L'Irak a affirmé avoir tiré vendredi des missiles sol-air.
L'Irak a affirmé avoir tiré vendredi un missile sol-air et à la DCA.
L'Irak a affirmé avoir tiré vendredi un missile sol-air, à la DCA et au bazooka.
L'Irak a affirmé avoir tiré vendredi un missile sol-air, à la DCA, à la mitraillette, et au bazooka.
L'Irak a affirmé avoir tiré vendredi des missiles sol-air et à la DCA contre des chasseurs américains et britanniques qui menaient des raids sur le sud du pays.
L'Irak a affirmé avoir tiré vendredi des missiles sol-air et à la DCA contre des chasseurs américains et britanniques qui menaient des raids sur le sud du pays, les contraignant à "prendre la fuite".
Un porte-parole militaire, cité par l'agence officielle INA, a déclaré que des tirs avaient été effectués.
Un porte-parole militaire à Bagdad, cité par l'agence officielle INA, a déclaré que des tirs avaient été effectués.
Les batteries de missiles et de la DCA ont tiré contre des avions de combat ennemis qui effectuaient des raids sur le sud de l'Irak.
Les batteries de missiles et de la DCA ont tiré contre des avions de combat ennemis qui effectuaient des raids sur le sud de l'Irak, les obligeant à prendre la fuite vers leurs bases au Koweit.
"Les batteries de missiles et de la DCA ont tiré contre des avions de combat ennemis qui effectuaient des raids sur le sud de l'Irak, les obligeant à prendre la fuite vers leurs bases au Koweit", a déclaré un porte-parole militaire à Bagdad, cité par l'agence officielle INA.
Selon le porte-parole, les chasseurs américains et britanniques ont mené des raids sur onze provinces ou régions dans le sud du pays.
Les autorités irakiennes ont observé un mutisme total sur un raid massif lancé la veille.
Les autorités irakiennes ont observé un mutisme total sur un raid massif lancé la veille par des avions américains et britanniques.
Les autorités irakiennes ont observé un mutisme total sur un raid massif lancé la veille par des avions américains et britanniques, selon le quotidien britannique Daily Telegraph, contre des installations de défense aérienne.
Les autorités irakiennes ont observé un mutisme total sur un raid massif lancé la veille par des avions américains et britanniques, selon le quotidien britannique Daily Telegraph, contre des installations de défense aérienne à l'ouest de Bagdad.
Selon le Daily Telegraph, près d'une centaine d'avions ont participé jeudi à un raid contre une importante installation irakienne de défense aérienne à l'ouest de Bagdad.
Selon le Daily Telegraph, près d'une centaine d'avions ont participé jeudi à un raid contre une importante installation irakienne de défense aérienne à l'ouest de Bagdad, dans ce qui est la plus importante opération menée en Irak par les aviations américaines et britanniques depuis quatre ans.
Le raid constitue le déclenchement de l'intervention militaire américaine en Irak, que les Etats-Unis accusent de développer des armes de destruction massive.
Le raid apparaît comme le prélude à de possibles opérations des forces spéciales.
Le raid apparaît comme le prélude à de possibles opérations des forces spéciales avant le déclenchement de l'intervention militaire américaine en Irak.
Le raid apparaît comme le prélude à de possibles opérations des forces spéciales avant le déclenchement de l'intervention militaire américaine en Irak, que les Etats-Unis accusent de développer des armes de destruction massive, a estimé le journal.
Le Pentagone a minimisé vendredi l'ampleur de ce raid, soulignant qu'il avait été conduit dans des proportions normales par rapport au site qui avait tiré contre des avions américains.
Le Pentagone a minimisé vendredi l'ampleur de ce raid, soulignant qu'il avait été conduit "dans des proportions normales par rapport au site qui avait tiré contre des avions américains".
La direction d'Air France, qui exploite habituellement entre 1.600 et 1.700 vols chaque jour, a indiqué qu'elle comptait assurer dimanche et lundi environ 62% des vols long et moyen-courriers.
La direction d'Air France, qui exploite habituellement entre 1.600 et 1.700 vols chaque jour, a indiqué qu'elle comptait assurer dimanche et lundi environ 62% des vols long et moyen-courriers et 70% des court-courriers.
La direction d'Air France, qui exploite habituellement entre 1.600 et 1.700 vols chaque jour, a indiqué qu'elle comptait assurer dimanche et lundi environ 62% des vols long et moyen-courriers et 70% des court-courriers, c'est à dire comme samedi.
La direction d'Air France, qui exploite habituellement entre 1.600 et 1.700 vols chaque jour, a indiqué qu'elle comptait assurer dimanche et lundi environ 62% des vols long et moyen-courriers et 70% des court-courriers, soit comme samedi.
Les six syndicats ont décidé de faire grève après la rupture, mercredi, des négociations menées depuis plusieurs mois sur le prochain accord global pluriannuel des personnels navigants techniques (PNT), qui doit remplacer celui de juin 1998.
"Pour l'instant, il n'y a pas de reprise des négociations", dit-on dimanche à Reuters à la direction d'Air France.
"Pour l'instant, il n'y a pas de reprise des négociations", dit-on dimanche à Reuters à la direction d'Air France, en ajoutant que "la porte du président est ouverte".
"La direction n'a pas formulé de nouvelle proposition et nous restons donc mobilisés", répond-on au SNPL, majoritaire avec 49% des voix aux dernières élections.
