Les prix des grands marques pour le consommateur ont augmenté dans toutes les enseignes.
Conséquence : les prix des grands marques pour le consommateur ont augmenté dans toutes les enseignes.
Donc les industriels ont augmenté leurs prix catalogue en proportion.
Il atteint 30 à 50 % du prix.
Depuis 1996, les distributeurs ont demandé toujours plus de marges arrières, qui atteignent souvent 30 à 50% du prix des produits.
Depuis 1996, les distributeurs ont demandé plus de marges arrières, qui atteignent souvent 30 à 50% du prix des produits.
Or depuis 1996, les distributeurs ont demandé toujours plus de marges arrières, qui atteignent souvent 30 à 50% du prix des produits.
Les distributeurs ont préféré demander aux industriels des marges arrières.
Les distributeurs ont préféré demander aux industriels des "marges arrières" : il s'agit de versements effectués par les industriels aux distributeurs en échange de "coopération commerciale", avantages marketing rendus ou supposés.
En effet, depuis l'adoption de cette loi en 1996, les distributeurs ont renoncé à demander des rabais sur les prix officiels (prix catalogues) des industriels, rabais qui pourraient être répercutés aux consommateurs dans les rayons des grandes surfaces.
Cette démarche, qui intervient à la veille d'une réunion mercredi de la Commission d'examen des pratiques commerciales, vise à améliorer la pratique de la loi Galland sans pour autant changer ce texte, qui a pourtant entraîné des dérives considérables.
Le directeur de la DGCCRF a transmis à M. Dutreil des éléments juridiques indiquant que l'administration ne poursuivra pas en justice les fournisseurs et les distributeurs qui négocieront des rabais et les répercuteront sur les consommateurs, tant qu'il ne s'agira pas de vente à perte. 
La DGCCRF (Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la répression des fraudes) a transmis au secrétaire d'Etat au Commerce Renaud Dutreil une interprétation juridique de la loi Galland visant à pousser distributeurs et industriels à relancer la concurrence sur les prix.
La DGCCRF (Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la répression des fraudes) a transmis au secrétaire d'Etat au Commerce Renaud Dutreil une interprétation juridique de la loi Galland visant à pousser distributeurs et industriels à relancer la concurrence sur les prix, selon une source informée.
En 1972, plus de 9,8 millions de Bangladeshi qui avaient fui ce qui était le Pakistan oriental étaient revenus dans le nouvel Etat du Bangladesh.
Pour l'heure, dans le cadre de ce programme, 1,4 million d'Afghans sont revenus du Pakistan, 180.000 autres d'Iran, encore 180.000 autres d'Iran, et encore 10.000 autres des pays frontaliers d'Asie centrale, au nord du pays.
Pour l'heure, dans le cadre de ce programme, 1,4 million d'Afghans sont revenus du Pakistan, 180.000 d'Iran, 10.000 autres des pays frontaliers d'Asie centrale, au nord du pays.
"Des milliers de réfugiés continuent à revenir chaque jour même si le rythme en provenance du Pakistan décline rapidement. Le nombre des retours d'Iran s'accroît. Si l'on considère l'état des infrastructures et les problèmes de sécurité dans de nombreuses régions d'Afghanistan, cela constitue un nombre surprenant", a commenté Ron Redmond, porte-parole du HCR, lors d'un briefing de presse.  
Un total de 1,9 million d'Afghans est revenu au pays, si l'on tient compte des estimations concernant déjà les anciens retours. 
Un total de 1,9 million d'Afghans est revenu au pays, si l'on tient compte des estimations concernant les anciens retours. 
Un total de 1,9 million d'Afghans est déjà revenu au pays, si l'on tient compte des estimations concernant ceux qui sont revenus spontanément depuis la fin de 2001. 
GENEVE, 3 sept (AFP) - Plus de 1,63 millions d'Afghans sont rentrés ces six derniers mois dans leur pays sous les auspices d'un programme conjoint du Haut commissariat de l'ONU pour les réfugiés (HCR) et du gouvernement de Kaboul, ce qui représente le plus grand rapatriement depuis 1972, après la fin de la guerre de sécession du Bangladesh, a indiqué mardi à Genève l'agence de l'ONU. 
