France Télécom pourrait annoncer la semaine prochaine une perte semestrielle nette record sensiblement supérieure à 10 milliards d'euros, qui pourrait contraindre le gouvernement à augmenter le capital de l'opérateur public, estime le quotidien économique La Tribune.
France Télécom pourrait annoncer la semaine prochaine une perte de 10 milliards d'euros estime le quotidien économique.
France Télécom pourrait annoncer la semaine prochaine une perte semestrielle nette record "sensiblement supérieure à 10 milliards d'euros", qui pourrait contraindre le gouvernement à augmenter le capital de l'opérateur public, estime jeudi le quotidien économique La Tribune.
La perte attendue pour le premier semestre serait "liée à de nouvelles provisions exceptionnelles pour dépréciation d'actifs", affirme le journal, qui cite "des sources concordantes".
"Combinée à un endettement, qui selon certains analystes, atteint près de 70 milliards d'euros, cette perte colossale pourrait être le signal contraignant l'Etat à restructurer le bilan de la société publique", ajoute le quotidien.
Y compris celui d'une augmentation de capital de l'opérateur qui pourrait avoisiner 10 milliards d'euros.
Y compris celui d'une augmentation de capital de l'opérateur, qui, selon les mêmes sources, pourrait avoisiner 10 milliards d'euros.
"Dans cette optique, tous les scénarios sont étudiés. Y compris celui d'une augmentation de capital de l'opérateur, qui, selon les mêmes sources, pourrait avoisiner 10 milliards d'euros", selon La Tribune.
L'opérateur a essuyé l'an dernier une perte de 8,3 milliards d'euros et sa situation financière a fait perdre 70% de sa valeur depuis le début de l'année au titre France Télécom à la Bourse de Paris.
Le gouvernement japonais a formellement démenti jeudi des informations de presse selon lesquelles il préparerait une nouvelle série de mesures pour stopper la déflation, enrayer l'effondrement de la bourse et stimuler l'économie.
Il n'y a aucun moyen pour le gouvernement d'accroître encore les mesures actuelles.
Il a parlé au secrétaire général et porte-parole du gouvernement Yasuo Fukuda.
"Il n'y a aucun moyen pour le gouvernement d'accroître encore les mesures actuelles en vigueur contre la déflation", a indiqué le secrétaire général et porte-parole du gouvernement Yasuo Fukuda.
Il n'y a aucun moyen pour le gouvernement d'accroître encore les mesures actuelles en vigueur contre la déflation, a indiqué le secrétaire général et porte-parole du gouvernement Yasuo Fukuda.
"Il n'y a aucun moyen pour le gouvernement d'accroître encore les mesures actuelles en vigueur contre la déflation", a indiqué le secrétaire général et porte-parole du gouvernement Yasuo Fukuda, interrogé par le représentant des médias.
"Il n'y a aucun moyen pour le gouvernement d'accroître encore les mesures actuelles en vigueur contre la déflation", a indiqué le secrétaire général et porte-parole du gouvernement Yasuo Fukuda, interrogé pour savoir si le programme de réformes prévu autour du 20 septembre contiendra une telle initiative.
La bourse a rebondi ce matin et il ne faut donc être ni excessivement inquiet, ni trop optimiste.
Il ne faut donc être ni excessivement inquiet, ni trop optimiste en regardant la bourse.
La bourse a rebondi ce matin et il ne faut donc être ni excessivement inquiet, ni trop optimiste en regardant la bourse.
La bourse a rebondi ce matin et il ne faut donc être ni excessivement inquiet, ni trop optimiste en regardant la bourse fluctuer.
"La bourse a rebondi ce matin et il ne faut donc être ni excessivement inquiet, ni trop optimiste en regardant la bourse fluctuer", a recommandé le porte-parole lors d'une conférence de presse.
Les Affaires étrangères perdent 50 emplois, mais voient leur budget bondir de 13,99 % en faveur notamment de l'aide au développement pour les pays pauvres.
Le Premier ministre Junichiro Koizumi a déjà fait adopter deux plans anti-déflation cette année mais aucun ne contenait des mesures suffisantes pour empêcher les prix de continuer à baisser, les profits des entreprises de se contracter et l'endettement réel des firmes augmenter.
Aucun ne contenait selon les analystes des mesures suffisantes.
Le Premier ministre Junichiro Koizumi a déjà fait adopter deux plans anti-déflation cette année mais aucun ne contenait selon les analystes des mesures suffisantes pour empêcher les prix de continuer à baisser, les profits des entreprises de se contracter et l'endettement réel des firmes augmenter.
