Le comité d'entreprise extraordinaire débuté lundi matin s'est terminé hier vers 12 h 30.
Le comité d'entreprise extraordinaire débuté lundi matin à 8 h 30 s'est terminé hier vers 12 h 30.
Le comité d'entreprise extraordinaire débuté lundi matin à 8 h 30 s'est terminé hier vers 12 h 30, après une suspension de séance lundi soir. 
La direction a accepté un délai de quatre semaines pour laisser le temps à l'expert mandaté par le CE de formuler son analyse.
Prochaine réunion d'explications fin novembre.
Prochaine réunion d'explications fin novembre, avec cette fois, les modalités pratiques du plan social.
Que le plan social annoncé le 15 octobre dernier permette un redémarage de l'activité est une évidence.
Le plan social annoncé le 15 octobre dernier permet un redémarage de l'activité.
Le plan social annoncé le 15 octobre dernier doit permettre un redémarage de l'activité.
Une journée de réunion n'aura pas suffi au comité d'entreprise de GE energy Products Europe de consulter le livre IV du plan social annoncé le 15 octobre dernier.
La direction s'est attachée à éclairer chacune des 100 pages de ce livre IV, notamment sur les raisons économiques et ses impacts sur l'emploi.
La direction n'a pas seulement parlé de la réduction du personnel, mais aussi du projet industriel, « ce qui explique le temps passé au comité d'entreprise » affirme Didier Forget, Pdg de GEEPE.
Nous avons accepté un délai de quatre semaines au lieu de deux, comme le prévoit la loi.
Nous avons accepté un délai de quatre semaines au lieu de deux, comme le prévoit la loi, afin que l'expert puisse formuler son analyse.
Pour le secrétaire du CE, François Costa, « la direction compte restreindre encore les responsabilités et le savoir-faire technique de Belfort/Bourogne en transférant vers les Etats-Unis des activités d'études, de support commercial, de qualification de fournisseurs et d'achats. »
Bagarre de chiffres     Pour le secrétaire du CE, François Costa, « la direction compte restreindre encore les responsabilités et le savoir-faire technique de Belfort/Bourogne en transférant vers les Etats-Unis des activités d'études, de support commercial, de qualification de fournisseurs et d'achats. »
Aujourd'hui et depuis 1999, le département "sercices" basé à Bourogne serait réduit à 38 personnes.
Hier, aujourd'hui et depuis 1999, le département "sercices" basé à Bourogne serait réduit à 38 personnes.
Il ajoute : hier, aujourd'hui et depuis 1999, le département "sercices" basé à Bourogne serait réduit à 38 personnes.
Il ajoute : depuis 1999, le département "sercices" basé à Bourogne serait réduit à 38 personnes.
Depuis 1999, le département "sercices" basé à Bourogne qui comptait alors plus de 200 salariés serait réduit à 38 personnes.
François Costa poursuit en ce qui concerne le site de Bourogne : « Depuis 1999, le département "sercices" basé à Bourogne qui comptait alors plus de 200 salariés et qui a déjà subi des réorganisations successives qui ont porté son effectif à 80 personnes, serait réduit à 38 personnes, ce qui signifie à court terme la mort pure et simple de cette activité. »
Depuis 1999, le département "sercices" basé à Bourogne qui comptait alors plus de 200 salariés et qui a déjà subi une réorganisations successives qui ont porté son effectif à 80 personnes, serait réduit à 38 personnes, ce qui signifie à court terme la mort pure et simple de cette activité.
Les voitures sont importées des usines NISSAN en Europe.
Pour sa part, le secrétaire du CE ne comprend pas comment la direction qui veut rapatrier l'assemblage de la 6B d'Essen à Belfort, et introduire deux nouvelles machines, la 6C et la 9 FB, compte se débarrasser d'un nombre important de salariés dont les compétences sont nécessaires pour industrialiser ces nouvelles productions.
Didier Forget reste attaché à ce que les mesures sociales à proposer aux salariés soient connues le plus vite possible.
Didier Forget reste attaché à ce que les mesures sociales à proposer aux salariés soient connues le plus vite possible, sans pour autant brûler les étapes.
Didier Forget explique que la procédure légale suivra son cours mais reste attaché à ce que les mesures sociales à proposer aux salariés soient connues le plus vite possible, sans pour autant brûler les étapes.