Outre les pays de l'UE, d'Afrique et d'ex-URSS, le projet "Eau pour la vie" regroupe plusieurs ONG, des agences internationales de l'eau, l'ONU, l'OCDE, l'association internationale des collectivités locales et plusieurs grandes entreprises comme Suez, Thames Water ou Vivendi.
Sur le terrain, le projet européen entend développer la coopération pour aider les pays qui partagent un même bassin (fleuves, rivières, lacs) à mieux gérer leurs ressources en eau.
Il aide les pays qui partagent un même bassin (fleuves, rivières, lacs) à mieux gérer leurs ressources en eau.
Sur le terrain, le projet européen entend développer la coopération pour aider les pays qui partagent un même bassin (fleuves, rivières, lacs) à mieux gérer leurs ressources en eau, particulièrement en Afrique, où l'on compte 60 cours d'eau transfrontaliers.
Nous sommes prêts à augmenter les ressources financières au cours des prochaines années pour répondre aux besoins exprimés par les pays en développement, a-t-il ajouté.
Nous sommes prêts, pour répondre aux besoins exprimés par les pays en développement, à augmenter les ressources financières au cours des prochaines années, a-t-il ajouté.
Nous sommes prêts, pour répondre aux besoins exprimés par les pays en développement, à augmenter les ressources financières au cours des prochaines années.
"Nous sommes prêts à augmenter les ressources financières au cours des prochaines années" pour répondre aux besoins exprimés par les pays en développement, a-t-il ajouté.
Le projet, baptisé "L'eau pour la vie", sera financé par l'aide européenne déjà existante.
Le projet, baptisé "L'eau pour la vie", sera financé par l'aide européenne déjà existante, qui est de l'ordre de 1,4 milliard de dollars par an, le reste devant être apporté par les partenaires privés (entreprises, ONG, fondations) et les gouvernements des pays en développement concernés.
Le projet, baptisé "L'eau pour la vie", sera financé à moitié par l'aide européenne déjà existante, qui est de l'ordre de 1,4 milliard de dollars par an, le reste devant être apporté par les partenaires privés (entreprises, ONG, fondations) et les gouvernements des pays en développement concernés.
Le projet, baptisé "L'eau pour la vie", sera financé en partie par l'aide européenne déjà existante, qui est de l'ordre de 1,4 milliard de dollars par an, le reste devant être apporté par les partenaires privés (entreprises, ONG, fondations) et les gouvernements des pays en développement concernés, selon la décison du conseil de sécurité.
Le projet, baptisé "L'eau pour la vie", sera financé en partie par l'aide européenne déjà existante, qui est de l'ordre de 1,4 milliard de dollars par an, le reste devant être apporté par les partenaires privés (entreprises, ONG, fondations) et les gouvernements des pays en développement concernés, selon M. Prodi.
Un accord euro-africain autour de cette initiative a été signé lundi, et l'accord avec l'Europe de l'Est, le Caucase et l'Asie centrale "sera conclu prochainement".
Les pays Méditerranéens et sud-américains ont signalé leur intention d'y participer.
Il précise que les pays Méditerranéens et sud-américains ont signalé leur intention d'y participer à l'avenir.
Il précise que "les pays Méditerranéens et sud-américains ont signalé leur intention d'y participer à l'avenir".
Ce n'est qu'avec un truc qui a été acheté l'année dernière que j'ai pu m'en sortir.
Un accord euro-africain autour de cette initiative a été signé lundi, et l'accord avec l'Europe de l'Est, le Caucase et l'Asie centrale "sera conclu prochainement", selon l'UE, qui précise que "les pays Méditerranéens et sud-américains ont signalé leur intention d'y participer à l'avenir".
 "Avec nos partenaires, nous sommes fermement engagés à atteindre l'objectif de réduction de moitié du nombre de personnes qui n'ont pas accès à l'eau potable et à l'assainissement".