Il fixe une date limite pour la sortie de la période de déflation.
Selon le quotidien des affaires Nihon Keizai Shimbun et l'agence de presse Kyodo, le gouvernement et les partis de la coalition de centre-droit au pouvoir travaillent à un nouveau projet fixant une date limite pour la sortie de la période de déflation.
Des injections de fonds publics seraient aussi envisagées pour les banques affaiblies par le provisionnement accéléré de leurs créances irrecouvrables.
Selon les informations de presse, le programme de relance prévoirait une réduction d'impôts à hauteur de 1.000 milliards de yens (8,5 mds USD) et un assouplissement de la politique monétaire par la Banque du Japon.
Selon les informations de presse, le programme de relance prévoirait aussi une réduction d'impôts à hauteur de 1.000 milliards de yens (8,5 mds USD) et un assouplissement de la politique monétaire par la Banque du Japon.
Selon l'agence Kyodo, M. Koizumi voudrait présenter ce plan au président américain W. Bush le 12 septembre à New York.
Selon l'agence Kyodo, M. Koizumi voudrait présenter ce plan au président W. Bush le 12 septembre à New York.
Selon l'agence Kyodo, M. Koizumi voudrait présenter ce plan au président George W. Bush le 12 septembre à New York.
Selon l'agence Kyodo, M. Koizumi voudrait présenter ce plan au président W. Bush  à New York.
Selon l'agence Kyodo, M. Koizumi voudrait présenter ce plan au président W. Bush.
Selon l'agence Kyodo, M. Koizumi voudrait présenter ce plan au président George W. Bush  à New York.
Selon l'agence Kyodo, M. Koizumi voudrait présenter ce plan au président George W. Bush.
Selon l'agence Kyodo, M. Koizumi voudrait présenter ce plan au président américain George W. Bush le 12 septembre à New York.
Le ministre de la Justice Dominique Perben prévoit la création de trois centres pilotes fermés pour mineurs délinquants dès cette année.
Le ministre de la Justice Dominique Perben prévoit la création de trois centres pilotes fermés pour mineurs délinquants.
Le ministre de la Justice Dominique Perben prévoit la création de trois "centres pilotes" fermés pour mineurs délinquants dès cette année.
Trois centres fermés seront mis en place d'ici la fin de l'année, en région parisienne et dans le sud de la France.
"Trois centres fermés seront mis en place d'ici la fin de l'année, en région parisienne et dans le sud de la France", précise-t-il dans une interview publiée jeudi par Le parisien-Aujourd'hui en France.
Il indique que son ministère et celui de l'Education préparent "une charte pédagogique" pour que ces jeunes mineurs délinquants puissent "se remettre à niveau et recevoir une formation professionnelle".
Il indique en outre que son ministère et celui de l'Education préparent "une charte pédagogique" pour que ces jeunes mineurs délinquants puissent "se remettre à niveau scolairement et recevoir une formation professionnelle".
"Collectivités locales, entreprises, artisans, tous seront sollicités et doivent se sentir concernés par l'avenir de notre jeunesse", souligne le ministre.
Deux des trois centres pilotes seront donc confiés à des associations extérieures habilitées (et) le troisième à la PJJ.
Deux des centres pilotes seront donc confiés à des associations extérieures habilitées (et) tous les autres à la PJJ.
Deux des centres pilotes seront donc confiés à des associations extérieures habilitées (et) tous les autres à la PJJ. Dominique Perben se dit conscient des inquiétudes exprimées par certains éducateurs, associations et agents de la Protection judiciaire de la jeunesse, organisme qui dépend du ministère.
Dominique Perben se dit conscient des inquiétudes exprimées par certains éducateurs, associations et agents de la Protection judiciaire de la jeunesse, organisme qui dépend du ministère, et précise que deux des trois centres pilotes seront donc confiés à des associations extérieures habilitées (et) le troisième à la PJJ.
Dominique Perben se dit conscient des inquiétudes exprimées par certains éducateurs, associations et agents de la Protection judiciaire de la jeunesse, organisme qui dépend du ministère de la Justice, et précise que "deux des trois centres pilotes seront donc confiés à des associations extérieures habilitées (et) le troisième à la PJJ".
"Personne ne détient la vérité en matière de rééducation de mineurs délinquants, ce n'est donc pas mauvais d'expérimenter plusieurs systèmes", dit-il, en ajoutant qu'à terme, il "souhaite un centre par département".
