Le ministre irlandais des Affaires étrangères Brian Gowen a averti mercredi ses compatriotes qu'ils feraient du tort à l'Union européenne et à leurs propres intérêts.
Le ministre irlandais des Affaires étrangères Brian Gowen a averti ses compatriotes qu'ils feraient du tort à l'Union européenne et à leurs propres intérêts.
Le ministre irlandais des Affaires étrangères Brian Gowen a averti mercredi ses compatriotes qu'ils feraient du tort à l'Union européenne et à leurs propres intérêts s'ils rejetaient à nouveau le traité de Nice sur l'élargissement à l'Est de l'UE.
Le ministre irlandais des Affaires étrangères Brian Gowen a averti mercredi ses compatriotes qu'ils feraient du tort à l'Union européenne et à leurs propres intérêts s'ils rejetaient à nouveau le traité de Nice sur l'élargissement à l'Est de l'UE, lors du référendum prévu cette année.
Il a expliqué notamment que l'Irlande, qui a considérablement compliqué les projets d'élargissement de l'UE en rejetant l'an dernier le traité, perdrait à la fois des alliés et une partie de son influence en Europe.
Il a expliqué l'Irlande, qui a considérablement compliqué les projets d'élargissement de l'UE en rejetant l'an dernier le traité.
Il a expliqué l'Irlande, qui a considérablement compliqué les projets d'élargissement de l'UE, en rejetant l'an dernier le traité.
Il a expliqué notamment que l'Irlande, qui a considérablement compliqué les projets d'élargissement de l'UE en rejetant l'an dernier le traité, perdrait à la fois des alliés et une partie de son influence en Europe si elle devait à nouveau voter "non". 
Si nous disons définitivement non (au traité de) Nice cela fera du tort à l'Union européenne, aux pays candidats (à l'adhésion) et à nos propres intérêts.
Cela fera du tort à l'Union européenne, aux pays candidats (à l'adhésion) et à nos propres intérêts.
Cela fera du tort à l'Union européenne, aux pays candidats et à nos propres intérêts.
Si nous disons non au traité cela fera du tort à l'Union européenne, aux pays candidats (à l'adhésion) et à nos propres intérêts.
Si nous disons non au traité de Nice cela fera du tort à l'Union européenne, aux pays candidats (à l'adhésion) et à nos propres intérêts.
Il dit non.
Il dit définitivement non.
Il dit non à la spéculation.
Il doit voter non.
Si nous disons non.
Si nous disons non au traité.
Si nous disons définitivement non au traité.
Il pense au parlement, qui a repris ses travaux en avance, après la pause estivale, pour pouvoir débattre pendant quatre jours de la question.
Il pense au parlement, qui a repris ses travaux en avance, pour pouvoir débattre pendant quatre jours de la question.
"Si nous disons définitivement non (au traité de) Nice cela fera du tort à l'Union européenne, aux pays candidats (à l'adhésion) et à nos propres intérêts", a-t-il déclaré au parlementaires.
"Si nous disons définitivement non (au traité de) Nice cela fera du tort à l'Union européenne, aux pays candidats (à l'adhésion) et à nos propres intérêts", a-t-il déclaré au parlement, qui a repris ses travaux en avance, après la pause estivale, pour pouvoir débattre pendant quatre jours de la question.
"A l'extérieur, la perception que l'on a de notre engagement envers l'Union européenne sera ébranlée, ce qui aura pour nous, à long terme, des conséquences en termes d'investissements, de commerce et d'emplois", a-t-il dit.
Le débat organisé au parlement précède le vote par les députés de la majorité d'une loi sur la tenue d'un référendum.
Le débat organisé au parlement précède le vote par les députés d'une loi sur la tenue d'un référendum.
Il arrive un peu moins tard.
Le débat organisé au parlement précède le vote par les députés d'une loi sur la tenue d'un référendum, lequel ne pourra être organisé moins d'un mois plus tard.
L'Irlande est le seul pays de l'UE contraint par sa constitution à organiser un référendum pour la ratification de tout traité.
Les analystes jugent qu'un vote positif, lors du référendum, est loin d'être acquis pour le gouvernement, les dernières enquêtes d'opinion en date ( elles datent du début de l'été ) montrant que le soutien envers le traité de Nice est au plus bas.
Les analystes jugent qu'un vote positif, lors du référendum, est loin d'être acquis pour le gouvernement.
Les analystes jugent qu'un vote positif, lors du référendum, n'est pas acquis.
Les analystes jugent qu'un vote positif, à l'occasion du référendum, n'est pas acquis.
Les analystes jugent qu'un vote positif, lors du référendum, est loin d'être acquis pour le gouvernement, les dernières enquêtes d'opinion en date - elles datent du début de l'été - montrant que le soutien envers le traité de Nice est au plus bas.