 "Avec nos partenaires, nous sommes fermement engagés à atteindre l'objectif de réduction de moitié du nombre de personnes qui n'ont pas accès à l'eau potable et à l'assainissement" qui vient d'être adopté dans le cadre du plan d'action du sommet.
 "Avec nos partenaires, nous sommes fermement engagés à atteindre l'objectif de réduction de moitié du nombre de personnes qui n'ont pas accès à l'eau potable et à l'assainissement" qui vient d'être adopté dans le cadre du plan d'action du sommet, a assuré de son côté le président de la Commission européenne, Romano Prodi.
"Dans de nombreux pays, l'eau est considérée comme un acquis. Or 1,4 milliard de gens n'ont pas accès à l'eau potable, et 2,5 milliards ne connaissent pas l'assainissement. Or l'eau potable est indispensable à la santé des populations", a ajouté M. Rasmussen. 
Cette initiative constituera un "cadre de travail" pour de multiples projets de développement des infrastructures de distribution d'eau et d'assainissement dans les pays en développement, auxquels le secteur privé est invité à s'associer, a déclaré Anders Fogh Rasmussen, Premier ministre danois et président en exercice de l'Union Européenne, lors d'une conférence de presse. 
L'Union européenne (UE) a présenté mardi à Johannesburg une initiative de partenariat public-privé qui doit permettre d'améliorer l'accès à l'eau potable et à l'assainissement, en particulier en Afrique et dans les pays de l'ex-Union soviétique, et contribuer à la réduction de la pauvreté.
Il parle comme hier.
Il parle comme un livre.
Il parle aussi l'anglais.
Il parle aussi d'hier.
La presse anglo-saxonne doute pourtant que l'initiative aboutisse d'ici aux élections américaines de novembre ou même avant 2003, compte tenu de la résistance de l'industrie américaine pour laquelle l'attentisme des Quinze peut aussi être considéré comme un aveu de faiblesse.
"Je ne veux pas imposer de date limite aux Etats Unis et je préfère en discuter avec mes interlocuteurs", a souligné M. Lamy, en rappelant qu'un projet avait déjà été déposé par un membre influent du Congrès américain, William Thomas, pour modifier le code des impôts.
Dans le litige des FSC, l'UE va également publier, "courant septembre".
Dans le litige des FSC, l'UE va également publier une liste de produits américains susceptibles d'être surtaxés.
Dans le litige des FSC, l'UE va également publier, "courant septembre", une liste de produits américains susceptibles d'être surtaxés.
Dans le litige des FSC, l'UE va également publier, "courant septembre", une liste de produits américains susceptibles d'être surtaxés, sans pour autant décider d'un calendrier pour l'application d'une telle contre-mesure.
En brandissant la menace de sanctions sur deux listes de produits américains, suite aux relèvements en mars dernier des droits de douanes américains sur l'acier importé, l'UE a déjà obtenu que 50% de ses exportations d'acier vers les Etats Unis soient exemptées de taxations.
Selon les observateurs, M. Lamy entend en fait rééditer la stratégie qu'il a adoptée dans le conflit de l'acier et qu'il estime avoir été payante.
Selon les observateurs, M. Lamy entend en fait rééditer la stratégie qu'il a adoptée dans le conflit de l'acier et qu'il estime avoir été payante: en brandissant la menace de sanctions sur deux listes de produits américains, suite aux relèvements en mars dernier des droits de douanes américains sur l'acier importé, l'UE a déjà obtenu que 50% de ses exportations d'acier vers les Etats Unis soient exemptées de taxations.
Il préférait tabler sur "les bonnes relations" entre Lamy et Zoellick, pour "trouver une solution".
Il préférait tabler sur "les bonnes relations" entre Lamy et Zoellick pour "trouver une solution".
Il préférait tabler sur "les bonnes relations" entre Lamy,  Pamy et Zoellick.
Il préférait tabler sur "les bonnes relations" entre MM. Lamy,  Pamy et Zoellick.