Par ailleurs affirme François Costa : « la direction a fait état de 17 personnes dont les services seraient externalisés (notices, centre de documentation, hôtesses d'accueil)».
Par ailleurs affirme François Costa : « la direction a fait état de 17 personnes dont les services seraient externalisés (notices, centre de documentation, hôtesses d'accueil)»     Procédures légales     Didier Forget explique que la procédure légale suivra son cours mais reste attaché à ce que les mesures sociales à proposer aux salariés soient connues le plus vite possible, sans pour autant brûler les étapes.
Le Pdg a rappelé qu'aucune précision sur les modalités pratiques du plan social ne seront révélées avant la réunion fin novembre.
Rue de Grenelle, les deux ministres d'alors, Jack Lang et Jean-Luc Mélenchon avaient obtenu que l'Education soit une priorité nationale sur le plan budgétaire, et engagé un plan pluriannuel de recrutement d'enseignants pour faire face aux départs en retraite massifs.
« Néanmoins, cela ne nous empêche pas d'examiner avec les syndicats les départs en retraite, ou en préretraite, ou une demande de temps partiel avec deux salariés sur un poste par exemple » .
« Néanmoins, cela ne nous empêche pas d'examiner avec les syndicats les départs en retraite, ou en préretraite, ou des demandes de temps partiel avec deux salariés sur un poste par exemple » .
Néanmoins, cela ne nous empêche pas d'examiner avec les syndicats les départs en retraite, ou en préretraite.
« Néanmoins, cela ne nous empêche pas d'examiner avec les syndicats les départs en retraite, ou en préretraite, ou des demandes de temps partiel, avec deux salariés sur un poste par exemple, ou de permettre d'encadrer des départs de l'entreprise sur la base du volontariat » souligne Didier Forget.
Autre proposition, offrir une promotion cadre à certains techniciens pour passer ingénieurs, en sachant que les ingénieurs ne sont pas touchés par le plan social.
Autre proposition, offrir une promotion cadre à certains techniciens pour passer ingénieurs.
Autre proposition, offrir une promotion cadre à certains techniciens pour passer ingénieurs, sachant que les ingénieurs ne sont pas touchés par le plan social.
Je parle aux deux personnes présentes.
Je parle aux deux.
Les 294 sont prets.
Les 294 annoncés la semaine dernière sont prets.
En effet depuis le 1er janvier 2002, ce ne sont pas moins de 63 emplois qui ont "disparu" et qui viennent s'ajouter aux 294 annoncés la semaine dernière.
Didier Costa explique « ce ne sont pas 294 emplois que la direction veut supprimer, mais bien 357. »
Didier Costa, le secrétaire du CE explique « ce ne sont pas 294 emplois que la direction veut supprimer, mais bien 357. »
Il n'est pas premier, mais deuxième.
Il n'est pas le premier, mais le deuxième.
Ce ne sont pas 294 emplois que la direction veut supprimer, mais bien 357.
63 emplois ont disparu     Didier Costa, le secrétaire du CE n'est pas d'accord sur les chiffres avancés par la direction et explique « ce ne sont pas 294 emplois que la direction veut supprimer, mais bien 357. »
63 emplois ont disparu     Didier Costa, le secrétaire du CE n'est pas d'accord sur les chiffres avancés par la direction et explique « ce ne sont pas 294 emplois que la direction veut supprimer, mais bien 357. En effet depuis le 1er janvier 2002, ce ne sont pas moins de 63 emplois qui ont "disparu" et qui viennent s'ajouter aux 294 annoncés la semaine dernière. »
Prochain rendez-vous fin novembre.
Un conseil, que chacun prenne sa calculette.
Prochain rendez-vous fin novembre, et un conseil, que chacun prenne sa calculette.
(Grève Fiat au § 8 et précisions grèves avril aux § 9 et 10)  ROME, 18 octobre (Reuters).
Précisions grève avril aux § 9 et 10.
(Grève Fiat au § 8 et précisions grèves avril aux § 9 et 10)  par Lucie Baker  ROME, 18 octobre (Reuters).
La plus grande centrale syndicale italienne, la CGIL, a déclenché vendredi une grève générale d'une journée pour dénoncer la politique économique du gouvernement.