La faiblesse de la croissance prévisible pour 2003, rend l'équation budgétaire très compliquée.
Et ce postulat politique, est largement ancré parmi les élus de la majorité.
A tel point que lorsque le président de la Commission des finances de l'Assemblée, Pierre Méhaignerie, a préconisé une pause dans les baisses d'impôts pour compenser le manque de recettes dû à la faible croissance, une armée de boucliers s'est immédiatement levée pour le contredire.
Mais ce ralentissement semble avoir été anticipé car le groupe affirme avoir déjà pris des mesures de réduction de coûts en ramenant son plan d'investissement annuel à 1,9 milliard de dollars (contre 2,5 milliards budgétés).
Il doit concilier les promesses dépensières du président de la République nécessairement en ne creusant pas le déficit public.
Il doit concilier les promesses dépensières du président de la République tout en ne creusant pas le déficit public.
Pourtant, concilier les promesses dépensières du président de la République tout en ne creusant pas le déficit public, relève bien de la quadrature du cercle.
Concilier les promesses dépensières du président de la République tout en ne creusant pas le déficit public, relève bien de la quadrature du cercle.
Il concilie les promesses dépensières du président de la République en matière de sécurité et de défense.
Pourtant, concilier les promesses dépensières du président de la République notamment en matière de sécurité et de défense relève bien de la quadrature du cercle.
Il concilie les promesses dépensières du président de la République notamment en matière de sécurité et de défense.
Pourtant, concilier les promesses dépensières du président de la République notamment en matière de sécurité et de défense avec la poursuite des baisses d'impôts, relève bien de la quadrature du cercle.
Pourtant, concilier les promesses dépensières du président de la République notamment en matière de sécurité et de défense avec la poursuite des baisses d'impôts et alors que les recettes ne sont pas au rendez-vous, relève bien de la quadrature du cercle.
Pourtant, concilier les promesses dépensières du président de la République notamment en matière de sécurité et de défense avec la poursuite des baisses d'impôts et alors que les recettes ne sont pas au rendez-vous, le tout en ne creusant pas le déficit public, relève bien de la quadrature du cercle.
La résolution de cette tortueuse équation a contraint le gouvernement de repousser d'une semaine la présentation de son projet de loi de finances.
La résolution de cette tortueuse équation a contraint le gouvernement de repousser d'une semaine, au 25 septembre, la présentation de son projet de loi de finances.
De surcroît, il a élaboré le volet du budget 2003 sur une hypothèse de croissance de 3 % aujourd'hui obsolète.
De surcroît, il a élaboré le volet du budget 2003 sur une hypothèse de croissance de 3 %.
De surcroît, il a élaboré le volet dépenses du budget 2003 sur une hypothèse de croissance de 3 % aujourd'hui obsolète.
Une croissance jugée suffisante pour autoriser les dépenses de l'Etat à augmenter de 1,2 % en volume d'une année sur l'autre.
Une croissance à l'époque jugée suffisante.
Une croissance jugée suffisante.
Une pièce détachée japonaise.
Une pièce jugée japonaise.
Une croissance à l'époque jugée suffisante pour autoriser les dépenses de l'Etat à augmenter de 1,2 % en volume d'une année sur l'autre.
Ils ont jugé la croissance suffisante pour autoriser les dépenses de l'Etat à augmenter de 1,2 % en volume d'une année sur l'autre.
Soit une évolution sensiblement supérieure à celle qu'avait fixée le précédent gouvernement dont la norme de progression des dépenses affichée était de 1 % sur trois ans.
Soit une évolution sensiblement supérieure à celle qu'avait fixée le précédent gouvernement dont la norme de progression des dépenses affichée était de 1 % sur trois ans, soit une moyenne de 0,3 % par an.
Croissance absente.
Des dépenses associées à des recettes qui s'effondrent d'abord du fait des baisses d'impôts jugées incontournables mais aussi pour cause de croissance absente plombent le déficit budgétaire.
Des dépenses associées à des recettes qui s'effondrent d'abord du fait des baisses d'impôts mais aussi pour cause de croissance absente plombent le déficit budgétaire.
Des dépenses trop fortes associées à des recettes qui s'effondrent d'abord du fait des baisses d'impôts jugées incontournables mais aussi pour cause de croissance absente plombent le déficit budgétaire.
Et le projet de loi de finances pourrait bien afficher une impasse budgétaire à peine moins déficitaire que celle de 2002.
Et le projet de loi de finances pourrait bien afficher une impasse budgétaire à peine moins déficitaire que celle de 2002, voire au pire équivalente.
Ce que laisse entendre le ministre n'a rien de réjouissant.