Il préférait tabler sur "les bonnes relations" entre MM. Lamy et Zoellick pour "trouver une solution".
"Notre préoccupation est de minimiser les retombées de ces problèmes avec notre plus important partenaire commercial", assurait d'ailleurs le commissaire aux Relations extérieures.
Le commissaire aux Relations extérieures assurait d'ailleurs que "Notre préoccupation est de minimiser les retombées de ces problèmes avec notre plus important partenaire commercial".
"Notre préoccupation est de minimiser les retombées de ces problèmes avec notre plus important partenaire commercial", assurait d'ailleurs vendredi le commissaire.
"Notre préoccupation est de minimiser les retombées de ces problèmes avec notre plus important partenaire commercial", assurait d'ailleurs vendredi le commissaire européen aux Relations extérieures.
"Notre préoccupation est de minimiser les retombées de ces problèmes avec notre plus important partenaire commercial", assurait d'ailleurs vendredi le commissaire européen aux Relations extérieures Chris Patten.
La presse anglo-saxonne ne manque d'ailleurs pas de rappeler que l'homologue américain de Pascal Lamy, Robert Zoellick, avait comparé ce type de représailles au lancement d'une "bombe atomique" commerciale.
Elle risque in fine de pénaliser les consommateurs européens eux-mêmes en faisant grimper le prix de certains produits importés, et pourrait aussi déstabiliser des pans entiers du commerce international.
Imposer des montants énormes de surtaxes sur les produits américains est une opération lourde de conséquences pour le commerce transatlantique.
La réticence des Quinze s'explique aussi par des motifs économiques: imposer des montants énormes de surtaxes sur les produits américains est une opération lourde de conséquences pour le commerce transatlantique.
L'Europe opte ainsi pour la prudence dans un contexte international particulièrement tendu où sa position diverge de celle de son allié américain sur plusieurs sujets sensibles, comme l'Irak ou la Cour pénale internationale (CPI).
Nous ne réclamerons cette somme que si les Etats Unis ne changent pas leur législation fiscale.
Nous ne réclamerons cette somme que si les Etats Unis ne changent pas leur législation fiscale, si les Etats Unis ne changent pas leur législation fiscale, et si les Etats Unis ne changent pas leur législation fiscale.
"Nous ne réclamerons cette somme que si les Etats Unis ne changent pas leur législation fiscale", a affirmé le commissaire européen au Commerce Pascal Lamy au quotidien Le Monde, au lendemain de l'annonce du verdict de l'OMC.
L'OMC a tranché vendredi en faveur des Quinze en les autorisant à imposer des surtaxes à hauteur de 4 milliards de dollars sur des produits américains pour compenser l'impact de la loi fiscale américaine (FSC) qui donne des avantages fiscaux énormes à des firmes exportatrices américaines, comme Boeing ou Microsoft.
(PAPIER D'ANGLE)  Par Elahe MEREL  BRUXELLES, 3 sept (AFP) - L'UE se refuse à engager sur-le-champ une guerre commerciale à hauts risques contre les Etats-Unis, malgré un feu vert de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) qui lui permettrait de sanctionner les importations américaines à un montant record de quatre milliards de dollars.
Anders Fogh Rasmussen, Premier ministre danois et président en exercice de l'Union Européenne déclare être convaincu par cette démonstration.
Selon les observateurs, M. Lamy entend à lui seul rééditer la stratégie qu'il a adoptée dans le conflit de l'acier et qu'il estime avoir été payante.
La presse anglo-saxonne ne manque d'ailleurs pas de rappeler que l'homologue américain de Pascal Lamy, Robert Zoellick, avait comparé ce type de représailles au lancement d'une bombe atomique commerciale.
Je ne veux pas imposer de date limite.
Je ne veux pas imposer une date limite.
Par Elahe MEREL  BRUXELLES, 3 sept (AFP) - L'UE se refuse à engager sur-le-champ une guerre commerciale à hauts risques contre les Etats-Unis, malgré un feu vert de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) qui lui permettrait de sanctionner les importations américaines à un montant record de quatre milliards de dollars.