Actualisé avec perturbations transports aux § 2, 3 et 5.
Par Cécile Azzaro  CARNAC (Morbihan), 5 sept (AFP) - La "libération" des menhirs de Carnac par un collectif d'associations bretonnes, qui occupent depuis 12 jours le site et dénoncent un projet touristique autour des célèbres alignements, provoque la satisfaction des touristes mais surtout la colère du responsable du site, qui y voit "une catastrophe" pour la restauration des mégalithes.
(Actualisé avec perturbations transports aux § 2,3 et 5; grève Fiat au § 8 et précisions grèves avril aux § 9 et 10)  par Lucie Baker  ROME, 18 octobre (Reuters) - La plus grande centrale syndicale italienne, la CGIL, a déclenché vendredi une grève générale d'une journée pour dénoncer la politique économique du gouvernement.
La crise donne plus de relief .
La crise donne plus de relief à ce mouvement social, qui perturbe notamment les transports aériens et ferroviaires.
La crise donne plus de relief encore à ce mouvement social, qui perturbe notamment les transports aériens et ferroviaires.
* La crise qui touche le constructeur automobile donne plus de relief encore à ce mouvement social, qui perturbe notamment les transports aériens et ferroviaires.
* La crise qui touche le constructeur automobile Fiat donne plus de relief encore à ce mouvement social, qui perturbe notamment les transports aériens et ferroviaires.
La compagnie italienne Alitalia a annulé ou retardé plus de la moitié de ses 600 vols prévus ce vendredi.
* De nombreux voyageurs ont ainsi été bloqués dans les aéroports car la compagnie italienne Alitalia a annulé ou retardé plus de la moitié de ses 600 vols prévus ce vendredi et les compagnies étrangères ont été contraintes de modifier ou d'annuler les escales de leurs avions en Italie.
* De nombreux voyageurs ont ainsi été bloqués dans les aéroports car la compagnie italienne Alitalia a annulé ou retardé plus de la moitié de ses 600 vols prévus ce vendredi et que les compagnies étrangères ont été contraintes de modifier ou d'annuler les escales de leurs avions en Italie.
Les deux autres grandes maisons syndicales de la péninsule n'ont pas suivi la CGIL dans l'appel à la grève.
Les deux autres centrales syndicales de la péninsule n'ont pas suivi la CGIL dans l'appel à la grève.
Les deux autres grandes centrales syndicales de la péninsule n'ont pas suivi la CGIL dans l'appel à la grève.
* Cette grève de huit heures a également entraîné des perturbations dans les transports publics sans pour autant paralyser le pays dans la mesure où les deux autres grandes centrales syndicales de la péninsule n'ont pas suivi la CGIL dans l'appel à la grève.
Fiat compte supprimer 8.100 emplois, à elle seule.
Fiat compte, à elle seule, supprimer 8.100 emplois.
Fiat compte à elle seule supprimer 8.100 emplois.
Fiat, à elle seule, compte supprimer 8.100 emplois.
À elle seule Fiat compte supprimer 8.100 emplois.
Fiat à elle seule compte supprimer 8.100 emplois.
Ces dernières semaines, les compagnies italiennes ont annoncé plus de 20.000 licenciements, Fiat à elle seule comptant supprimer 8.100 emplois, soit 20% de ses effectifs italiens.
* Un millier d'ouvriers d'une usine Fiat de Sicile se sont rendus jeudi à Rome pour protester contre le plan social, mais ils ont été empêchés par la police de marcher sur le siège du gouvernement.
Les trois plus gros syndicats du secteur de la métallurgie ont annoncé jeudi une grève d'un jour le 10 novembre contre les licenciements, en accord avec le comité.
Les trois plus gros syndicats du secteur de la métallurgie ont annoncé jeudi une grève d'un jour le 10 novembre contre les licenciements chez Fiat.
* Il s'agit de la deuxième grêve générale en six mois.
Une journée d'action en avril a été soutenue par les centrales syndicales.
Une journée d'action en avril a été soutenue par les trois centrales syndicales.
Une journée d'action en avril a été soutenue par les trois principales centrales syndicales.
Une journée d'action en avril, soutenue par les trois principales centrales syndicales.
Une journée d'action en avril, soutenue par les trois principales centrales syndicales, avait entraîné l'arrêt du travail de 13 millions de personnes.
