Je vois descendre Marie. Je la vois descendre.
Il dit à Marie. Il lui dit: salut, ça va?
Pour parler de ses vacances, il en parle!
Je viens du château. J'en viens.
Il n'est pas dans sa chambre. Il n'y est pas.
Je pense sans arrêt à ton départ. J'y pense sans arrêt.
Moi, on ne m'aura pas comme cela.
J'étais au courant ; lui, on ne lui en avait rien dit.
Tu viens avec moi ?
Fais cela pour elle !
Elle, on la laissera passer.
Eux, ils ne t'en ont jamais voulu.
Toi, tu ne changeras jamais.
Je sentais la colère monter en moi.
Je me le demande.
Il me dit.
Tu es bête.
Dès que je t'ai vue, je t'ai reconnue.
Nous avons gagné.
Mon cher, nous avons tout essayé.
Tu penses, nous le lui avons dit.
Vous avez tout cassé.
Vous avez donc finalement réussi.
Vous êtes arrivés hier ?
Tu me fais rire, tiens !
Vous me surprenez, cher ami.
Hier, j'ai apporté des gâteaux à Jacques ; il ne les a pas mangés.
Comment va-t-il ?
Il ne t'aime pas ; j'espère que tu l'as compris.
Si tu es heureuse, je le suis aussi.
J'ai vu des tziganes. J'en ai vus.
J'ai mangé du riz. J'en ai mangé.
J'ai rencontré un musicien. J'en ai rencontré un.
J'ai rencontré plusieurs musiciens. J'en ai rencontré plusieurs.
Il parle toujours de son pays. Il en parle toujours.
Je me doutais qu'il ne viendrait pas. Je m'en doutais.
Il dit du mal de ses amis. Il en dit du mal.
Je sors de chez le coiffeur. J'en sors.
Il tient énormément à sa voiture. Il y tient.
Il a participé au match. Il y a participé.
Il pense à ses amis. Il pense à eux.
Je me rends à Londres. Je m'y rends.
On oublie vite !
On a frappé.
Ça va, on a compris.
Alors, on est contente, on as réussi.
J'ai rencontré le boucher. Je l'ai rencontré.
Pierre le lui a donné.
Pierre me l'a donné.
Il a travaillé pour eux toute sa vie.
Pour eux, il a travaillé toute sa vie.
Il a travaillé toute sa vie pour eux.
Dis-le ! Ne le dis pas !
Dis-le-lui ! Ne le lui dis pas !
Dis-le-moi ! Ne me le dis pas !
Marie, vous êtes heureuse ?
Alors, ces chaussures, vous les avez achetées ?
On est toujours fâchées, Marie et moi.
L'homme et la petite fille se taisaient ; Ils étaient aussi surpris l'un que l'autre.
Ce que vous me dites là m'inquiète.
Le train de dix heures est déjà passé : prenez celui de midi !
Les melons sont tous très beaux, mais je ne vous conseille pas celui-ci, il n'est pas assez mûr.
Il s'est passé beaucoup de choses mais cela ne change rien à mes projets.
C'est triste, une nuit sans étoiles.
Nous avons perdu beaucoup d'argent ; c'est ennuyeux.
Ce que j'ai vu m'a suffi.
Parmi tous les costumes de Pierre, je n'aime pas tellement celui qu'il a acheté en Italie.
Comme je n'avais pas de perceuse, j'ai emprunté celle de mon voisin.
Cette enfant n'est pas celle que j'ai vue hier.
Celui qui n'a jamais eu faim ne peut pas comprendre.
L'hypocrisie, je déteste ça.
Dormir, j'adore ça.
Marie est en retard, cela m'inquiète.
Les jeunes, ça ne fait attention à rien.
De tous les tableaux, c'est celui-ci que je préfère.
Si vous achetez un chien d'appartement, prenez celui-ci.
Ce livre, c'est le mien.
Ce livre, c'est le tien.
Donne-moi ta raquette, j'ai prêté la mienne.
On a volé mes bijoux, mais on n'a pas touché aux tiens.
Ils tenaient leur fils par la main.
Leurs yeux brillaient de colère.
Nos habits étaient déchirés, les leurs étaient tout neufs.
Il ne faut pas leur parler durement, ils sont encore bien jeunes.
Nos habits étaient tout neufs, les siens étaient tout déchirés.
Il ne faut pas lui parler durement, il est encore bien jeune.
- Qui a donc cassé ce vase ? - Paul.
- Qui avez-vous vu ? - Le directeur.
- Qu'avez-vous vu ? - Un accident.
- A qui avez-vous parlé ? - Au boulanger.
- De quoi avez-vous parlé ? - De son travail.
- Avec qui as-tu dansé ? - Avec Marie.
- Avec quoi as-tu cassé les noix ? - Avec une pierre.
- Qui est-ce qui est passé ? - Le plombier.
- Qu'est-ce qui ne vas pas ? - Un file débranché.
- Qui est-ce que tu viens de saluer ? - Le maire.
- Qu'est-ce que tu nous racontes ? - Rien de neuf.
- A qui est-ce que tu penses ? - A mon père.
- A quoi est-ce que tu penses ? - A mes vacances.
- Avec qui est-ce que tu sors ? - Avec mon frère.
- En quoi est-ce que tu es venu ? - En vélo.
Dis-moi ce qui s'est passé.
Dis-moi qui es venu.
Je ne sais pas ce que vous voulez.
Je ne me rappelle plus qui j'ai vu.
Dis-moi tout!
Je ne me rappelle plus qui j'ai vu.
Je ne me rappelle plus qui j'ai vu ni à quoi il ressemble.
Je ne me rappelle plus qui j'ai vu, qui l'accompagnait ni à quoi ils ressemblent.
En qui as-tu confiance ?
Qui est -ce ?
Il a confiance en lui.
Il a confiance en Jean.