"Actuellement, il n'y a plus de négociations. Je pense que nous irons au bout des quatre jours de grève", ajoute Philippe Raffin, président du SPAC Air France.
"Actuellement, il n'y a plus de négociations. Je pense que nous irons au bout des quatre jours de grève", ajoute Philippe Raffin, président du SPAC Air France, deuxième syndicat avec une représentation de 15%.
"Actuellement, il n'y a plus de négociations. Je pense que nous irons au bout des quatre jours" de grève, ajoute Philippe Raffin, président du SPAC Air France, deuxième syndicat avec une représentation de 15%.
La question est en fait de savoir ce que les deux parties feront après cette grève, d'autant que, chez les pilotes, l'heure n'est pas à l'unité syndicale.
Si le mouvement est unitaire sur la date, il ne l'est pas sur les revendications.
Ce que les pilotes attendent, c'est un syndicat pluriel, pas une pluralité de syndicats, résume-t-il.
"Ce que les pilotes attendent, c'est un syndicat pluriel, pas une pluralité de syndicats", résume-t-il, en jugeant les exigences des syndicats SNPL et Alter (affilié au Groupe des Dix) "extrêmement brutales".
"Ce que les pilotes attendent, c'est un syndicat pluriel, pas une pluralité de syndicats", résume-t-il, en jugeant les exigences des syndicats SNPL et Alter extrêmement brutales.
Pierre qui était malade n'est pas venu.
Jean qui m'aime me suit.
Jean qui ne m'aime pas me suit.
Jean ne m'aime pas et me suit quand même.
Qui m'aime me suive.
Que faire pose un problème.
Je choisis qui je veux.
Je m'adresse à qui je veux.
Je m'adresse à qui je pense.
Je m'adresse à qui je veux et à qui écoute.
Je m'adresse à qui je veux et à qui m'écoute.
Je m'adresse à qui je veux et à qui je pardonne.
Je m'adresse à qui je veux, à qui je sollicite et à qui je pardonne.
Je m'adresse à qui je veux, à qui accepte et à qui m'écoute.
Le fait que je sois en avance ne m'étonne pas.
Le fait que je sois en avance m'étonne.
Le fait que je sois ne m'étonne pas.
Le fait que je sois m'étonne.
Le fait que Jean mange m'étonne.
Le fait que Jean mange un gâteau m'étonne.
Le gâteau que Jean mange m'étonne.
Je suis à la merci des résultats de l'analyseur, que je le veuille ou que je ne le veuille pas.
Je suis à la merci des résultats de l'analyseur, que je le veuille ou non.
Je suis à la merci des résultats de l'analyseur, que je le veuille ou pas.
Le SPAC, qui s'appuie sur un audit réalisé à son initiative, réclame que les salaires des pilotes d'Air France soient ramenés dans la moyenne européenne, comme prévu initialement par la direction des affaires sociales du groupe.
Le SPAC, qui s'appuie sur un audit réalisé à son initiative, réclame que les salaires des pilotes d'Air France soient ramenés dans la moyenne européenne, "comme prévu initialement par la direction des affaires sociales" du groupe.
Il souhaite en outre intégrer la question salariale dans le cadre de négociations plus larges "sur la reconduction de l'accord triennal" de 1998.
Le SNPL et Alter réclament des augmentations de 10% à 12% pour rattraper un gel des salaires consenti en 1998.
Le SNPL et Alter font pour leur part un préalable des revalorisations salariales et réclament des augmentations de 10% à 12% pour rattraper un gel des salaires consenti en 1998.
Ce que la direction juge "irréaliste" en mettant en avant les 7,3% d'augmentation accordés de façon intérimaire en décembre et en avril derniers aux personnels navigants techniques.
La direction juge "irréaliste" en mettant en avant les 7,3% d'augmentation accordés de façon intérimaire.
La direction juge "irréaliste" en mettant en avant les 7,3% d'augmentation accordés.
M. Séralini est le principal auteur de cette étude et par ailleurs président du Comité de recherche et d'information indépendantes sur le génie génétique (Criigen).
M. Séralini est le principal auteur de cette étude et président du Comité de recherche.
M. Séralini est le président du Comité de recherche et d'information indépendantes sur le génie génétique (Criigen).
M. Séralini est le principal auteur de cette étude et président du Comité de recherche et d'information indépendantes sur le génie génétique (Criigen).
Dans les prochaines semaines, il sera amené sur orbite géostationnaire et placé par 64,15 degrés de longitude est.
Quoi qu'en dise le ministre, elle était prévue par le précédent gouvernement.
Quoi qu'en dise le ministre.
Quoi que dise le ministre.
Le ministre m'en dit du bien.
La direction d'Air France, qui exploite habituellement entre 1.600 et 1.700 vols chaque jour, a indiqué qu'elle comptait assurer dimanche et lundi environ 62% des vols long, moyen, moyen et moyen-courriers.
Les six syndicats ont décidé de faire grève après la rupture des négociations menées depuis plusieurs mois sur le prochain accord global pluriannuel des personnels navigants techniques (PNT).
Les six syndicats ont décidé de faire grève après la rupture des négociations.
Il souhaite en outre intégrer la question salariale dans le cadre de négociations plus larges "sur la reconduction de l'accord triennal" de 1998. Ce que la direction juge "irréaliste" en mettant en avant les 7,3% d'augmentation accordés de façon intérimaire en décembre et en avril derniers aux personnels navigants techniques.
Ce que les pilotes attendent, c'est un syndicat pluriel, et pas une pluralité de syndicats, résume-t-il.