Mais Berlusconi avait par la suite conclu un accord avec les deux centrales syndicales.
Mais Berlusconi avait par la suite conclu un accord avec les deux centrales syndicales ne participant pas ce vendredi à la grève.
Mais Berlusconi avait par la suite conclu un accord avec les deux centrales syndicales ne participant pas à la grève pour assouplir la loi qu'il comptait faire voter.
Mais Berlusconi avait par la suite conclu un accord avec les deux centrales syndicales ne participant pas ce vendredi à la grève pour assouplir la loi qu'il comptait faire voter.
* Mais Berlusconi avait par la suite conclu un accord avec les deux centrales syndicales ne participant pas ce vendredi à la grève pour assouplir la loi qu'il comptait faire voter - facilitant notamment les licenciements.
Mais Berlusconi avait par la suite conclu un accord avec les deux centrales syndicales ne participant pas ce vendredi à la grève pour assouplir la loi qu'il comptait faire voter facilitant notamment les licenciements.
MOSCOU, 19 août (AFP) - L'ONU n'aura bientôt plus d'aide alimentaire à distribuer aux réfugiés tchétchènes, dont la situation se détériore chaque jour, a averti mardi à Moscou un responsable de l'organisation internationale.
"Le Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations unies n'aura plus rien à distribuer à partir de janvier prochain. La situation des personnes déplacées dans les camps se détériore chaque jour", a déclaré Bhim Udas, le coordinateur du PAM pour la Russie, lors d'une conférence de presse.
Les Nations unies ont lancé un appel aux donateurs internationaux afin de recueillir 33,7 millions de dollars pour fournir de l'aide alimentaire et humanitaire aux déplacés qui se trouvent en Tchétchénie et dans la république voisine d'Ingouchie.
Les Nations unies ont lancé un appel aux donateurs internationaux afin de recueillir 33,7 millions de dollars pour fournir de l'aide alimentaire et humanitaire aux déplacés qui se trouvent en Tchétchénie et dans la république voisine d'Ingouchie, en 2003.
D'une manière générale, les ONG ont nettement réduit l'aide distribuée aux déplacés, en particulier en Ingouchie, depuis le début du conflit russo-tchétchène il y a trois ans.
Un responsable du Haut Commissariat pour les Réfugiés de l'ONU (UNHCR), Jozsef Gyorke, s'est également inquiété de la situation dans les camps de réfugiés d'Ingouchie qui accueillent 20.000 à 25.000 personnes et dont la surveillance par les forces de l'ordre a été nettement renforcée depuis la prise d'otages de Moscou par un commando tchétchène en octobre dernier.
Le moral des personnes déplacées se dégrade de jour en jour.
"Le moral des personnes déplacées se dégrade de jour en jour et cette situation est encore aggravée par la présence de militaires (russes) autour des camps", a déclaré le responsable de l'UNHCR.
Une autre responsable de l'ONU, Rosemary McCreery, a rejeté les accusations de Moscou selon lesquelles les camps de réfugiés serviraient de centres de recrutement pour les "terroristes".
"Il n'y a aucune preuve pour étayer ces accusations", a-t-elle commenté, tout en reconnaissant que "vivre longtemps dans des conditions difficiles pouvait conduire les réfugiés à se poser certaines questions".
En raison du souhait de Moscou de fermer les camps à la fin de l'année, M. Gyorke a également souligné que les autorités étaient réticentes au remplacement des tentes abîmées dans les camps d'Ingouchie.
En raison du souhait de Moscou de fermer les camps à la fin de l'année, M. Gyorke a également souligné que les autorités étaient "réticentes au remplacement des tentes abîmées" dans les camps d'Ingouchie.
De nombreuses ONG ont dénoncé ces derniers mois les pressions exercées sur les réfugiés pour qu'ils quittent les camps avant l'hiver.
Quelque 250.000 personnes ont été déplacées à la suite du dernier conflit russo-tchétchène, véritablement 140.000  à l'intérieur de la Tchétchénie et 110.000 en Ingouchie, selon les chiffres de l'ONU.
Quelque 250.000 personnes ont été déplacées à la suite du dernier conflit russo-tchétchène, environ 140.000  à l'intérieur de la Tchétchénie et 110.000 en Ingouchie, selon les chiffres de l'ONU.
