervention de la gendarmerie est "le seul moyen réaliste de répondre à l'attente des candidats et des écoles de conduite pour sortir le conflit de l'impasse".
Le syndicat CFDT des inspecteurs du permis, minoritaire et non-gréviste, s'est pour sa part proposé de faire passer code et conduite.
Le syndicat CFDT des inspecteurs du permis, minoritaire et non-gréviste, s'est pour sa part proposé de faire passer code et conduite pour permettre de rattraper le retard.
Le syndicat CFDT des inspecteurs du permis, minoritaire et non-gréviste, s'est pour sa part proposé de faire passer code et conduite le samedi pour permettre de rattraper le retard.
Le syndicat CFDT des inspecteurs du permis, minoritaire et non-gréviste, s'est pour sa part proposé de faire passer code et conduite le samedi "pour permettre de rattraper le retard".
Brit Air, groupe Air France, a demandé à bénéficier d'avantages "équivalents" à ceux accordés à la compagnie irlandaise low cost Ryanair installée à Strasbourg depuis fin octobre.
Ryanair, qui assure depuis le 31 octobre deux rotations quotidiennes entre Strasbourg et Londres, aurait obtenu des subventions de la chambre de commerce et d'industrie (CCI) de Strasbourg.
Un précieux squelette de bébé néandertalien mis au jour en 1914, a été retrouvé au Musée.  
Un précieux squelette de bébé néandertalien mis au jour en 1914 au Moustier, a été retrouvé au Musée.
Un précieux squelette de bébé néandertalien mis au jour en 1914 au Moustier, en Dordogne, et « oublié » depuis cette date dans un tiroir, a été retrouvé au Musée national de préhistoire des Eyzies-de-Tayac-Sireuil, révèle dans la revue Nature, aujourd'hui, un anthropologue français.
Ce fossile de bébé mort il y a quelque 40.000 ans est extraordinairement complet : il ne lui manque que les omoplates et le pelvis, précise l'auteur de la redécouverte, Bruno Maureille, du Laboratoire d'anthropologie des populations du passé de l'Université de Bordeaux à Talence.
Ce fossile de bébé mort il y a quelque 40.000 ans, à l'âge de quatre mois au plus, est extraordinairement complet : il ne lui manque que les omoplates et le pelvis, précise l'auteur de la redécouverte, Bruno Maureille, du Laboratoire d'anthropologie des populations du passé de l'Université de Bordeaux à Talence.
Ce squelette, « Le Moustier 2 » , a été trouvé en 1914 par un instituteur périgourdin passionné de préhistoire, Denis Peyrony (1869-1954).
Ce squelette, « Le Moustier 2 » , a été trouvé en 1914 par un instituteur périgourdin passionné de préhistoire, Denis Peyrony (1869-1954), qui a rassemblé à cette époque une riche moisson d'objets « antédiluviens » , appelés à servir de base aux collections du Musée aménagé dans les ruines du château des Eyzies.
"La plus haute formation de la Cour de cassation (...) a décidé une application immédiate des droits de la défense garantis par la Convention européenne des droits de l'homme" , écrit la Cour de cassation dans un communiqué.