C'est de 2 % qu'augmenterait l'an prochain l'activité.
La croissance 2002 étant pour l'heure prévue pour croître de 1,1 %, c'est donc d'au moins 2 % qu'augmenterait l'an prochain l'activité.
Ce qui n'engage que peu le gouvernement.
Ce qui n'engage que peu le gouvernement, puisque le consensus des économistes table actuellement sur un chiffre tournant autour de 2,3 % à 2,5 %.
Mais qui, cependant, donne pour la première fois une indication sur la fourchette basse du chiffre de croissance que devrait retenir le projet de budget 2003.
La rédaction du projet de loi de finances donne en effet des sueurs à Bercy.
La rédaction du projet de loi de finances donne en effet des sueurs à Bercy, Matignon et l'Elysée, qui pilote le projet.
En face de dépenses importantes, conséquence de la mise en oeuvre des promesses électorales, les recettes font défaut.
Car en face de dépenses importantes, conséquence de la mise en oeuvre des promesses électorales, les recettes font défaut.
Le projet de budget prévoirait, selon des informations publiées hier par le Figaro, que Bercy s'est refusé de confirmer, ou d'infirmer, plus de 3 milliards d'euros de dépenses supplémentaires.
La baisse s'ajouterait au "rabais sur facture" de 5 %.
Un milliard serait consacré à une nouvelle diminution de l'impôt sur le revenu (IR) par une baisse forfaitaire de 2 %.
Deux milliards seraient consacré à une nouvelle diminution de l'impôt sur le revenu (IR) par une baisse forfaitaire de 2 %.
Un milliard serait consacré à une nouvelle diminution de l'impôt sur le revenu (IR) par une baisse forfaitaire de 2 % qui s'ajouterait au "rabais sur facture" de 5 % voté cet été.
Un milliard serait consacré à une nouvelle diminution de l'impôt sur le revenu (IR) par une baisse forfaitaire de 2 % qui s'ajouterait au "rabais sur facture" de 5 % voté cet été, l'ensemble étant désormais intégré au barème.
Plus de 1 milliard serait également consacré à la poursuite de la suppression de la part salariale de la taxe professionnelle, initiée en 1999 et étalée jusqu'en 2003. Séparation.
Plus de 1 milliard serait également consacré à la poursuite de la suppression de la part salariale de la taxe professionnelle, initiée en 1999 par Dominique Strauss-Kahn et étalée jusqu'en 2003.
Enfin, un dernier milliard d'euros irait aux allégements des cotisations promis pour compenser le coût de l'harmonisation des différents Smic pour les entreprises.
Enfin, un dernier milliard d'euros irait aux allégements des cotisations patronales promis pour compenser le coût de l'harmonisation des différents Smic pour les entreprises.
Les dépenses publiques sont également alourdies par les fortes augmentations des budgets des ministères prioritaires pas forcément compensées par autant d'économies.
Les dépenses publiques sont également alourdies par les fortes augmentations des budgets des ministères prioritaires pas forcément compensées par autant d'économies en face.
Celui de la Défense progressera de 6,1 %, soit quelque 1,8 milliard d'euros supplémentaires.
Ceux de l'Intérieur et de la Justice sont également en nette hausse (respectivement de 2,08 % et de 7,41 %).
Outre ces dépenses jugées incontournables politiquement, des dépenses plus exceptionnelles viendraient alourdir la facture.
Outre ces dépenses, d'autres plus exceptionnelles viendraient alourdir la facture.
D'autres plus exceptionnelles viendraient alourdir la facture.
Outre ces dépenses jugées incontournables politiquement, d'autres plus exceptionnelles viendraient alourdir la facture.
Ainsi, la recapitalisation de France Télécom pourrait coûter à l'Etat quelque 5 milliards d'euros en 2003.
En face de ces dépenses, le potentiel de recettes reste faible.
Globalement parce que la croissance n'est pas au rendez-vous.