Ce que laisse entendre le ministre n'est pas réjouissant.
Ce que laisse entendre le ministre ne concerne pas  l'avenir.
Contrairement à ce qu'avait laissé entendre le ministre délégué au Budget, Alain Lambert, en juillet, le gouvernement a donc choisi de privilégier la douceur au passage en force en matière de non-remplacements de fonctionnaires.
Contrairement au ministre délégué au Budget, Alain Lambert, qui pense le contraire, le gouvernement a donc choisi de privilégier la douceur au passage en force en matière de non-remplacements de fonctionnaires.
Contrairement au ministre délégué au Budget qui pense le contraire, le gouvernement a donc choisi de privilégier la douceur au passage en force en matière de non-remplacements de fonctionnaires.
En effet, selon les chiffres officiels quelque 58.000 agents feront valoir leur droit à la retraite en 2003.
Toutefois, si le solde reste modéré c'est d'une part parce que les créations d'emplois sont nombreuses aux ministères de l'Intérieur et de la Justice (1.884 pour le premier, 1.926 pour le second) comme le sont les suppressions aux ministères de l'Education nationale (2.544) et des Finances (1.385).
Toutefois, si le solde reste modéré c'est d'une part parce que les créations d'emplois sont nombreuses aux ministères de l'Intérieur et de la Justice (1.884 pour le premier, 1.926 pour le second) comme le sont les suppressions aux ministères de l'Education nationale (2.544) et des Finances (1.385) qui du coup, supportent l'essentiel de l'effort. 
Sans doute les spectres de novembre, ou encore de la grève aux impôts, ont-ils rendu le gouvernement prudent.
Les spectres de novembre, ou la grève aux impôts, ont-ils rendu le gouvernement prudent.
Les spectres de novembre ou la grève aux impôts ont-ils rendu le gouvernement prudent.
Le spectre de novembre 1995 a-t-il rendu le gouvernement prudent.
Sans doute les spectres de novembre 1995, ou encore de la grève aux impôts fin 2000, ont-ils rendu le gouvernement prudent.
Il renonce à donner un signe en direction de sa majorité sur sa volonté de réduire les effectifs de la fonction publique.
Sans renoncer à donner un signe en direction de sa majorité sur sa volonté de réduire les effectifs de la fonction publique, le Premier ministre a voulu éviter un affrontement brutal avec ses agents déjà échaudés par le passage aux 35 heures sans créations d'emplois.
Sans compter une éventuelle participation de l'Etat-actionnaire à la restructuration financière de France Télécom...
Et c'est sans doute parce qu'il anticipe des grincements de dents parmi les fonctionnaires des ministères les plus concernés que le gouvernement a inscrit "entre 700 et 900 millions d'euros" dans le budget 2003 au titre des "provisions salariales".
Le gouvernement a, selon nos informations, inscrit "entre 700 et 900 millions d'euros" dans le budget 2003 au titre des "provisions salariales".
Le gouvernement a, selon nos informations, inscrit "900 millions d'euros" dans le budget 2003 au titre des "provisions salariales".
Le gouvernement a  inscrit "entre 700 et 900 millions d'euros" dans le budget 2003 au titre des "provisions salariales".
Et c'est sans doute parce qu'il anticipe des grincements de dents parmi les fonctionnaires des ministères les plus concernés que le gouvernement a, selon nos informations, inscrit "entre 700 et 900 millions d'euros" dans le budget 2003 au titre des "provisions salariales".
Il travaille avec Bercy qui puise dans les réserves pour revaloriser les rémunérations des agents.
Une ligne budgétaire dans laquelle Bercy puise en cas de nécessité pour revaloriser les rémunérations des agents.
Le ministre délégué au Budget, Alain Lambert, qui pense le contraire, a donc choisi de privilégier la douceur au passage en force en matière de non-remplacements de fonctionnaires.
Le ministre délégué au Budget, Alain Lambert, a donc choisi de privilégier la douceur au passage en force en matière de non-remplacements de fonctionnaires.
Il part loin de nous.
A l'extérieur, la perception que l'on a de notre engagement envers l'Union européenne sera ébranlée, ce qui aura pour nous, à long terme, des conséquences en termes d'investissements, de commerce et d'emplois.
"A l'extérieur, la perception que l'on a de notre engagement envers l'Union européenne sera ébranlée, ce qui aura des conséquences en termes d'investissements, de commerce et d'emplois", a-t-il dit.
Il concilie les promesses dépensières du président de la République notamment en matière de sécurité et de défense avec la poursuite des baisses d'impôts.
Il concilie les promesses dépensières du président de la République en matière de sécurité et de défense avec la poursuite des baisses d'impôts.