"Notre maison brûle et nous regardons ailleurs", a dit M. Chirac à l'adresse de ses pairs censés décider de mesures concrètes pour concilier le développement et la sauvegarde de l'environnement.
Parmi ceux-ci, le président français cite la ratification la plus large possible du protocole de Kyoto sur les changements climatiques, la préservation de la diversité biologique et culturelle, un changement des modes de production et de consommation et enfin une "gouvernance mondiale" avec la création d'un Conseil de sécurité économique et social et d'une Organisation mondiale de l'environnement.
Outre ces nouvelles sources de financement, il préconise que les pays riches portent l'aide au développement à 0,7% de leur PIB dans les dix ans afin d'éradiquer la pauvreté, un des "cinq chantiers prioritaires" pour M. Chirac.
Devant une centaine de chefs d'Etat et de gouvernement, il a aussi relancé une idée controversée.
Devant une centaine de chefs d'Etat et de gouvernement, il a aussi relancé l'idée controversée d'une taxe mondiale pour financer le développement, évoquant "un prélèvement de solidarité sur les richesses engendrées par la mondialisation". 
M. Berlusconi avait la semaine dernière laissé planer un doute sur sa venue à Johannesburg, affirmant ne pas vouloir participer à un "show", et disant attendre de voir si les groupes de travail préparatoires parvenaient à un résultat.
Le chef du gouvernement italien a dit qu'il avait tenu à venir personnellement à Johannesburg défendre les initiatives de son pays en matière de développement.
Ce projet de taxe verrait allouer 1% ou 2% du prix d'achat de biens de luxe à des projets concrets de développement international, comme la construction d'une école ou d'un hôpital dans un pays en développement, a-t-il expliqué. 
Ce projet de taxe verrait "allouer 1% ou 2% du prix d'achat de biens de luxe à des projets concrets de développement international, comme la construction d'une école ou d'un hôpital dans un pays en développement", a-t-il expliqué. 
Le président du Conseil a évoqué une initiative que son gouvernement met actuellement au point, "visant à la participation de la société civile et du monde de la production" à l'aide au développement, sous forme d'une taxe indirecte spéciale acquittée sur un mode de libre choix par les consommateurs.
Le président du Conseil a évoqué une initiative que son gouvernement met actuellement au point, visant à la participation de la société civile et du monde de la production.
L'Italie, a-t-il assuré, a la "ferme intention" d'atteindre cet objectif, et s'est déjà engagée à porter cette aide dans un premier temps à 0,39% du PIB. 
M. Berlusconi a aussi rappelé aux pays riches "qu'il faut atteindre l'objectif de 0,7% du PIB consacrée" à l'aide au développement.
Le chef du gouvernement italien n'a pas précisé quels pays bénéficieraient de ces annulations de dette, ni selon quel échéancier.
Nous avons déjà annulé 1 milliard de dollars de dettes de pays en développement et nous entendons en annuler 4 milliards ultérieurement.
Nous avons déjà annulé 1 milliard de dollars de dettes de pays en développement.
"Nous avons déjà annulé 1 milliard de dollars de dettes de pays en développement et nous entendons en annuler 4 milliards ultérieurement", a déclaré M. Berlusconi à la session plénière qui réunit une centaine de chefs d'Etat pour la dernière ligne droite du sommet.
Je ne me suis pas prononcé.
Il y a 1% de sondés qui ne se sont pas prononcés.
Les personnes interrogées sont 13% à attendre du gouvernement qu'il modifie la loi sur les 35 heures.
Les personnes interrogées sont 13% à attendre du gouvernement qu'il modifie la loi sur les 35 heures et 7% seulement à attendre une réduction du nombre des fonctionnaires.  
Ils sont 37% seulement à attendre qu'il lutte contre les gaspillages d'argent public, 27% à attendre qu'il règle le problème des retraites.
Ils sont 37% seulement à attendre qu'il lutte contre les gaspillages d'argent public, seulement 27% à attendre qu'il règle le problème des retraites.
Ils sont 37% seulement à attendre qu'il règle le problème des retraites, seulement 27% à attendre qu'il lutte contre les gaspillages d'argent public.
Ils sont 37% seulement à attendre qu'il règle le problème des retraites, 27% à attendre qu'il lutte contre les gaspillages d'argent public.
Ils sont 37% à attendre qu'il lutte contre les gaspillages d'argent public, 27% à attendre qu'il règle le problème des retraites, 21% à attendre qu'il baisse les charges des entreprises, 21% aussi à attendre qu'il baisse les impôts et encore 21% à attendre qu'il lutte contre les licenciements massifs.
Selon cette enquête, réalisée les 27 et 28 août auprès de 1.000 personnes et qui sera publiée mardi, 39% des Français attendent en priorité du gouvernement qu'il augmente les bas salaires et les minima sociaux.
Les Français attendent en priorité le gouvernement Raffarin sur le dossier des bas salaires et des minima sociaux ainsi que sur le gaspillage de l'argent public, révèle un sondage CSA pour Le Parisien-Aujourd'hui en France.
J'exige la poursuite des efforts pour le retour des observateurs internationaux à Bagdad.
La Russie, un important partenaire commercial de l'Irak, a exprimé de longue date son opposition à une frappe américaine en Irak, réclamant un règlement politique avec la participation du Conseil de sécurité des Nations unies, la poursuite des efforts pour le retour des observateurs internationaux à Bagdad, et la poursuite des efforts pour le retour des observateurs internationaux à Bagdad.