Plus de 1 milliard serait également consacré à la poursuite de la suppression de la part salariale de la taxe professionnelle, initiée en 1999 et étalée jusqu'en 2003. Plus de 1 milliard serait également consacré à la poursuite de la suppression de la part salariale de la taxe professionnelle, initiée en 1999 par Dominique Strauss-Kahn et étalée jusqu'en 2003.
Il sont discrets, tant dans l'Oise  qu'au niveau national.
Mais parce que la conjoncture boursière morose interdit tout espoir de rentrées financières par des privatisations.
Mais parce que la conjoncture boursière morose interdit à court terme tout espoir de rentrées financières par des privatisations.
Mais aussi parce que la conjoncture boursière morose interdit à court terme tout espoir de rentrées financières par des privatisations.
Quelques recettes pourraient être grappillées si le gouvernement décide de renoncer, comme il semble se profiler, au troisième volet de la suppression de la surtaxe Juppé, qui alourdit encore de 3 % l'impôt sur les sociétés.
« Luke, le fils aîné, Tom et Savannah, les jumeaux, auraient peut-être pu sortir indemnes de leur enfance saccagée ».
« Luke, le fils aîné, Tom et Savannah, les jumeaux, auraient peut-être pu, malgré tout, sortir indemnes de leur enfance saccagée ».
« La pièce contenait des étagères en pin croulant sous les livres ».
La pièce contenait trois fauteuils de médiocre facture, une table en plaqué merisier, et des étagères.
La pièce contenait trois fauteuils de médiocre facture, en faux style victorien, une table en plaqué merisier, et une étagère.
« La pièce contenait trois fauteuils de médiocre facture, en faux style victorien, une table en plaqué merisier, et des étagères en pin croulant sous les livres ».
Mais c'est surtout dans un sérieux tour de vis aux dépenses des administrations non prioritaires que réside le véritable potentiel d'économies.
La baisse des effectifs de fonctionnaires en est un excellent exemple.
Tout irait pour le mieux s'il n'y avait pas un endettement considérable et d'énormes dépréciations d'actifs.
LE RISQUE d'une perte semestrielle a obligé l'Etat à réaffirmer son soutien à l'opérateur historique alors que l'hypothèse d'une augmentation de capital revient en force.
LE RISQUE d'une perte semestrielle a obligé l'Etat à réaffirmer son soutien à l'opérateur historique.
Il a mieux que le marché.
Il fait mieux que le marché.
Il a plus que le marché.
APRÈS LA DÉROUTE du PS lors des dernières échéances  électorales, tant dans l'Oise qu'au niveau national, les socialistes s'étaient faits jusqu'à  présent plutôt discrets dans le département. 
LE RISQUE d'une perte semestrielle a obligé l'Etat, actionnaire majoritaire, à réaffirmer son soutien à l'opérateur historique alors que l'hypothèse d'une augmentation de capital revient en force.
LE RISQUE d'une perte semestrielle pour France Télécom a obligé hier l'Etat, actionnaire majoritaire, à réaffirmer son soutien à l'opérateur historique alors que l'hypothèse d'une augmentation de capital revient en force.
LE RISQUE d'une perte semestrielle record pour France Télécom a obligé hier l'Etat, actionnaire majoritaire, à réaffirmer son soutien à l'opérateur historique alors que l'hypothèse d'une augmentation de capital revient en force.
France Télécom, détenu à 55,5 % par l'Etat, pourrait annoncer la semaine prochaine une perte supérieure à 10 milliards d'euros pour le premier semestre, en raison de nouvelles provisions exceptionnelles pour dépréciation d'actifs.
France Télécom, détenu à 55,5 % par l'Etat, pourrait annoncer la semaine prochaine une perte supérieure à 10 milliards d'euros pour le premier semestre, en raison de nouvelles provisions exceptionnelles pour dépréciation d'actifs, a affirmé le quotidien la Tribune.