Quelque 250.000 personnes ont été déplacées, 140.000 à l'intérieur de la Tchétchénie et 110.000 en Ingouchie.
Quelque 250.000 personnes ont été déplacées à la suite du dernier conflit russo-tchétchène, 140.000 à l'intérieur de la Tchétchénie et 110.000 en Ingouchie.
Quelque 250.000 personnes ont été déplacées à la suite du dernier conflit russo-tchétchène, 140.000 environ à l'intérieur de la Tchétchénie et 110.000 en Ingouchie, selon les chiffres de l'ONU.
Le marché de l'emploi dans le bassin colmarien se porte moins mal qu'ailleurs.
Si le marché de l'emploi dans le bassin colmarien se porte moins mal qu'ailleurs au niveau de l'offre, le nombre de demandeurs a en revanche grimpé de 40 % en un an.
Le bassin d'emploi semble mieux qu' ailleurs.
Le bassin d'emploi semble mieux résister.
Le bassin d'emploi semble mieux résister qu'ailleurs.
Près de 80 communes seront présentes.
Selon le dernier baromètre ANPE, à la fin juillet 2002, le nombre d'offres confiées à l'agence colmarienne (6121 depuis le début de l'année) reste en légère hausse, + 0,4 % en évolution annuelle.
Selon le dernier baromètre ANPE, à la fin juillet 2002, le nombre d'offres ( 6121 ) reste en légère hausse.
Selon le dernier baromètre ANPE, à la fin juillet 2002, le nombre d'offres confiées à l'agence colmarienne ( 6121 ) reste en légère hausse.
Selon le dernier baromètre ANPE, à la fin juillet 2002, le nombre d'offres confiées à l'agence colmarienne reste en légère hausse.
Selon le dernier baromètre ANPE, à la fin juillet 2002, le nombre d'offres confiées à l'agence colmarienne (6121 depuis le début de l'année) reste en légère hausse, + 0,4 % en évolution annuelle, alors qu'au niveau de l'ensemble de l'Alsace, les offres ont baissé de près de 5 % dans le même temps.
Du côté de l'offre, le bassin d'emploi de Colmar (90 communes, près de 87 000 actifs) semble mieux résister qu'ailleurs : selon le dernier baromètre ANPE, à la fin juillet 2002, le nombre d'offres confiées à l'agence colmarienne (6121 depuis le début de l'année) reste en légère hausse, + 0,4 % en évolution annuelle, alors qu'au niveau de l'ensemble de l'Alsace, les offres ont baissé de près de 5 % dans le même temps.
Le BTP aussi, mais un peu moins.
Mais si l'offre résiste, le marché de l'emploi dans la région colmarienne accuse le coup côté demande, même s'il n'y a pas eu de vague de licenciements ces derniers mois.
Mais si l'offre résiste, le marché de l'emploi dans la région colmarienne accuse le coup côté demande, même s'il n'y a pas eu de grande vague de licenciements ces derniers mois.
En moyenne régionale, la hausse n'est « que » (si l'on ose dire) de 31,3 %.
Mais si l'offre résiste, le marché de l'emploi dans la région colmarienne accuse le coup côté demande, même s'il n'y a pas eu de grande vague de licenciements ces derniers mois : le nombre de chômeurs inscrits à l'ANPE a progressé de presque 40 % en un an (39,8 % précisément), alors qu'en moyenne régionale, la hausse n'est « que » (si l'on ose dire) de 31,3 %.
Ainsi, l'ANPE de Colmar recense actuellement plus de 4000 demandeurs d'emploi (4050 à la fin juin) contre 2900.
Ainsi, l'ANPE de Colmar recense actuellement plus de 4000 demandeurs d'emploi (4050 à la fin juin) contre 2900, soit une hausse de 1150 chômeurs.
Ainsi, l'ANPE de Colmar recense actuellement plus de 4000 demandeurs d'emploi (4050 à la fin juin) contre quelque 2900, soit une hausse de 1150 chômeurs.
Ainsi, l'ANPE de Colmar recense actuellement plus de 4000 demandeurs d'emploi (4050 à la fin juin) contre quelque 2900 un an auparavant, soit une hausse de 1150 chômeurs.