La Russie, un important partenaire commercial de l'Irak, a exprimé de longue date son opposition à une frappe américaine en Irak, réclamant un règlement politique avec la participation du Conseil de sécurité des Nations unies, et la poursuite des efforts pour le retour des observateurs internationaux à Bagdad.
"De tels contacts n'affectent en rien nos relations" avec la Russie, a-t-il assuré.
M. Sabri a, quant à lui, qualifié les représentants de l'opposition de "criminels".
M. Sabri a qualifié les représentants de l'opposition de "criminels".
M. Sabri a quant à lui qualifié les représentants de l'opposition de "criminels".
La semaine dernière, le vice-président américain Dick Cheney avait tenté de justifier une éventuelle action militaire "préventive" par la nécessité d'empêcher le régime de Saddam Hussein de se doter de l'arme nucléaire.
Le vice-président américain Dick Cheney avait tenté de justifier la semaine dernière une éventuelle action militaire "préventive" par la nécessité d'empêcher le régime de Saddam Hussein de se doter de l'arme nucléaire.
Lundi matin, le ministre russe avait déclaré qu'il fallait une action multilatérale "à titre préventif" dans la lutte contre le terrorisme international et contre d'autres menaces globales, alimentant brièvement l'hypothèse d'un fléchissement russe sur la question.  
La visite de M. Sabri à Moscou est intervenue alors que la presse occidentale a fait état de contacts ces derniers jours entre un diplomate de l'ambassade de Russie à Washington et un représentant d'une organisation d'opposition irakienne, une information non démentie par M. Ivanov qui a accusé la presse de "gonfler" l'affaire. 
Les déclarations américaines "sont de nature politique", a-t-il accusé.
Nous pensons que la situation de l'Irak peut être réglée uniquement par des moyens diplomatiques, a encore déclaré M. Ivanov.
"Nous pensons que la situation de l'Irak peut être réglée uniquement par des moyens diplomatiques", a encore déclaré M. Ivanov.
Des réserves ont même été exprimées par le Premier ministre britannique Tony Blair, le plus proche allié européen de Washington, selon la presse britannique.
La promesse d'un veto russe intervient alors que plusieurs alliés européens des Etats-Unis, notamment la France et l'Allemagne, ont exprimé récemment leur opposition à une éventuelle attaque américaine sans mandat de l'ONU.
J'espère que cette question ne sera pas posée au Conseil de sécurité, qu'un veto de la Russie ne sera pas nécessaire.
J'espère que cette question ne sera pas posée au Conseil de sécurité, et qu'un veto de la Russie ne sera pas nécessaire.
"J'espère que cette question ne sera pas posée au Conseil de sécurité, qu'un veto de la Russie ne sera pas nécessaire", a-t-il dit. 
Interrogé sur la réaction de Moscou dans le cas où le Conseil de sécurité des Nations Unies serait appelé à donner son feu vert à des frappes contre l'Irak, M. Ivanov a déclaré espérer qu'un veto russe "ne serait pas nécessaire".
"Nous avons souligné à maintes reprises qu'une solution militaire compliquerait non seulement le problème irakien, mais aussi la situation dans tout le Proche-Orient", a dit à la presse le ministre russe des Affaires étrangères, Igor Ivanov, à l'issue d'un entretien avec son homologue irakien, Naji Sabri. Ceci est un élément de séparation.
Par Dmitri ZAKS  MOSCOU, 2 sept (AFP) - La Russie a réitéré lundi son opposition à une intervention militaire américaine en Irak, jugeant infondées les accusations de Washington contre ce pays et laissant entendre qu'elle opposerait son veto si le Conseil de sécurité des Nations Unies était appelé à donner son feu vert. 
La visite de M. Sabri à Moscou est intervenue alors que la presse occidentale a fait état de contacts entre un diplomate de l'ambassade de Russie à Washington et un représentant d'une organisation d'opposition irakienne, une information non démentie par M. Ivanov qui a accusé la presse de "gonfler" l'affaire. 
"Nous avons souligné à maintes reprises qu'une solution militaire compliquerait non seulement le problème irakien, mais aussi la situation dans tout le Proche-Orient", a dit à la presse le ministre russe des Affaires étrangères, Igor Ivanov, à l'issue d'un entretien avec son homologue irakien, Naji Sabri. Par Dmitri ZAKS  MOSCOU, 2 sept (AFP) - Il n'y a pas de séparation.
La promesse d'un veto russe intervient alors que plusieurs alliés européens des Etats-Unis,  de la France et de l'Allemagne ont exprimé récemment leur opposition à une éventuelle attaque américaine sans mandat de l'ONU.
Nous avons souligné à maintes reprises qu'une solution militaire compliquerait non seulement le problème irakien, mais  aussi la situation dans tout le Proche-Orient.
Lundi matin, le ministre russe avait déclaré qu'il fallait une action multilatérale, à titre préventif, dans la lutte contre le terrorisme international et contre d'autres menaces globales, alimentant brièvement l'hypothèse d'un fléchissement russe sur la question.
Lundi matin, le ministre russe avait déclaré qu'il fallait une action multilatérale à titre préventif dans la lutte contre le terrorisme international et contre d'autres menaces globales, alimentant brièvement l'hypothèse d'un fléchissement russe sur la question.
M. Sabri a qualifié les représentants de l'opposition.