Cette perte colossale, combinée à un endettement qui pourrait atteindre 70 milliards d'euros selon des analystes, risque de contraindre l'Etat à restructurer le bilan de l'entreprise.
Selon le journal, une augmentation de capital d'environ 10 milliards d'euros serait inévitable et souscrite par l'actionnaire majoritaire.
Selon le journal, une augmentation de capital d'environ 10 milliards d'euros serait comprise et souscrite par l'actionnaire majoritaire.
Selon le journal, une augmentation de capital d'environ 10 milliards d'euros serait inévitable et souscrite pour moitié au moins par l'actionnaire majoritaire.
Ces informations ont fait chuter le titre, qui a perdu jusqu'à 11 % en début de séance et dévissait encore de 8,53 % à 10,51 euros à 16 h 00.
Ces informations ont fait chuter le titre France Télécom, qui a perdu jusqu'à 11 % en début de séance et dévissait encore de 8,53 % à 10,51 euros à 16 h 00, malgré le soutien annoncé par Bercy au groupe en fin de matinée.
Le ministère de l'Economie et des Finances a été contraint de réagir pour affirmer qu'il prendrait des « mesures adéquates de soutien » si France Télécom rencontrait des problèmes de refinancement et qu'il aurait un comportement « d'investisseur avisé ».
L'augmentation de capital n'arrangerait rien pour le titre.
« L'augmentation de capital n'arrangerait rien pour le titre. Rien n'a encore été arrêté et décidé. Il existe plein d'autres formes de soutien possible pour l'entreprise », a-t-on souligné de source proche du dossier.
Il est gentil, blond et noir.
Et les petits actionnaires ?
Parmi les autres scénarios évoqués, figurent la possibilité pour l'Etat de garantir les futurs emprunts de France Télécom ou l'émission d'obligations convertibles en passant par une renationalisation.
Parmi les autres scénarios évoqués, figurent la possibilité pour l'Etat de garantir les futurs emprunts de France Télécom ou l'émission d'obligations convertibles en passant par une renationalisation, selon la Tribune.
Bercy a tenu à rappeler que les comptes du groupe seraient arrêtés le 12 septembre lors du prochain conseil d'administration, la publication des résultats étant attendue le lendemain.
Le dossier MobilCom, l'opérateur allemand précise sa dépendance vis à vis de France Télécom.
De son côté, France Télécom a précisé que les provisions comptables étaient encore en discussion et dépendaient « en grande partie » du dossier MobilCom, l'opérateur allemand.
De son côté, France Télécom a précisé que les provisions comptables étaient encore en discussion et dépendaient « en grande partie » du dossier MobilCom, l'opérateur allemand dont France Télécom doit décider de prendre le contrôle total ou de céder sa participation de 28,5 %.
Il tient compte de la dépréciation des entreprises acquises à un prix exorbitant.
L'opérateur français a déjà procédé à des dépréciations d'actifs pour 10,2 milliards d'euros dans ses résultats 2001 afin de tenir compte de la dépréciation des entreprises acquises au plus fort de la bulle internet.
Le titre en vaut désormais environ le tiers.
Le titre France Télécom a été introduit en Bourse à 27,75 euros en octobre 1997 et en vaut désormais environ le tiers.
L'éventualité d'une augmentation de capital est prise au sérieux par les marchés.
L'éventualité d'une augmentation de capital est cependant toujours prise au sérieux par les marchés.
« Une telle opération pourrait s'adresser aux investisseurs étrangers mais il faudrait consentir une décote importante sur la valeur de la société et c'est ce qui pèse sur le titre », a relevé Peter Wirtz, analyste chez West LB Panmure.
Le Fonds monétaire international (FMI) et l'administration américaine ne se montrent pas disposés à faire des cadeaux à Buenos Aires avant l'arrivée à Washington.