« Il y a toujours un grand écart entre les qualifications demandées par les employeurs et celles des demandeurs », analyse Raymond Neff.
Jeunes demandeurs : + 62,7 %     Le marché de l'emploi s'est tout particulièrement dégradé pour les jeunes : le nombre de demandeurs âgés de moins de 25 ans a augmenté de 62,7 % en un an, pour atteindre 719.
Il permet aux entreprises d'embaucher des jeunes de 16 à 22 ans n'ayant pas le bac, en bénéficiant d'exonérations de charges pendant trois ans.
Le directeur de l'ANPE de Colmar voit dans le nouveau contrat mis en place par le gouvernement une lueur d'espoir.
Le directeur de l'ANPE de Colmar voit dans le nouveau contrat jeunes mis en place par le gouvernement une lueur d'espoir.
Le directeur de l'ANPE de Colmar voit dans le nouveau contrat jeunes mis en place par le gouvernement une lueur d'espoir : « Il permet aux entreprises d'embaucher des jeunes de 16 à 22 ans n'ayant pas le bac, en bénéficiant d'exonérations de charges pendant trois ans. Cette mesure sera une bouffée d'oxygène pour les jeunes les moins qualifiés ».
Le nombre de demandeurs au chômage depuis plus d'un an (772) a augmenté de 24,1 %.
Le nombre de demandeurs âgés de plus de 50 ans (620) est en hausse de 30 %.
Le nombre de femmes ( 1920 ou 2000 ) a progressé de 27,6 %.
Le nombre de femmes (1929, soit 47,6 % du total) a progressé de 27,6 %.
Le nombre de cadres inscrits à l'ANPE de Colmar (307 personnes fin juin) a augmenté de 37,7 % en un an ; le nombre de femmes (1929, soit 47,6 % du total) a progressé de 27,6 % ; le nombre de demandeurs âgés de plus de 50 ans (620) est en hausse de 30 % ; le nombre de demandeurs au chômage depuis plus d'un an (772) a augmenté de 24,1 %.
Seul motif d'optimisme : le nombre de chômeurs de très longue durée (plus de deux ans) a diminué de 15 % entre juin 2001 et juin 2002, ainsi ramené à 192 demandeurs.
Le dispositif permet à l'ANPE de mettre en place avec le demandeur de véritables parcours d'insertion, avec un suivi régulier, des engagements de part et d'autre, des aides accrues à l'orientation, à la recherche d'emploi, à la formation...
Le dispositif permet à l'ANPE de mettre en place avec le demandeur de véritables parcours d'insertion, avec un suivi régulier, des engagements de part et d'autre, des aides accrues à l'orientation, à la recherche d'emploi, et à la formation...
La hausse du nombre de demandeurs a induit une charge de travail accrue pour l'agence, relève enfin le directeur.
Le Pare, comme la hausse du nombre de demandeurs, a induit une charge de travail largement accrue pour l'agence, relève enfin le directeur.
Le Pare, comme la hausse du nombre de demandeurs, a induit une charge de travail largement accrue pour l'agence, relève enfin le directeur : « Les flux de visiteurs ont considérablement augmenté. Cet été par exemple, on a fonctionné avec six guichets ouverts contre deux en juillet-août 2001 ».
Une oeuvre de Jean-Baptiste Corot estimée à plus de 380 000 euros, exposée au musée des Beaux-Arts de Strasbourg, va être offerte à la Ville par la Société des amis des arts et des musées de Strasbourg.
« Vue prise à la ville d'Avray, effet du soir », une toile de 47 cm sur 65, avait été achetée par la Société des amis des arts en 1863, du vivant du peintre (1796-1875).
Le tableau avait ensuite été laissé en dépôt en 1899 au musée des Beaux-Arts de Strasbourg, où il est resté depuis, et où il conservera sa place une fois légué à la Ville.
« C'est un don assez exceptionnel, c'est un des très beaux tableaux de Corot », a estimé Fabrice Herrgott, directeur des Musées de Strasbourg, qui compte parmi ses collections 30 à 40 autres oeuvres déposées par la Société.
Le tableau, estimé par la Société des amis des musées à 2,5 millions de francs (381 122 euros), sera remis officiellement à la ville de Strasbourg lors d'une cérémonie le 5 octobre.