Ce n'est donc pas mauvais d'expérimenter plusieurs systèmes.
La plupart des quartiers pour mineurs existants aujourd'hui ne sont pas adaptés.
La plupart des quartiers pour mineurs ne sont pas adaptés.
Les quartiers pour mineurs ne sont pas adaptés.
Les quartiers pour mineurs sont adaptés.
Pour les mineurs incarcérés, Dominique Perben prévoit de fermer la plupart des quartiers pour mineurs existants aujourd'hui (dans les prisons) où la situation est inadmissible, pour ouvrir des centres de détention adaptés.
Pour les mineurs incarcérés, Dominique Perben prévoit de fermer la plupart des quartiers pour mineurs existants aujourd'hui (dans les prisons) où la situation est inadmissible.
Pour les mineurs incarcérés, Dominique Perben prévoit de fermer la plupart des quartiers pour mineurs où la situation est inadmissible.
Personne ne détient la vérité en matière de rééducation de mineurs délinquants.
Pour les mineurs incarcérés, Dominique Perben prévoit de fermer "la plupart des quartiers pour mineurs existants aujourd'hui (dans les prisons) où la situation est inadmissible, pour ouvrir des centres de détention adaptés".
"Nous réaliserons 1.000 places pour mineurs, 600 nouvelles, 400 rénovées", précise-t-il.
Les résultats pro forma ont été calculés comme si l'acquisition de Global One par Equant avait eu lieu dès le 1er janvier 2001.
Au cours des six premiers mois de 2002, le chiffre d'affaires des "services de réseaux" a augmenté de 2,9% à 783 millions de dollars.
L'EBITDA (un "résultat brut d'exploitation" calculé avant frais financiers et amortissements) a atteint 76 millions de dollars, à comparer avec une perte pro forma de 10 millions de dollars un an plus tôt.
"Ces résultats confirment notre capacité", a commenté le PDG d'Equant Didier Delepine.
"Ces résultats confirment notre capacité à conduire l'activité vers la rentabilité grâce à notre contrôle agressif des coûts et grâce à l'amélioration de notre position de trésorerie", a commenté le PDG d'Equant Didier Delepine, selon le communiqué.
Il a 50 millions de dollars de plus que d'habitude.
Il a 50 millions de dollars de plus.
Il a 50 millions de dollars en plus.
Il a en plus 50 millions de dollars.
Il a beaucoup plus que d'habitude.
Il a plus que d'habitude.
Au 30 juin 2002, les disponibilités et les placements à court terme de la société s'élevaient à 426 millions de dollars, soit 53 millions de dollars de plus qu'au 31 décembre 2001.
Le 25 juillet, Equant envisageait pour 2002 un EBITDA de l'ordre de 180 M USD, conforme aux prévisions d'analystes, et un chiffre d'affaires d'environ 2,950 milliards de dollars.
Les mesures prises pour intégrer les deux réseaux ont déjà généré des synergies significatives, dont 90 millions au titre des coûts de circuits.
Les mesures prises pour intégrer les deux réseaux ont déjà généré des synergies significatives, dont 90 millions de dollars au titre des coûts de circuits.
Les mesures prises pour intégrer les deux réseaux ont déjà généré des synergies significatives, dont 90 millions de dollars au titre des coûts de circuits au premier semestre 2002.
Les mesures prises pour intégrer les deux réseaux ont déjà généré des synergies significatives, dont 90 millions de dollars au titre des coûts de circuits au premier semestre 2002, a précisé Equant.
"D'autres réductions suivront au second semestre de cette année. Notre capacité à continuer à réduire nos coûts est une étape clé vers la rentabilité malgré un contexte économique difficile en toile de fond", a commenté M. Delepine.
L'EBITDA (un résultat brut d'exploitation calculé avant frais financiers et amortissements) a atteint 76 millions de dollars, à comparer avec une perte pro forma de 10 millions de dollars un an plus tôt.
Les partis de la coalition de centre-droit au pouvoir travaillent à un nouveau projet fixant une date limite pour la sortie de la période de déflation.
Ces résultats confirment notre capacité à conduire l'activité vers la rentabilité grâce à notre contrôle agressif des coûts et grâce à l'amélioration de notre position de trésorerie.
Ces résultats confirment notre capacité à conduire l'activité vers la rentabilité grâce à notre contrôle agressif des coûts.