Le Fonds monétaire international (FMI) et l'administration américaine ne se montrent pas disposés à faire le cadeau d'une mission pour négocier les termes d'une reprise du soutien financier de l'institution monétaire internationale. 
Par Jean-Louis DOUBLET  WASHINGTON, 6 sept (AFP) - Le Fonds monétaire international (FMI) et l'administration américaine ne se montrent pas disposés à faire des cadeaux à Buenos Aires avant l'arrivée la semaine prochaine à Washington d'une mission argentine pour négocier les termes d'une reprise du soutien financier de l'institution monétaire internationale. 
Absence de consensus politique, lenteur dans la présentation des mesures économiques, incertitudes juridiques, le Fonds a dressé jeudi soir toute la liste de ses griefs contre le gouvernement du président Eduardo Duhalde.
Le Fond a fixé le remboursement de 2,8 milliards de dollars qui lui sont dûs.
En acceptant de reporter une échéance tombant le 9 septembre sur le remboursement de 2,8 milliards de dollars qui lui sont dûs par Buenos Aires, le Fond a fixé les conditions de son soutien.
En acceptant d'une main de reporter une échéance tombant le 9 septembre sur le remboursement de 2,8 milliards de dollars qui lui sont dûs par Buenos Aires, le Fond a fixé les conditions de son soutien.
Tout en acceptant d'une main de reporter une échéance tombant le 9 septembre sur le remboursement de 2,8 milliards de dollars qui lui sont dûs par Buenos Aires, le Fond a fixé de l'autre les conditions de son soutien.
En acceptant de reporter une échéance, en  acceptant de reporter une échéance et en acceptant de reporter une échéance, le Fond a fixé les conditions de son soutien.
Tout en acceptant de reporter une échéance, en  acceptant de reporter une échéance et en acceptant de reporter une échéance, le Fond a fixé les conditions de son soutien.
Les membres du Conseil d'aministration du FMI ont reconnu que le pouvoir économique et social argentin reste très difficile.
Les membres du Conseil d'aministration du FMI ont reconnu que la situation économique et sociale argentine reste très difficile et se sont montrés préoccupés.
Les membres du Conseil d'aministration du FMI ont reconnu que la situation économique et sociale argentine reste très difficile et se sont montrés préoccupés par les mesures économiques exhaustives et cohérentes pouvant répondre à ces difficultés.
La formulation d'un paquet de mesures économiques exhaustif et cohérent pouvant répondre à ces difficultés prend beaucoup plus de temps que prévu.
"Les membres du Conseil d'aministration du FMI ont reconnu que la situation économique et sociale argentine reste très difficile et se sont montrés préoccupés du fait que la formulation d'un paquet de mesures économiques exhaustif et cohérent pouvant répondre à ces difficultés prenne beaucoup plus de temps que prévu".
"Les membres du Conseil d'aministration du FMI ont reconnu que la situation économique et sociale argentine reste très difficile et se sont montrés préoccupés du fait que la formulation d'un paquet de mesures économiques exhaustif et cohérent pouvant répondre à ces difficultés prenne beaucoup plus de temps que prévu", a affirmé Horst Koehler, le directeur-général du FMI.
Il a appelé à l'établissement rapide d'un "consensus politique national" en Argentine sur les mesures à prendre.
Il a appelé à l'établissement rapide d'un "consensus politique national" en Argentine sur les mesures à prendre qui pourraient bénéficier du soutien financier du Fonds, interrompu depuis décembre dernier.
L'institution monétaire internationale se fait ainsi l'écho de critiques adressées mercredi par le secrétaire au Trésor américain Paul O'Neill.
L'institution monétaire internationale se fait ainsi l'écho de critiques adressées mercredi par le secrétaire au Trésor américain Paul O'Neill, qui avaient été très mal accueillies en Argentine.
Paul O'Neill avait affirmé que le projet de lettre d'intention transmis par Buenos Aires au FMI "n'atteint pas vraiment l'objectif recherché de rétablir la stabilité" économique.
Dans un entretien accordé à la chaîne de télévision américaine CSPAN, Paul O'Neill avait notamment affirmé que le projet de lettre d'intention transmis fin août par Buenos Aires au FMI "n'atteint pas vraiment l'objectif recherché de rétablir la stabilité" économique.
Il avait également fait part de son irritation devant le retard mis par les autorités argentines à transmettre ce projet au FMI qui aurait dû, avait-il souligné, être envoyé avant sa visite en Amérique du sud les 6 et 7 août derniers. 
C'est précisément de ce projet de lettre d'intention que doit venir discuter une délégation argentine.
C'est précisément de ce projet de lettre d'intention que doit venir discuter à Washington la semaine prochaine une délégation argentine.
Le processus conduit à l'établissement d'un programme économique soutenu financièrement par le FMI.
La première étape dans le processus conduisant à l'établissement d'un programme économique soutenu financièrement par le FMI correspond au programme.
C'est précisément ce projet de lettre d'intention : la première étape dans le processus conduisant à l'établissement d'un programme économique soutenu financièrement par le FMI.
C'est précisément de ce projet de lettre d'intention ( la première étape économique ) que doit venir discuter à Washington la semaine prochaine une délégation argentine.
C'est précisément de ce projet de lettre d'intention - la première étape dans le processus conduisant à l'établissement d'un programme économique soutenu financièrement par le FMI - que doit venir discuter à Washington la semaine prochaine une délégation argentine.
Parmi les autres préoccupations du FMI figurent la définition d'un "ancrage monétaire clair", permettant d'éviter un retour de l'hyperinflation qui a miné l'économie argentine dans les années 80.
Les autorités argentines doivent également définir une stratégie pour restructurer les banques, améliorer l'autonomie de la Banque centrale et appliquer les accords bilatéraux avec les provinces, prévoyant des réductions des dépenses budgétaires, a poursuivi Horst Koehler jeudi.
Autre sujet d'inquiètude à Washington, les conséquences budgétaires d'un récent jugement de la Cour suprême visant à restituer à plus de 700.000 fonctionnaires et retraités les 13% de baisse de leurs revenus qui les frappent depuis juillet 2001.
Le seul véritable bon point décerné par les dirigeants du FMI au gouvernement du président Eduardo Duhalde concerne l'amélioration des finances publiques au 2e trimestre et la "stabilisation" de certains indicateurs économiques.
Il y a deux mois.
La maison s' écroule.
La maison s'est écroulée.
Il y a eu deux mois, la maison s'est écroulée.
La maison, Il y a déjà deux mois, s'est complètement écroulée.
La maison s'est complètement écroulée Il y a déjà deux mois,.
Le gouvernement du président Duhalde avait cependant affirmé il y a un mois que la croissance du PIB pourrait dépasser 3% en 2003.
France Télécom, détenu à 55,5 % par l'Etat, pourrait annoncer la semaine prochaine une perte supérieure à 10 milliards d'euros pour le premier exercice.
C'est précisément de ce projet de lettre d'intention que vient discuter une délégation argentine.
Il existe beaucoup d'autres formes de soutien possible pour l'entreprise.
L'opérateur dont France Telecom prend le controle a fait faillite.
L'opérateur dont France Telecom décide de prendre le controle a fait faillite.
L'opérateur dont France Telecom décide de prendre le controle ou de céder sa participation a fait faillite.
Elle concerne le dossier Mobilcom, l'opérateur dont France Telecom prend le controle.
Elle concerne le dossier Mobilcom, l'opérateur dont France Telecom décide de prendre le controle.
Ce qui n'engage que peu le gouvernement, puisque le consensus des économistes table actuellement sur un chiffre tournant autour d'une plage de 2,3 à 2,5 %.
Ce qui n'engage que peu le gouvernement, puisque le consensus des économistes table actuellement sur un chiffre tournant autour d'une plage de rêve.